Aller au contenu

Kerozene

Membre ZoneBis
  • Compteur de contenus

    6 908
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Kerozene

    Passenger Of Shit

    Moi pareil que le gros poilu, mais là je suis chez moi, la petite fait dodo, donc on attendra demain.
  2. T'as quand même un peu le rire facile toi ! ben c'est quand meme plus drole que Vampyros Lesbos !
  3. Il ressemble quand même vachement à Bill Murray
  4. C'est vrai que ça se regardait pas mal, je me souviens également avoir entamer le visionnement du film avec réserve et je me suis laissé surprendre par l'histoire qui est pas trop. Côté mise en scène, c'est quand même pas très bien foutu et passablement maladroit, mais ça la fait malgré tout.
  5. Kerozene

    [Cinemalta]

    Vi vi, enfin une des trois têtes pensante, et ... Je n'en dit pas plus pour le moment ben en même temps, pour qui a déjà été à l'Etrange, c'était pas difficile à deviner... Agnès B. en gros, ça ne se voit qu'à l'Etrange Festival De plus la sélection des films à sortir en DVD a été présentée dans son intégralité à l'Etrange...
  6. Sorti chez René Chateau, pas encore vu... mais c'est vrai que ça a l'air bien
  7. c'est parce qu'il n'a qu'un rôle de faire-valoir présent pour amuser la galerie....
  8. C'est vrai que c'est du tout bon, j'avais vu ce film au ciné lorsque j'étais gamin, ça m'avait fasciné, surtout l'allemand dans sa Lamborghini jaune qui... oops, on va pas spoiler, même si ce n'est pas une grosse surprise au moment où ça arrive. Mais c'est très bien, très premier degré, très critique, un Bartel sans les blagues... Rien à voir avec les guignoleries de Burt, effectivement.
  9. Je préfère le premier film. La surprise était grande lors de sa découverte - ce qui aide, c'est sûr, mais surtout j'adore la première partie, lors de la poursuite en voiture. Le véhicule du creepers m'avait scotché lors de la projo à Gérardmer où le volume était déraisonnablement élevé: la claque ! Puis vient la découverte du repaire du machin: dantesque ! Le film possède une véritable ambiance crasse et lourde, ce que le deuxième met de côté au profit d'un body-count plus élevé... d'ailleurs je ne m'en souviens presque pas de ce second volet...
  10. Excellent souvenir de jeunesse, c'est un film que j'ai bien du voir 6 ou 7 fois.... En jamais revu depuis au moins 12 ans. Existe-t-il un DVD ?
  11. Kerozene

    Morricone Youth

    Sur leur site, clique sur le lien "Music". Ils expliquent qu'ils reprenaient des zik de films et déries TV et qu'ils composent également. Ils ont listés les morceaux qu'ils ont repris, ça passe de Escape From New York à Cosmos 1999 en passant par Profondo Rosso et Magnum force.... Très peu de Morricone en fait.
  12. Vu sur le forum du Club des Monstres : Intéressant...
  13. Kerozene

    Vos concerts du moment

    Ca oui !!! Je veux La vache, je te mentirais en disant que ça ne m'était pas directement venu à l'esprit en lisant ton texte ! Connais pas ce sgus, mais eux et le taiwanais, y a bon ! Ceci dit, pour 2006, la prog zik ets quasiment bouclée Mais rien n'est concrétisé , donc je ne dirai rien...
  14. Scanner : Wave of Light by Wave of Light. c'est bô
  15. J'avais effectivement déjà lu cette sale histoire.... moche. Toujours ets-il que le film fut une claque pour ma part également lors de sa découverte en sale. Le plan qui m'avait le plus tromatisé à l'époque était celui qui dévoilait le visage de la soeur du gamin qui diriga sa famille. Ca m'avait terrorisé ! Aujourd'hui, ce segment ne me fait plus aucun effet, je lui préfère le Landis et surtout le Miller, qui reste toujours fascinant avec un John Lithgow en grande forme. Quant au Spielberg... ben il fait un peu tâche. C'est comme faire un festival de films d'épouvante avec une projection de COCOON au milieu: ça passe mal.
  16. Très très bien, découvert à la Thèque Suisse, grand bonheur et un DVD que je veux bien aussi
  17. Kerozene

    [Cinemalta]

    tiens, je me souviens avoir lu un message dans lequel le film t'avais déçu et que tu lui avais nettement préféré les 10 MONOLOGUES FROM THE LIFE OF SERIAL KILLERS.... En tout cas, DEAD MAN 2 est franchement puissant... la scène d'intro reste quelque chose de très
  18. Le blues des GI à l’écran »FESTIVAL Le Festival international du film sur les droits humains (FIFDH) ouvre ce soir à Genève. Plusieurs projections sont consacrées aux dérives américaines. Si le thème prioritaire de la quatrième édition du FIFDH est «Mémoire, vérité et justice», plusieurs documentaires abor­dent les atteintes aux droits de l’homme perpétrées par les Etats-Unis. De Bagdad à Guan­tanamo, en passant par les avi­ons de la CIA. La guerre en Irak, évidemment, est largement pointée du doigt. Dans Cauchemars d’Irak, pro­duit et distribué par la TSR, Steven Artels est allé à la ren­contre de quatre GI traumatisés par le conflit. Jeff s’est pendu un an après son retour du front. Il portait autour du cou les pla­ques d’identité de deux Irakiens assassinés. Après le suicide, son père a prié pour que les boys trouvent des armes de destruc­tion massive en Irak, au moins une. Sur sa maison flotte encore le drapeau américain. Déserteur Joshua s’est engagé dans l’ar­mée comme alternative au chô­mage. Père de trois enfants, on lui avait assuré qu’il ne quitte­rait pas le territoire. Il s’est re­trouvé en Irak, a vu des compa­triotes «jouer au football avec des têtes» et a profité d’une permission de quinze jours pour prendre le large. Le déserteur, comme beaucoup d’autres, s’est réfugié au Canada avec sa fa­mille. Ryan, étudiant en médecine, a rejoint la garde nationale dans l’espoir d’être engagé plus tard dans un laboratoire du gouver­nement. Il a passé douze mois en Irak à escorter des convois. Aujourd’hui, il a de la peine à toucher un volant. Jimmy est parti sur le terrain après onze ans dans les mari­nes. Au début, il a été grisé par la guerre, il trouvait ça «mieux que le sexe». Et puis il a de­mandé son rapatriement et quitté l’armée. Il souffre aujourd’hui du syndrome de stress post-traumatique, comme un GI sur six en Irak. Il a écrit un livre, Kill! Kill! Kill!, qui relate son enrôlement, ses ba­rouds, son dégoût ( 24 heures du 1er décembre 2005). Il sera à Genève le 18 mars pour témoi­gner. Kill! Kill! Kill! n’a pas trouvé d’éditeur aux Etats-Unis. L’his­toire de Jimmy n’a pas non plus été relayée par la presse améri­caine. Là-bas, la guerre est trai­tée unilatéralement. Face à la propagande ou à la censure, quelques citoyens ont décidé de réagir. Les médias alternatifs fleurissent. On Air, de Christo­phe Joly, raconte ces yankees qui veulent toucher l’informa­tion du doigt. Ce cuisinier qui a économisé durant six mois pour s’offrir une caméra et filmer l’Amérique. Ou ce «road-blo­gueur » qui passe son temps à coller des pancartes militantes au bord des autoroutes. C. S. Festival du film sur les droits humains, du 10 au 18 mars, Genève. http://www.fifdh.ch Silence, on torture, 17 mars, 20 h 15, CAC Simon. Cauchemars d’Irak, 17 mars, 14 h 15, CAC Simon et 18 mars, 16 h 30, CAC Simon. On Air, 12 mars, 16 h 15, CAC Langlois et 17 mars, 22 h 15, CAC Langlois. WMD; Weapon of Mass Deception, 15 mars, 22 h 15, CAC Langlois et 18 mars, 13 h, CAC Langlois.
  19. Kerozene

    Sexpérimental

    communiqué de presse LE PANTHÉON DU CINÉMA EXPÉRIMENTAL 2006 Sexpérimental 21 mars 2006 La sexualité selon ses diverses tonalités comme autant de comportements et d’aspects que le cinéma présente et façonne : la sexualité exhibée avec Deux femmes (1930) de Man Ray, The Potted Psalm (1946) de Sydney Peterson et James Broughton, Pièce Mandala (End War) (1966) de Paul Sharits ; l’amour avec Carol (1970) d’Ed Emshwiller; la sexualité suggérée et parodique avec A to Z (1956) de Michael Snow et Fireworks (1947) de Kenneth Anger ou la sensualité habitée avec Présence (1972-74) de Pierre Rovère et Antonietta Pizzorno, L’homme nu (1969) de Georges Rey et la sexualité déchirante ou nostalgique que scande l’usure défilante du temps avec Intoxicated by my illness (2001) et Lost dreams (2003) de Stephen Dwoskin. Sexpérimental explicite que la sexualité dans le cinéma expérimental n’est pas un motif supplémentaire ni une raison suffisante mais une vague infinie qui balaie les films juste à l’intersection avec d’autres vagues comme la scansion, la vision, le son, les colori ou la couleur, l’affect ou l’humour et qu’elle unifie parfois, souvent. 19H Man Ray, Deux femmes (1930), 4’ Sydney Peterson et James Broughton, The Potted Psalm (1946), 18’30 Kenneth Anger, Fireworks (1947), 14’ Michael Snow, A to Z (1956), 5’50 Paul Sharits, Piece Mandala (End War) (1966), 4’52 Georges Rey , L’homme nu (1969), 3’ Ed Emshwiller, Carol (1970), 6’ Pierre Rovère et Antonietta Pizzorno, Présence (1972-74), 5’ 20H30 Stephen Dwoskin : Intoxicated by my illness (2001), 41’ ; Lost dreams (2003), 20’ Cinéma Panthéon 13 rue Victor Cousin 75005 Paris Métro : Luxembourg Tarif : 5,50€ (1 séance), 8€ (2 séances) Programmation : Claudine Eizykman Contact: Florence Dupont Cinedoc-Paris Films Coop 18 rue Montmartre 75001 Paris France Tel: 33 (0) 1 42 33 59 43 Fax : 33 (0) 1 42 33 63 35 Email : cinedoc.cinematheque@wanadoo.fr http://www.cinedoc.org
  20. ouais, j'ai trouvé... et j'ai écouté... et c'est.... c'est.... c'est nul Mais nuuuuuuuuuuulllll ! De la pop sirupeuse, c'est pourtant pas l'impression que ça donnait en regardant le film M'étonne pas que Sony les distribue sur les States.
  21. est-ce qu'il existe un site du groupe ? Sur quel label sont-ils distribués ?
  22. YO ! Ils sont en tournée, je vais les voir le 25 avril avec les Melvins !!!!
×
×
  • Créer...