Kerozene

C'est clair que ça claque! Je ne suis pas super fan de la construction à base de flashback, mais c'est tout de même carrément jouissif! La palme allant au premier meurtre.... limite insoutenable (J'ai vu le film en juillet dernier, j'en garde encore une impression désagréable).

Je pense justement que c'est tout le contraire.

Oui bon, c'est pas tourné en DV non plus, alors DV + abusage de filtre = Maintenant arrêtes de brasser du vent.

C'est un exercice. Mais ça n'est qu'un exercice. Parce que qu'est-ce que c'est chiant.... c'est lonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnng..... très lonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnng.... il ne se passe rien.... mais rien du tout..... ah si, il y a le coup de l'appareil photo qui était pas mal, mais ça dure 10 secondes... et cerise sur la gateau, l'actrice a demandé au public de rester à la fin du générique afin de voir la scène que le public cannois n'avait eu le privilège de voir.... Alors déjà que c'était un calvaire de rester jusqu'à ce générique que l'on n'espérait plus, voila que le film en rebalance pour quasi 10 minutes de supplice en rab!! 10 PUTAIN D'INSUPPORTABLES MINUTES!!!!! argh!!!

Tu le dis toi même: "c'est à moins forte dose " A tel point que je n'étais même pas au courant que ce filtre était appliqué de manière aussi systématique. Ton argument peut te faire rire, mais le fond du problème reste le même. Ben oui, car cela prouve que c'est pas les outils qui font un film, mais la manière dont on les utilise. C'est vrai que t'es de mauvaise foi

Pour ma part, c'est un J'avais beaucoup aimé "Bittersweet Life".... donc pour ma part, je confirme: j'aime bien ce que fait ce mec (dont je n'ai rien vu d'autre pour le moment). Le scénario est d'une redoutable efficacité, il est pervers, machiavélique et la brutalité frontale du film est parfois dure à encaisser. Le film draisse un portrait bien pourri du peuple corréen et laisse penser que le pays n'est habité que par des détraqués psychotiques, c'en est presque effrayant! Bref, j'ai pris un pied pas possible....

UBBER Z POWA!!! Les nostalgiques des Z 80's risquent d'y trouver leur compte (c'est mon cas, même si ça manque de plans nichons gratuits), les autres ont meilleur temps de passer leur chemin... parce que c'est vraiment cheap et vraiment complètement débile! C'est un huis clos prenant place dans un garage de Chicago. Les employés sont enfermés dans ce sous-sol de trois niveau arpenté par une voiture mutante. La voiture bouffe tout le monde, change de marque, et réserve bien des surprises quant à son origine (attention, mieux vaut être assis, la chute est moins dure). Je me suis amusé comme un petit fou tandis que les 3/4 de la salle faisait part de son consternement. Les autres se sont tout de même bidonnés....

Bon, je ne suis personnellement pas fan des deux premiers, et cette préquelle qui vire sur le survival forestier n'est pas honteuse, mais n'apporte rien ni aux deux films précédents, ni au genre. C'est techniquement bien exécuté, joli scope, photo froide, l'origine du tueur tient bien la route... mais sinon c'est du vu et revu. Il y a quelques plans qui ont fait rire le public de Gérard-sur-mer, perso je trouvais qu'il n'y avait pas de quoi... bref, dispensable.

C'est vraiment très fun! Je ne vois pas trop l'intérêt du concept vidéo retrouvée à la "Cloverfield", ça ne sert finalement pas à grand chose, mais le résultat est franchement plaisant, drôle, surprenant (les trolls sont ) et ça fait plaisir de voir un film norvégien exploitant de manière aussi réjouissante le folklore local. Ceci dit j'ai beaucoup pensé à Clovy pendant la projection, et le film de Matt Reeves reste supérieur, cependant "Troll Hunter" ne cherche pas à créer la même tension et est plus axé sur l'humour.

Comme le Fondu: j'ai tout de suite su qui était LE MAL. Faut dire qu'on te tend une bonne grosse perche. Sinon: très bon début. Générique superbe, introduction des protagonistes propre, efficace, servie par un plan séquence joliment torché... bref, tout va pour le mieux jusqu'à ce que Rodriguez sorte son chapelet et entame les déblatérations bigote balourde. Alors sur le fond, ça refoule tout de même du dessous de bras de curé, mais au niveau de la forme, c'est efficace et jamais chiant. Malheureusement, le fond pèse plus que la forme.

Pas un claquage de beignet, mais c'est tout de même très bon! Les personnages sont plutôt bien amenés, le réal se plaît à détourner les clichés de rigueur (peut-être pas très subtilement, mais quand même) et c'est franchement sadique. La construction du récit est efficace et est pour une fois anti-écolo quand on y pense , "The Loved Ones" ne cherche pas à donner des leçons ou faire la morale, bien au contraire. Sur grand écran, c'est réellement très beau, la photo est superbe, colorée, chaleureuse. Et il y a des scènes qui font mal. Très mal

ouh putain qu'est-ce que c'était chiant comme truc.... Bon, j'ai vu ça quand j'étais môme, peut être que j'aimerai plus aujourd'hui, mais il ne se passait rien, sauf gibson qui culbute Pfeiffer. Mais sinon: zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

Grand Prix : Bedevilled de Jang Cheol-soo Prix du Jury ex aequo : Ne nous jugez pas de Jorge Michel Grau et The Loved Ones de Sean Byrne Prix de la Critique : J'ai rencontré le Diable de Kim Jee-Woon Prix du Jury Jeunes de la Région Lorraine : J'ai rencontré le Diable de Kim Jee-Woon Prix du public – L’Est Républicain-Vosges Matin : J'ai rencontré le Diable de Kim Jee-Woon Prix du Jury Syfy : The Loved Ones de Sean Byrne Grand Prix du Court Métrage : Le miroir de Sébastien Rossignol Prix du Meilleur Inédit Vidéo : Triangle de Christopher Smith? je reviendrai dessus plus tard.....

Pas mal, mais malheureusement pas aussi captivant qu'espéré, le découpage est un peu foireux, le script pas totalement abouti, ce qui n'enlève rien à la prouesse de la mise en scène tout de même remarquable. J'ai regardé le making of (ce qui ne m'arrive pour ainsi dire jamais) et je n'ai pas trouvé ça auto-suffisant... Les mecs se sont quand même plongés dans un cadre unique, extrême, et il y a tout de même une prise de risque de la part de l'équipe qui n'est comparable qu'à quelques rares autres films - et je ne pense pas que Noé ait tourné dans des conditions aussi extrêmes, même si je ne pense pas que c'est ça qui le freinerait. Du Welz a du bagou, peut-être qu'il a une grande gueule, mais je crois qu'il peut se le permettre, il a amené une équipe de tournage sur un terrain improbable pour en tirer un résultat franchement couillu. Je préfère de loin "Calvaire", mais ça mérite tout de même le coup d'oeil.

Un point de départ intéressant, pour ne pas dire excitant. Puis un développement convenu. C'est dommage, ça aurait pu être excitant, mais je ne sais pas pourquoi, c'est un peu mou, un peu trop mignon malgré le fait que ça se vaut tout sombre, les persos sont basiques, voire caricaturaux. J'ai aussi pensé aux Goonies, et je suis sûr que si j'avais 13 ans j'aurais trouvé ça génial, mais comme les Goonies aujourd'hui, ben ça ne marche pas. C'est trop orienté mômes. En même temps ça s'adresse à eux....

Et Phil donc... et un autre suisse puis un autre le lendemain.... puis Jérôme.

Une fois par an, et c'est jamais trop.... increvable!

Moi je sais pourquoi j'ai regardé ça.... Mais c'est pas moi qui l'ai voulu. Will force tellement les traits du mec trop torturé qu'il en devient pénible avec ses sourcils froncés et son faciès grimacé trop "je souffre vraiment beaucoup de l'intérieur et ça fait trop maaaaaaaaaaaal". Même ma femme l'a trouvé lourd... et, elle qui est supère bonne publique, a été étonnée de ne ressentir aucune émotion devant cette soupe. Pas une larme, rien... Pourtant elle chiale à chaque fois qu'elle voit "Joe Black", c'est dire si il lui faut pas grand chose.

merci Tube.

Et Fake c'est le nom du bouquin? Ca a l'air bien ton truc, fais péter la référence au lieu de garder ça pour toi comme un grozégoïste!

euh comment ça fake? T'es sûr de ce que tu dis? Le mec n'en est pas à son coup d'essai quand même....

J'en garde pas un souvenir impérissable.

Ouh putain elle vient de loin celle là

Bof, le seul que j'ai vu qui était regardable et qui correspondait à sa tronche de clown était Toys. J'aime bien Toys quand j'y pense... c'était bizarre.

Du beau gâchis, on passe complètement à côté de quelque chose qui pourrait avoir des choses à dire- Au lieu de ça, on effleure la problèmatique pour se concentrer sur un trauma de jeunesse dont on se fout pas mal et on néglige le reste. Et puis bon, avec Williams j'ai toujours du mal, il me fait chier.