Revu la fin il y a peu lors d'une diffusion RTL9... Ca a quand même pris un coup de vieux, mais ce qui m'a surtout marqué, c'est cette espèce de manichéisme primaire neuneu digne d'un Disney de seconde zone. Le Bien / le Mal, Bonheur / Malheur, le Blanc (les cieux) / le Noir (l'Enfer), car outre l'histoire d'amour certes touchante, et l'humour amenée par une Whoopie oscarisée pour l'occasion (il n'y avait vraiment personne de mieux cette année là?? non pas qu'elle soit nulle, mais quand même), c'est tout de même épouvantablement formaté... oui, c'est un conte de fée moderne en quelque sorte, gnagnagna, mais bon, c'est quand même le degré zéro de la nuance narrative. Pourtant j'avais bien aimé à sa sortie.... Et puis il y a Vincent Schiavelli. Lui il est cool.