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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Ah mais nom de..... évidemment...
  2. Me suis bien marré et ça fait effectivement plaisir de voir que Dupontel parvienne à monter des projets pareil, parce que mine de rien, ils ne sont pas nombreux à pouvoir envoyer une telle déconne sur les écrans. Le film n'est effectivement pas aussi dingue qu'un "Bernie", mais balance quelques jolies scènes bien décalées (mention spéciale aux images de caméra surveillance) qui m'ont bien fait poiler. Ca fait plaisir aussi de ne pas assister au final habituel des comédies romantiques (car c'est de ça qu'il s'agit) et rien que pour ça, ça mérite d'être défendu. Et enfin, de très jolis plans et une mise en scène réfléchie... Chapeau Dupont! (Sinon je n'ai pas repéré les caméos de Noé et Kounen.... et ça m'énerve).
  3. Plutôt sympa comme film, merci à la mise en scène efficace de O'Russell et à une bande son rock'n roll passe partout, mais c'est effectivement la perfo de Bale qui épate et qui offre au film son atout principal. Pour le reste... le portrait de la famille de tordus est assez poilant, en particulier les frangines moches qui braillent comme des hyènes, et une page intéressante de l'histoire d'un sport dont je n'ai finalement pas grand chose à cirer.
  4. Kerozene

    Vos concerts bis

    Aïe ça gicle Croyez-le ou non, derrière ce nom à la con se cache un groupe de rock suisse-allemand aux influences sonic-youthienne qui déploie un son tout de même très pop. C'est pas désagréable, les mélodies sont sympathiques et les mecs jouent bien. Attention, la photo tue: Sebadoh C'était donc en première partie de Sebadoh... Première fois que j'ai l'occasion de les voir en 20 ans d'écoute. La salle était petite, mais loin d'être remplie (50 pelés?) et un set à la hauteur de mes espérances! Un son lo-fi hyper fort comme à la belle époque, des guitares à peine accordées, une énergie débordante, des rythmiques déglinguées et un humour totalement décalé de la part d'un Lou Barlow et d'un Jason Lowenstein qui ne vieillissent pas.... Surtout Lou: pas un cheveu blanc! Bref, c'était du bonheur!
  5. Kerozene

    Gravity - Alfonso Cuaron - 2013

    Je suis plus de l'avis de Benj. C'est techniquement sensationnel, c'est beau à crever, il y a des plans séquences littéralement hallucinants et certaines scènes provoquent de belles tensions. En revanche, rien à foutre des personnages (qui sont un peu trop clichés), certaines scènes sont clairement de trop (toc toc, c'est Clowney), et la musique est carrément vomitive lors du final qui n'avait pas besoin de cela tant il en fout plein la gueule et aurait pu se passer de tous ces violons mielleux à la con. Mais c'est un film à voir sur grand écran, et en 3D pour une fois.
  6. Alors oui c'est bien foutu, dur bien que de loin pas aussi méchant qu'on veut bien nous le faire croire ("Les 7 jours du talion" est bien plus difficile à encaisser mais je ne suis pas pleinement convaincu pour autant. Je n'ai jamais été passionné par ce qu'il se déroulait à l'écran, et ce malgré les performances remarquables de Hugh Jackman en tête... et peut-être de Gyllenhal... Le problème et que je n'aime pas sa tronche de cake abattu, on dirait un copie noiraude et foireuse de Ryan Gosling. Et puis il y a des éléments de scénario qui m'ont complètement échappés et ça m'agace....
  7. Certes, Mais il n'empêche qu'on a le droit de trouver ça merdique.
  8. Je suis de l'avis du félin couronné.... Une belle merde.
  9. C'est presque fascinant. Mais l'actrice principale est assez
  10. Tiens, entre temps j'ai eu le plaisir de chopper la VHS et de visionner la chose, j'avais même gribouillé ceci: Troy Donahue, alors dans sa période "je touche le fond du trou", incarne un professeur d'art au tempérament légèrement trempé puisque depuis que son cerveau a endommagé au cours d'un accident de voiture lui fait péter un plomb à la moindre contrariété. Cela ne nuit pas vraiment à son quotidien, mais quand il tombe amoureux de l'une de ses élèves, il préfère s'isoler avec elle dans une cahute au fond des bois, loin de la civilisation, et fonde une famille sans jamais à avoir à subir le stress du milieu urbain. C'est sans compter sur la construction d'une autoroute et son armada d'ouvriers alcooliques. Des individus dégueulasses qui n'hésitent pas à violer la femme du professeur et lui péter violemment la gueule avant de laisser leur petite fille pour morte. Quelques années plus tard, notre artiste transformé en ermite hirsute fou, se lance dans une tuerie aveugle et kidnappe une petite fille qui n'est autre que... la sienne. Un "rape and revenge" mexicain sur fond de discours plus ou moins écolo? Pourquoi pas. Sauf que cet OUTRAGE est un foirage total qui exploite de manière terriblement maladroite sa trame de base et son personnage de professeur romantique sur le fil du rasoir. OUTRAGE n'est pas un film d'exploitation pur et dur mais plutôt une série B aux prétentions de drame social. Reste que la scène de viol collectif (l'acte est commis par trois hommes, dont un ne parvient pas à bander) est un petit moment de tension perverse et que le final possède un indéniable charme involontaire grâce à l'apparition ridicule de Troy Donahue déguisé en hippie des cavernes crasseux avec sa superbe postiche grisonnante posée sur sa blonde chevelure et sa barbe d'une authenticité désarmante et qui ne dépareille pas avec son regard imbibé d'alcool.
  11. Kerozene

    Le cobaye - Brett Leonard (1992)

    Je n'avais pas beaucoup aimé à l'époque, peu convaincu par ces images de synthèse que je considérais alors comme la pire aberration cinématographique imaginable. Si mon point de vue vis à vis des images de synthèse a bien changé depuis (heureusement), elles restent le point faible d'un film déjà passablement débile sans ça. Dommage pour la nouvelle de King, j'adorerais voir un film sur un mec qui se prend pour une tondeuse à gazon
  12. C'est effectivement laborieux, principalement à cause d'un scénario-passoire qui se prend les pieds dans ses explications tordues au sujet de la présence d'hommes-taupes anthropophages. Biolay a un regard chevalin, Moreau sonne faux, le bikers pédés-cuire sont marrants mais pas crédibles, en revanche j'ai trouvé Émilie Dequenne assez juste. Au final, dommage car on sent la volonté de bien faire, et les efforts pour générer une ambiance crasseuse sont là. Mais pas le résultat.
  13. Kerozene

    LUFF 2013

    Ce week-end, je te mets l'intégrale de ton truc.... Mais promis, je n'y suis pour rien
  14. Kerozene

    LUFF 2013

    Merci!!! OkV-fYn3aJI
  15. Kerozene

    LUFF 2013

    yo http://www.luff.ch
  16. Fort possible..... Et ça me donne vraiment envie de pouvoir en profiter! Malheureusement, c'est un peu loin Mais je serai là pour le PIFFF!
  17. Très chouette. Mieux que le film lui-même
  18. Je rejoins totalement l'avis ci-dessus, à la différence que je ne soutiendrai pas le père Schumi dont ce n'est pas ici le pire des films. Pourtant ça commence plutôt bien avec une intrigue originale qui à le mérite d'intriguer et d'attiser une curiosité qui va malheureusement s'estomper au fur et à mesure d'un récit bancal qui aligne les maladresses. Il y a quelques éléments de mise en scène intéressants, dont un plan séquence "artificiel" tout à fait remarquable et un clébard sympa qui fait verser le film dans le domaine du fantastique.
  19. Pas terrible en ce qui me concerne. Rien à voir avec le fait que ce sont des sales gosses aux commandes, bien au contraire, mais leur évolution et la morale boiteuse en carton amenée n'importe comment agace autant que l'interprète de Moses à qui j'avais envie de coller des gnons. Et puis foutre du raggae au générique de fin sans prévenir, c'est un peu comme m'arracher un ongle par surprise (je suis comme ça, je dégueule le raggae). Ah, et niveau gag, c'est vraiment le néant absolu, Frost est nullissime de non-drôlisme. Sinon, belles bestioles et il est vrai, quelques scènes joliment mises en boîte.
  20. Vraiment étonnant! Parfois drôle, parfois violent (surtout au début, avec pleins de violence gratuite, de dommages collatéraux, mais la violence s'efface malheureusement trop au profit du burlesque), je suis étonné de lire que c'est un western "classique" tant le film se démarque aussi bien au niveau du fond (ici les indiens sont les victimes, les américains les méchants, ça peut paraître con mais il y a peu de westerns qui dénoncent le génocide indien) que de la forme (héros totalement à la masse, un cheval surnaturel, mise en scène très bande dessinée lors des scènes d'action), tout en recyclant certains éléments propres au cinéma européen (le bar à putes plein de grosses, des gueules patibulaires crasseuses... même les héros ont les doigts et les ongles dégueulasses, détail plutôt appréciable). Fichtner est monstrueux en psychopathe anthropophage... Sinon j'ai eu moi aussi beaucoup de mal avec l'utilisation du Guillaume Tell de Rossini lors de la scène du train, c'était vraiment une idée de merde.
  21. Je rejoins Jérémie sur le coup, en étant épaté mais déçu malgré tout. Il y a des scènes d'une rare crudité, et le film déborde évidemment de 1000 idées narratives et visuelles qui font la force de Jodo. Il y a de la violence, mais aussi de l'humour, de l'absurdité dans cette jeunesse jodorowskienne. Mais... Difficile effectivement de se sentir ému malgré les événements qui se déroulent sous nos yeux. Difficile aussi de me faire à cette image HD d'une froideur aux antipodes de l'effet recherché (il me semble). Difficile enfin de supporter la bande son casse-couille et les chants de la mère-cantatrice qui passent de la bonne et amusante surprise à l'agacement.
  22. Ben c'est pas si pire au final J'avoue m'être passablement marré en regardant cette croûte dans le train, sous le regard inquiet de mon voisin éberlué Il y a des passages tellement pourris qu'ils en deviennent touchants, le gag nul récurrent de Longtarrain tentant désespérément de coller une prune sur la voiture de Lagaffe (du moteur de laquelle surgit une main qui vire la contravention.... surréaliste ) en étant un parmi d'autres. Le final de l'extrait ci-dessus est franchement énorme, il a une vraie dimension apocalyptique qui finit par confirmer l'incapacité de Boujenah à évoluer dans la comédie. Il y a juste Daniel Prévost qui est comme à son habitude: absolument insupportable. Ce type est une erreur humaine, il m'horripile.
  23. Le premier n'était pas génial, mais cette suite est aussi passionnante qu'un concours de tricot. Ca se donne les moyens d'une grosse prod d'aventure pour ne livrer au final qu'un pauvre téléfilm insipide. Navrant.
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