Kerozene Posté(e) le 3 mars 2016 Share Posté(e) le 3 mars 2016 Un film 100% style FPS.En 2013 on avait vu un clip assez dingue et hyper violent tourné en FPS. Le groupe: Biting Elbows. La chanson: Bad Motherfuckers. Forcément, le réalisateur a tapé dans l'oeil d'un producteur pour un long. Ce long, c'est "Hardcore Henry". Entre temps, il me semble qu'une scène avait déjà été balancée sur la toile afin de motiver les foules, mais je ne la trouve plus.... 96EChBYVFhU Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natale Posté(e) le 3 mars 2016 Share Posté(e) le 3 mars 2016 J'ai pensé à Strange days devant cette BA.Sinon, bien avant le clip de 2013, il y avait déjà :[vimeo]44561183[/vimeo] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cyril Posté(e) le 3 mars 2016 Share Posté(e) le 3 mars 2016 Premiére Européene à Hallucinations Collectives dans 19 jours ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kerozene Posté(e) le 4 mars 2016 Auteur Share Posté(e) le 4 mars 2016 Rhooooooooooooo.....Le 23 donc? Merde, je ne serai pas là.Je pense venir, mais impossible de me pointer avant le 26 Et je découvre la prog: High Rise en clôture Plus des rétros de rêve! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lord Ruthven Posté(e) le 4 mars 2016 Share Posté(e) le 4 mars 2016 J'hésite entre la jouissance et la peur que ce soit purement insupportable, en fait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nice Panda Posté(e) le 27 avril 2016 Share Posté(e) le 27 avril 2016 Le postulat est plutôt bien tenu et, alors qu'on aurait pu penser que la réal sorte assez rapidement par les yeux, la lassitude ne se fait, étonnement, pas trop sentir (même si un petit quart d'heure en moins eut été appréciable). Ilya Naishuller a l'intelligence de ne pas se prendre au sérieux (à contriaro des Hitman, par exemple), et se permet, bien épaulé par un Sharlto Copley en totale roue libre, de se lâcher bien comme il faut dans la démesure en allant au bout de son concept idiot. De quoi, en fait, presque regretter qu'il s'en contente et n'aille pas plus loin dans le n'importe quoi. L'ombre du tandem Neveldine/Taylor plane en effet, par instants, sur l'ensemble mais sans s'attarder : le metteur en scène préférant rester dans les clous, sans trop déborder (peut-être estimait-il le pari du film suffisamment extrême ainsi)... Bon, de là à penser que ça supportera une seconde vision... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
burialoftherats Posté(e) le 27 avril 2016 Share Posté(e) le 27 avril 2016 Sur un principe similaire, mais avec plus de perso, je viens de voir Pandemic, et c'est pas mal du tout.J'attends que ce Hardcore a foooonnndd!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
burialoftherats Posté(e) le 20 juin 2016 Share Posté(e) le 20 juin 2016 Olala, J'ai pris un pied d'enfer!! Pas seulement pour le pari technique, mais c'est quand meme super bourrin sans se prendre au serieux (vu le sujet!).Et la musique tabasse les couilles d'un moine! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lord Ruthven Posté(e) le 5 avril 2022 Share Posté(e) le 5 avril 2022 A mi chemin entre Hypertension et un clip de Little Big, Hardcore Henry tente par tous les moyens d'aller au delà de son concept, sans toujours y parvenir. On a un produit curieux, moitie débile moitié métaphysique, très référentiel tout en ne proposant que ce qu'il a. Au final, les codes videoludiques sont maîtrisés (voir le final, façon tuto de Call of) et l'action tente tant bien que mal de rester lisible. C'est plutôt fun, quoique trop long. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés