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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Bon, je ne pense pas que vous puissiez venir, mais voila quoi Projet monté à l'arrache, site ouaib pondu à l'arrache: http://hongkong.luff.ch/ Et nos hôtes: http://kill-the-silence.net/ Donc samedi on commence à Macao avec je sais pas trop quoi, puis après on fait les cons à Kowloon entre le 9 et le 15.
  2. Très fun et débile pendant une heure, du gros bourinage décomplexé qui fait du bien et la découverte d'une maison blanche remplie d'armes de destruction massive totalement ahurissante! Le parallèle avec un Die Hard maison-blanchée est inévitable, mais le dernier quart est tellement en deça du reste qu'on termine le film avec une note d'amertume. Terminé le crescendo constant, ici on atteint l'apogée en milieu de course, ce qui nuit inévitablement à l'appréciation globale. Buttler assure, Freeman joue le même rôle depuis 150 films et il y a un môme à la con qui fait chier. Bilan mitigé pour ma part.
  3. Kerozene

    Vos concerts bis

    Une jolie soirée guinguette l'autre soir... Cult Leader Un quatuor de grind dont trois membres formaient les trois tiers d'un autre quatuor qui dépote: Gaza. Originaires de Salt Lake City, les faux mormons envoient du méga bourrin via des riffs crasseux et une voix guturale radicale qui tranche. Bizarrement un peu propres sur eux, les mecs cassent vite cette impression grace à un son lourd et gras qui te prend aux tripes et à la nuque. Une nuque qui ne peut s'empêcher de headbanguer ta tête. Hyper efficace!!! 3Td_trncmOY Abigail Williams Moins ma camme.... les mecs mélangent un peu de tout: du thrash, du stoner, de l'emo, du black metal, du heavy metal, du hard.... ce qui donne quelques bons passages, mais surtout des instants discutables via des refrains glam bizarres et des solos pas toujours convaincants. Pas assez homogène pour me plaire, trop diffu, trop gentil aussi. Mais j'ai pu causer un peu avec le bassiste hyper sympa qui possède une barbe rousse absolument remarquable qu'il a laissé pousser parce qu'il joue un rôle dans la série "Vikings".... et ça lui va comme un gant! Vu qu'îl ne semble pas être le bassiste d'origine, je ne trouva pas de photo... dommage. Rotten Sound La tête d'affiche de la soirée, les bucherons finlandais de Rotten Sound: rouleau compresseur sonore, son über dégueu, batterie ultra ravageuse et un groupe chauffé à bloc pour t'en foutre plein les oreilles. Si le début me semblait un peu bancal, il a suffit d'un ou deux morceaux pour que les vikings se foutent le public dans la poche.... et là: la folie! Efficace et radical, le groupe a tout emporté dans un festival de céibels et de sueurs au milieu duquel une une sorte de jeune princesse se tortillait de manière ultra sexy, détonnant étrangement avec les poilus qui l'entouraient......
  4. Je vous trouve bien durs avec "Switch". C'est pas du grand cinéma certes, mais c'est hyper divertissant sans être honteux. Oui, il y a le frangin qui brille par son non-jeu, mais c'est quand même catchy du début jusqu'à la fin grâce au scénar alambiqué de Grangé, c'est parfois bien vénère, il y a des plans nichons gratuits qui rappellent les belles heures du bis et c'est tant mieux, des sérieux coups de latte, un script ultra tordu et une senior sevrée au Jack Daniels qui n'hésite pas à sortir le tromblon et ça c'est merveilleux; par dessus tout ça il y a des blagues de mauvais goûts, du coup la sauce est gentiment irrévérencieuse, ce qui rend l'ensemble bien plus délectable que n'importe quel actioner US ou cocorico lambda. Chouette quoi.
  5. C'était gravement inintéressant. Seules les sirènes apportent un truc un peu neuf dans cet univers, et encore, c'est très très mal exploité. Même mes filles ont trouvé ça bancal.
  6. C'était carré, efficace, moissoneuse-batteuse ou pas.... bon le coup du "twist" évoqué ci-dessus se voit comme le pif au milieu du visage.
  7. AMERICAN PSYCHO, Brett Easton Ellis Eh beh.... au départ c'est pas franchement facile de rentrer dans les délires de Bateman tant ce personnage est con et puant et hyper superficiel - et c'est évidemment le but d'Ellis - et il m'a fallu quelques chapitres pour saisir de quel genre de bouquin il s'agissait. Un thriller socio-trash? Oui. Mais c'est avant tout une grosse comédie, et ce n'est qu'une fois m'être fendu la poire durant les chapitres dédiés aux discographies de Phil Collins et de Whitney Houston que j'ai enfin saisi la tonalité d'un récit pour le moins déroutant. Grosse erreur de moi-même: j'ai revu le film alors que j'étais à mi-chemin dans la lecture du bouquin, ce qui a passablement nuit à sa lecture - impossible alors de ne pas coller la tronche de Bale au personnage du bouquin.... un bouquin évidemment beaucoup plus violent. Et un film finalement bien adapté. BABEL 17, Samuel R. Delany J'ai trouvé ce bouquin dans une déchetterie, je ne connaissais pas du tout. Lecture un peu pénible pour un récit de SF bavard publié en 1966 plein de détails anachroniques marrants puisque dans le futur décrit ici, les enregistrements se font sur bandes magnétiques et sont envoyés par courrier express d'un vaisseau spatial à l'autre! Le bouquin a fait parler de lui à l'époque puisqu'il prenait le contrepied de la philosophie hippie quant à la considération de l'individu. Un contexte intéressant et un roman aux ambitions louables qui prétend que les différentes langues et le vocabulaire qui leur est associé ont une influence comportementale sur l'individu. Le récit fit même des petits, comme le groupe de synth wave français Babel 17 que je ne connaissais pas avant aujourd'hui.
  8. Kerozene

    Vos concerts bis

    Non.Mais dans les deux cas je suis très fier.
  9. Mbwaaaaahahahhaha qu'est-ce que c'était con, avec plein de blagues limites racistes et des acteurs au charisme de pantoufles. Il y a bien Robert Patrick qui en fait des caisses pour amuser la galerie, un flic ripou avec une vraie sale gueule et des scènes d'action montées à la truelle. On rigole avec un petit clin d'oeil à Terminator, une allusion plus que musicale à Déliverance et on transpire l'actioner 80's façon "âge d'or de Schwarzy", sauf que 20 ans plus tard et avec le bagage référentiel que cela représente, ça plonge direct pour toucher le fond. Il y a des dialogues tout pourris ("trouve une corde et attache-la" dit Patrick au milieu de nulle part comme si l'article poussait sur les arbres). Et Cena a quelques scènes presque romantiques, et d'autres presque comiques qui démontrent par A+B que certains catcheurs ne devraient pas quitter le ring.
  10. Kerozene

    Vos concerts bis

    Bonne soirée, parce que le final était dantesque! LE BUTCHERETTES Du rock frais, péchu et bien emballé en provenance du Mexique. Mais ce que le public retient de la perfo c'est avant tout le jeu de scène déchaîné d'une chanteuse/gratteuse survoltée et hyper sexy qui a déboité bien des mâchoires à force de poses gentiment provoques et de grimaces à la Gene Simmons. Sympa comme tout. LA MUERTE Après Le Butcherettes, La Muerte, qui comme son nom ne l'indique pas est originaire de Belgique. Une sorte de garage graveleux débuté en 1983 par des chevelus pas beaux. Après un hiatus de 15 ans, les chevelus ont pris du bide mais sont fidèles à eux mêmes avec un son gentiment crasseux (mais pas trop) porté par la voix guturale du chanteur coiffé d'un sac en toile de jute Sur scène: quelques candélabres aux atours vaguement satanistes. Derrière la batterie, un barbu lourdeau avec un bandana dans les cheveux qui tabasse ses peaux comme un ado en premier apprentissage de percussions. Il y a des fans. Moi j'ai baillé. AT THE DRIVE IN Les texans sont de retour, et ils n'ont rien perdu de leur patate légendaire! Un seul riff suffit pour que la salle entière se transforme en un bouillon rempli d'excités balançant leurs bières dans les airs! Près de 90 minutes hyper intenses largement chargées de pogo boostés par les mélodies ravageuses de Bixler-Zavala! Il faut dire qu'ils ont balancé la quasi intégralité de l'album culte "Relationship of Command" dont les morceaux n'ont pas pris une ride en plus de 15 ans et qui envoient du bois tranchants à tous les instants! Et il y a le jeu de scène de Bixler: survolté, monté sur ressort et hyper communicatif, la formule est imparable, et un type s'est apparemment fracassé le nez sur mon épaule tachée d'un sang qui n'était pas le mien à la fin du concert. J'étais très fier
  11. J'ai trouvé ça encore pire que la 1ère partie. Il ne se passe quasiment rien, me suis fait chier, et le final arrive gros comme un camion. Poubelle.
  12. Kerozene

    mise a jour du forum

    Stéphane et Kerozene sont toujours inscrits.
  13. Non mais je rêve.... On parle de réhabiliter Ben Affleck? Mwwwaaaaaaaaaaahahahhaa Rien à faire pour ma part, je ne peux pas l'encadrer. Il a TOUJOURS cet air de merlan gole, même avec un masque et un scaphandre (complètement ridicule d'ailleurs), et surtout quand il frappe un pneu avec un marteau. A côté de lui, il y a des idée plutôt sympas, des plans qui envoient du lourd, des explosions très politiquement correctes (mais heureusement, Batman dit "shit" pour bien montrer qu'on n'est pas dans un Marvel), il y a le gag de "Martha" (LE moment où Affleck fait montre de son immense talent de comédien), et un personnage qui semble pouvoir défoncer la gueule de Bat et Sup ensembles, à savoir Wonder Woman, jouée par une fille totalement schwing que je ne connais pas. Mais si Affleck fait de la peine, ce n'est rien comparé à Eisenberg, littéralement in-sup-por-table de cabotinage. Il est temps qu'il fasse sa puberté et qu'il termine sa mue, parce que ses montées vocales dans les aigus, j'en pouvais plus. Alors.... l'âge d'or de DC, terminé?
  14. C'est sympa comme tout mais la bande annonce en montre finalement trop.... Ou plutôt, elle montre ce qu'il ne faut pas... Mais c'est sympa.
  15. On dirait un Gondry réussit
  16. Kerozene

    Emelie - Michael Thelin - 2015

    Personnellement j'ai trouvé ça super bien troussé. On retrouve un peu un feeling 70's au niveau de l'écriture et on se laisse balader avec beaucoup de plaisir devant les dérives de cette immense garce.
  17. Kerozene

    The Witch - Robert Eggers (2015)

    L'un des très bons titres de Gérardmer cette année - un bon cru soit dit en passant. Sans surprise, ce n'est pas le titre que le public local a franchement kiffé....
  18. C'est vrai, les chiffres le montrent
  19. J'aime Take Shelter et Mud.... Mais là ça me branche pôdutou.
  20. Agréable petit film que voila. Il devrait séduire la fibre péquenot-gaucho de Stéphane mais ce faux snob a décidé de faire la gueule... voila qui lui ressemble bien. Pour ma part, je ne savais pas du tout ce que j'allai voir et les derniers titres du tandem ne m'avaient que moyennement - voire pas du tout (Mammuth) - séduit. Jeremie parle de tendresse? C'est exactement ça, un road movie plein de tendresse porté par un trio de losers attachant et qui - à sa manière - rend hommage à ces agriculteurs et éleveurs qui n'ont pas la vie facile en ce début de XXIe siècle. Le film ne vire heureusement pas dans le pathos et évite le discours poussif, pour trouver un ton finalement assez juste dans son discours - à l'exception peut-être de 2-3 sorties mineures du genre "mon gros godillot dans la gadoue". Sympa.
  21. On dirait un scénario prétexte pour leur permettre de tourner des scènes de comédies musicales: ballet aquatique, numéro de claquettes, bluette comico-chantée sur fond de western naïf.... les "réconstitutions" sont plutôt plaisantes et on sent que la fraterie s'est fait plaisir à ce niveau. Pour le reste, c'est un joyeux foutoir rempli de clichés sur un âge d'or que nous persevons aujourd'hui entre le désuet et le fantasmatique, avec ses stars capricieuses, sa chasse aux communistes, ses studios manipulateurs et consorts; et ma foi l'idée est plutôt séduisante. Mais le ton ultra-léger et l'approche caricaturale en font un film à côté de la plaque. Il y a certainement manière à aborder tout cela de manière tout aussi drôle sans pour autant tomber dans le potache, mais ce n'était visiblement pas l'intention des auteurs. Au final: quelques blagues attachantes (la réunion des représentants religieux), de jolis décors et des scènes rétros pleine de tonus au service d'un script sans grande saveur qui constitue une étape de plus à la carrière constamment fade d'un Josh Brolin jamais là où il devrait.
  22. Les seuls qui râlent sont ceux qui gagnent déjà un max: Metallica, Madonna... les pauvres. A côté de ça, t'as des groupes qui jouent depuis 30 ans et qui sont tout heureux de la popularité supplémentaire que leur a apporté le net et qui leur permet de mieux remplir les salles de concert qu'auparavant. Mais bon, rien de neuf quoi.
  23. Kerozene

    Der Nachtmahr - Akiz (2015)

    Vu au PIFFFFFF, et beaucoup aimé également. A voir avec le volume à coin!
  24. Mes filles de tout juste 9 et bientôt 12 ont adoré! "On veut voir le 2!!!" Hurlèrent-elles à la fin.... Pas de bol pour elles.... Et pour les grands couillons de parents: c'est ultra convenu et calibré mais ça ne fait pas de mal en toile de fond pendant qu'on fait la popote. La grosse surprise était d'y trouver la mère Bellucci, plutôt pas mal en robe de sorcière strass & paillettes à la mode du 8e siècle.
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