Ocean's Eleven - Steven Soderbergh (2001)

[Benj]

Après deux ans passés dans la prison du New Jersey, Danny Ocean retrouve la liberté et s'apprête à monter un coup qui semble impossible à réaliser : cambrioler dans le même temps les casinos Bellagio, Mirage et MGM Grand, avec une jolie somme de 150 millions de dollars à la clé. Il souhaite également récupérer Tess, sa bien-aimée que lui a volée Terry Benedict, le propriétaire de ces trois somptueux établissements de jeux de Las Vegas.

Pour ce faire, Danny et son ami Rusty Ryan composent une équipe de dix malfrats maîtres dans leur spécialité. Parmi eux figurent Linus Caldwell, le pickpocket le plus agile qui soit ; Roscoe Means, un expert en explosifs ; Ruben Tishkoff, qui connaît les systèmes de sécurité des casinos sur le bout des doigts ; les frères Virgil et Turk Malloy, capables de revêtir plusieurs identités ; ou encore Yen, véritable contorsionniste et acrobate.

imm6OR605UI

 

Bon j'aime bien mais j'en garde jamais un souvenir de malade. D'ailleurs 2 jours après je ne me souviens déjà plus.

Bernie Mac était cool quand même

[chatterie royale]

les films de braquage ont chez moi une certaine aura de sympathie.

pourtant de celui-ci je n'ai retenu que le côté lourd et poseur. jamais vu les suites.

[Kerozene]

Un film futile réalisé de manière tellement "décontractée" qu'il en devient transparent.

Je déteste dire d'un film qu'il est inutile, mais pour le coup ce terme convient parfaitement.

[Lord Ruthven]

Le principal problème est que cet Oean's Elven n'apporte pas grand chose en plus valu par rapport à l'original, qui, il faut bien le souligner, n'est pas terrible et ne vaut que comme écrin pour Sinatra et sa clique (on peut dire la même chose de la plupart des films du Rat Pack, d'ailleurs).

 

Même chose ici, avec Clooney et ses potes qui jouent à qui sera le plus cool dans un scenario assez passe-partout. Ce côté Pre-Expendables, où l'on se demandait à chaque opus quel nom prestigieux sortirait du chapeau et puis tant pis pour l'histoire, n'est d'ailleurs pas déplaisant à la revoyure. Le film n'est quand même pas non-plus une purge.

 

Mais dans le même genre ou presque, je préfère Hors d'Atteinte.