Jeremie Posté(e) le 29 juin 2008 Share Posté(e) le 29 juin 2008 DU TRÈS LOURD Un W.I.P américain c'est forcement sale. Un WIP brésilien, c'est vraiment très très sale. Oliveira (coupable également de Femmes en cages) ne fait pas les choses à moitié : ça lèche, ça viole et ça se doigte dans tous les coins, le tout avec une franchise et un ton decomplexé qui fait rêver. Ambiance méga-crasseuse : les murs suintent, ça sent la pisse, la vermine se faufile entre les cellules, la chair y est dodu et doré, humide et enflammée. Les matonnes torturent à tout va, violent impunément, et ne parlons même pas de l'infimière cochonne...Bref, ça s'arrête jamais, même lorsque les évadées se vengent de la gent masculine en castrant à tout va. Du bis cradingue comme on aime. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kerozene Posté(e) le 29 juin 2008 Share Posté(e) le 29 juin 2008 Un vrai beau drame humain sur le milieu carcérale brésilien. Fort comme un Eastwood engagé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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