Kerozene

Sauf que l'affiche d'EVIL DEAD ne cite personne.... Mais putain, si cette BA tient ses promesses, je vais prendre 2 ou 3 caleçons lors de la projos histoire de rester au sec, parce que comme ça, ça fait franchement et gravement envie!!

Merde, il est déjé sorti au ciné?

Curieux il doit y avoir un autre Basculo Cui Cui, qui a balancé récemment deux vidéos de Dahan (WARRIOR et THE THING, le remake), désolé mais j'ai une mémoire d'éléphant , je l'avais même dénoncé alors que moi j'ai pas le droit , je me demande s'il n'y aurait pas un peu de favoritisme sur ce forum Comment? Zonebis n'est pas une démocratie? Mais si regarde: Basculo Cui Cui: t'es une merde et je te déteste et j'aime tous les films que tu n'aimes pas! Et la prochaine fois que tu défends un film de Renée Zelwegger, non seulement je te dénonce auprès des modos, mais je suis prêt à venir en Corse pour te défoncer ton dentier! Je suis prêt à recevoir des colis piégés mais seulement s'ils sont chargés de saucissons de sangliers et de liqueurs de châtaigne. Bon, pour résumer, je comprends pas pourquoi toi, Postcriptum, tu le prends aussi mal.... Sur Zonebis, tu peux citer Dahan, Le Pen ou Mussolini, personne ne t'en voudra. D'ailleurs Basculo Cui Cui ne s'en prive jamais, donc fais comme lui.

je suis pas d'accord, il a quelque chose de différent dans son oeil gauche.

Ah oups, voila qui est plus clair.

Grosse baffe pour ma part, j'ai passé la première heure avec des yeux gros comme des soucoupes, j'avais envie de serrer des chimpanzés dans mes bras, j'étais tout submergé d'émotions quand César prend John Lithgow dans ses bras après avoir bouffé un doigt et c'est rempli de plans séquences (digitaux) ahurissants. Par la suite, ça perd un petit peu en intensité, mais ça reste passionnant, j'ai pas décroché une seconde, si ce n'est sur le fait que de voir César tempérer les désirs de vengeance de ses potos m'a un peu agacé... J'ai vu "Invictus" juste avant, du coup j'avais l'impression que les mecs faisaient presque passer César pour Nelson Mandela alors qu'il aurait quand même pu foutre quelques beignes bien méritées à ces connards d'humains. Mais dans l'ensemble: j'ai surkiffé!

L'éclate pour ma part, c'est du bonheur sans pour autant atteindre le claquage de beignet du fait de quelques passages un peu mal filmés et un ton peut-être trop djeunz. Mais la façon dont les clichés du genre sont exploités pour mieux nous duper est vraiment appréciable, d'autant qu'il est franchement impossible d'imaginer la finalité de tout ce merdier. Certains ont trouvé ça trop hénaurme, perso ça m'a bien éclaté, même si j'ai inévitablement pensé à plein de trucs pendant le film, car il faut bien admettre que "The Cabin in the Woods" pompe surtout le meilleur de certains concepts connus pour en faire un amalgame réjouissant. Et puis cette bande de scientifiques à la fresh m'a vraiment fait marrer du début à la fin! Franchement, ça fait du bien.... mais pas certain que ça tienne plusieurs visionnements.

Vu aussi, mais à la TV, et.... aucun souvenir non plus Vu la note que je lui ai donné sur imdb, j'avais trouvé ça bien pourri...

Avec son titre à la SyFy Channel / The Asylum, il s'agit du prochain Spielby, adaptation d'un best seller de 2011 scénarisée par Drew Goddard (The Cabin in the Woods).

Quiconque n'aime pas ce film n'a rien à foutre sur ce forum.

Enfin une bonne raison pour me mettre au BluRay!

kikivient?

Rappel à Jeremie: le thread Punition ne se trouve pas ici.

Moui, boaf, en fait je crois que Benj a tellement bien résumé que je ne vais pas en rajouter des kilos, ça n'en vaut pas la peine... Du cinéma sulfureux pour bonne soeur en quête de coquineries, sans grosses surprises, sans beaucoup de nichons (mais un petit peu quand même), sans violence et avec un soupçon de vulgarité... mais alors vraiment un soupçon. Je ne sais pas trop ce que cherchais à faire les auteurs de ce truc qui se hausse à peu près au niveau d'un "Sliver" peut-être un peu mieux filmé.

Franchement, je ne vois pas ce qui vous choque dans cette affiche..... C'est une affiche de merde de comédie française de base, comme toutes les affiches de merde de toutes les comédies françaises de base depuis la sortie des "Visiteurs". Vous vous attendiez à quoi?

Ca pourrait leur plaire... Ce que j'avais écrit ailleurs suite à la vision de la chose: John Dark est un bon flic. Ses méthodes sont peut-être un peu dures, mais elles ne sont rien en comparaison de celle de son coéquipier, Mortimer Shade dit " le Gouverneur ". Le Gouverneur, c'est un mec qui ne se fringue qu'avec des frusques grande classe, du sur-mesure tiré à quatre épingles, et qui cogne sur les raclures comme un combattant de free-fighting. Le duo possède une réputation de flics borderline mais personne ne coffre les méchants aussi bien qu'eux. Leur objectif : coincer une saloperie surnommée Einstein. Et c'est en suivant une piste menant à ce criminel notoire que nos compères tombent dans un traquenard glauque à l'issu duquel le Gouverneur se retrouve mort... Mais quelques gouttes du sang d'une victime suspendue dans les airs tombent dans sa bouche... Le Gouverneur se relève brusquement, atteint d'une forme de vampirisme inédite : son appendice suceur d'hémoglobine surgit de la paume de sa main pour pénétrer le corps de ses victimes. Dès lors, impossible pour Shade de ne pas tuer pour se nourrir, et convaincu que ce nouveau don est une sorte de divine providence, il se croit investit d'une mission consistant à ne bouffer que du criminel dégueulasse. Dès lors, Dark et Shade vont laisser une série de cadavres déchiquetés derrière eux au point de mettre la puce à l'oreille de l'IGS. Ce film, mi polar stylisé, mi vampire flick new wave, a un potentiel évident. Le sujet de base n'est pas sans intérêt, en particulier lorsque le personnage de Dark accepte la condition de son partenaire et cautionne ses actes sanglants. Malheureusement, outre un final gentiment moralisateur, le film accuse d'un manque de savoir faire évident. Le scénario est bordélique et la mise en scène hésitante, le spectateur se perd entre la voix off de Dark et une accumulation de scènes liées entre elles de manière maladroite créant ainsi des confusions de temps et de lieu - rien que ça. On ressent également une volonté certaine de dépeindre un milieu glauque et sordide, comme en témoigne le type qui pompe des bites dans des chiottes miteuses ou les corps lacérés pendus au bout de chaînes, mais le film ne va pas au bout de ses ambitions et peine à convaincre à ce niveau. Autrement dit, narrativement parlant, on assiste à un four total. Le réalisateur, qui signe ici son premier film, semble plus attaché à soigner sa photo. Mais même si son cinémascope fait illusion par moment, certains cadrages laissent à désirer. Pour le reste : un peu de gore, un soupçon de sexe et un ou deux personnages qui se démarquent du lot, comme le chef de la police portant un kilt et qui pousse des balles de golf dans un crâne de chien posé sur le sol de son bureau ou encore ce chauve rondouillard au faciès de poupon, sorte de détective spécialisé dans les affaires paranormales.

Vu Skyfall ce soir dans une salle pleine à péter, et sans vouloir répéter les arguments des détracteurs, je les rejoins avec force. Non pas que le film soit tout pourri, il y a de bons moments comme l'ouverture, mais par la suite...... Après Quatum of Solace qui était encore pire, pourquoi filer des films pareils à des réalisateurs qui n'ont pas ce qu'il faut pour faire ce genre de films? Franchement, Sam Mendes, il est super pour filmer des banlieues et des pétales de rose, mais il n'a pas ce qu'il faut pour un 007. Et j'ai eu beaucoup de mal avec toutes ces ellipses ahurissantes: James baise la bonnasse dans la douche puis des deux se retrouvent les poings liés. Sinon, j'avoue avoir bien aimé le personnage de Bardem, bien meilleur ici que chez les Coen, les références aux vieux 007, les clins d'oeuil, l'île en ruine (merci gourbenj pour l'info, je ne connaissais pas du tout), Daniel Craig qui picole (j'ai enfin pu m'identifier à lui), les paysages écossais (Glenn Coe, endroit magnifique où je suis allé il y a 18 mois et où fut tourné une grosse partie de "Valhalla Rising") mais au final je dois dire que je me suis tout de même emmerdé, et ça c'est simplement pas normal devant un James Bond.

Tu t'es fait largué à Tokyo? Sinon je rejoins l'avis de DPG: un sujet en or pour une mise en scène foireuse. Les dialogues sont poussifs au possible et ça dessert quelque peu le film, mais cela reste un truc à voir.

Non, Labyrinthe ça pue... Revu il y a un mois avec mes gamines, c'était peut-être moins pire que dans mes souvenirs, mais qu'est-ce que c'est bête....

Diffusé hier soir sur arte dans le cadre des élections américaines Soyons clairs, le film n'est pas une réussite, Michael Moore nous fait une sorte de sous ZAZ avec un John Candy barbu... il y a bien quelques gags amusants (les slogans anti-canadiens qui doivent être traduits en français pour ces salauds de québecois), mais ce qui frappe surtout aujourd'hui est finalement le discours de fond et un gag étonnant sur un attentat "souhaité" sur le sol américain afin de justifier une guerre... Moore visionnaire, ou Ben Laden cinéphile?

Ben pareil aussi. Inutile de répéter tout ce qui a été dit, juste ajouter que la photo du film est très belle... presque autant que Carice. Sinon je me suis demandé pendant tout le film si ce mec était Udo Kier, ça m'a agacé:

Je n'ai jamais été fan de la chose qui reste graphiquement sage, et puis si les images sont belles, il faut tout de même admettre que c'est un peu chiant.... Vu étant adolescent, depuis j'ai trouvé mieux

Pas un must mais un actioner qui se laisse regarder... à voir surtout pour le duel à la tronçonneuse qui enterre celui de "Massacre à la Tronçonneuse 2"

Sam Raimi n'arrête pas d'en faire: Evil Dead - Darkman - Simple Plan - For the Love of the Game - Spider-bouse 1,2,3 - Drag Me to Hell.... Sacrée souplesse.