Kerozene

SPARTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN!!!!!

Ben tu peux dire suisse-teuton si tu veux Mais dans la pratique on dit suisse-toto, ou plutôt swiss-tôt

Merci de ne pas confondre cinéma teuton et cinéma hélvète. Déjà qu'on n'a pas beaucoup de films, si en plus vous les attribués aux voisins, ça la fout mal

Wow

Je l'ai toujours dit et il le confirme: c'est Gilbert qu'a raison!

La claque! En voila un beau Franco! MACUMBA SEXUAL est une belle réussite, aucun doute là dessus. Et il me semble que Franco est peut-être le seul à exploiter la "bipolarité" sexuelle d'Ajita Wilson par l'intermédiaire du personnage de la princesse Obongo. Jamais Ajita n'avait été aussi effrayante. Le scope est superbe, les dialogues rares, les plans olé olé sont légions, la musique est envoutante, certaines images sont de pures merveilles (Ajita et ses deux esclaves en laisse cités par mon confrère Monsieur Tell) et les lieux de tournage sont superbe. Il est assez marrant de constater les similitudes du récit avec celui de Dracula et de voir Lina Romay en mini-mini short arpenter sous un soleil estival les alentours de l'hôtel exotique sur une musique d'orgue gothique qui aurait parfaitement collé à un Dracula de la Hammer.

Ben si elle est bonne et qu'elle a de beaux seins je veux bien tenir le rôle du mec qui l'a déflore. Ou celui qui l'a tripote. Ou celui qui l'a fouette.

C'est où qu'on postule pour décrocher le premier rôle ? Excellent Igor! Toutes mes ficelles de caleçon et beaucoup beaucoup de succès. en tout cas le pitch me botte, même si ça manque de punk motards post-nuke à la sauce Castellari mais je te pardonne parce que c'est ton premier film Me réjouis déjà de le voir!

Pas folichon. Cette histoire d'un mec triste qui trouve le bonheur mais n'en est pas satisfait aurait éventuellement pu être intéressante. C'est un peu irritant comme concept, d'autant plus que le Poelvoorde se met à râler au sujet de son bonheur grandissant sans raison, et ce au bout de deux jours seulement alors qu'il vient de se taper 40 ans de vie morne et moisie. Qui va avaler ça ? Bon, admettons qu'il y ait des gens suffisemment con pour réagir comme ça. Le film prend alors une direction opposée à celle précédemment amorcée, et quitte la comédie sympa pour verser dans le cynisme. Pourquoi pas après tout. Ce n'est pas forcément agréable mais c'est un part-pris intéressant qui ne caresse pas le spectateur dans le sens du poil. Mais à ce moment, est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi, mais POURQUOI, le film se termine sur cette note de positivisme renversante de stupidité qui décrédibilise la première ET la deuxième partie du film? A mes yeux ce film est donc une merde car il ne s'assume pas. C'est complètement raté, c'est écrit par un type qui ne savait absolument pas là où il voulait en venir et qui, une fois qu'il semble avoir trouvé sa voie, revient en arrière pour reprendre une direction en contradiction avec la première. Pour le côté AMELIE POULAIN décrit par Théo, je confirme que cette impression n'est du qu'à la musique du film, et uniquement à la musique du film tant celle-ci est une ressucée de celle du film de Jeunet. Sinon, dommage pour Poelvoorde qui pour une fois, pendant les 3/4 du film, fait preuve d'un différent de celui du Belge hystérique. Aux chiottes.

Du divertissement correct. Ca ne casse pas trois pattes à un canard, mais c'est effectivement correctement torché, ça explose, ça court, ça gadgetise, ça one-linise, ça sue, ça flingue, ça pétarade, ça cause très très vite... La scène qui se déroule sur le toit d'un building de Shanghai est vraiment stressante. En revanche, niveau scénar, pas de grande surprise. Il y a bien un retournement qui m'a surpris, mais il me semble que l'histoire est plus un prétexte pour servir à la gamme de gadgets d'Ethan hawk et ses potos plutôt que l'inverse. Pas trop grave, on ne regarde pas ce film pour se prendre le chou de toutes façons. En revanche, le final est cucul à tomber à la renverse: tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, ça rigole dans de franches empoignades amicales, ça fait du high five, les petits soucis sont oubliés et la vie est belle. A noter qu'au niveau du body-count, il me semble que pas un seul gentil ne répond à l'appel. ca évite de froisser les spectateurs les sensibles.

Ce film pue le poisson pas frais. Je sais que je l'ai vu. Je ne sais plus ce que j'y ai vu.

Mitigé je suis après la vision de ce 3ème volet. Et un peu amer aussi de découvrir ce robot phallus dont la présence n'est au final qu'anecdotique. J'aurai tellement voulu le voir péter du méchant dans des scènes de destruction massive, mais non. Il ne fait que naître puis plus rien. Triste. Pour le reste, le film souffre encore une fois d'une grosse carrence de rythme en son milieu. Certains plans sont inutilement longs, certains dialogues sont inutiles tout court, mais à côté de ça il y a des personnages attachants (et d'autres moins) et un esprit déglingué forcément attachant.

J'ai rien compris. y a qqn qui peut synthétiser ?

Toi tu vas te prendre des coups de batte de base-ball dans les genoux!

Un RESIDENT EVIL post-nuke? Rhââââââââââ-lovely!!

Ah ben voila, comme le morse, tout pareil. Oui, mais je le redis quand même, HABIT - qui fonctionne sur le même principe (drame réaliste ancré bien profond dans le quotidien de personnes comme ta mère, ton frère ou ta soeur et où le fantastique vient illustrer le ou les malaises et / ou traumatismes des protagonistes) est nettment plus réussi. Mais c'est bien quand même.

Non. C'est pas mal, c'est même plutôt bien. Mais je m'attendais à mieux de la part de fessenden dont j'avais littéralement adoré son HABIT - qui n'est autre que probablement le meilleur film de vampires des 90's - et peut-être même depuis la fin des 70's.

Oui je sais, mais je voulais vérifier par moi-même

Moi.

Bon sang de bordel de putain de merde ! Mais qu'est ce que c'est que ce machin tout débile ? J'ai rarement vu pareil amoncellement de conneries condensé en moins de 90 minutes! Que ceux qui attendent des matchs de baseball trash passent leur chemin, il n'y a rien de tel ici. On y trouve seulement quelques jeunes débiles se taper sur la gueule entre quelques miysérables larmoiments, deux séquences musicales complètement stupides, une ribambelle de gags qui tombent systématiquement à plat et de la morale si grasse qu'on pourrait penser que Disney se cache derrière cet amas de fiente au faux parfum de Troma bridé. Détestable.

Oui, c'était un régal

Le fait est que le film retranscrit une triste réalité australienne et que le racisme contre les immigrés asiatiques est malheureusement très répandu dans le pays.

Inintéressant, convenu et moche. Le pire reste probablement la "découverte" du réalisateur, à savoir l'actrice principale, une perle rare dégottée par hasard dans une boîte de djeunz et qui devait sans doute mieux sucer que les 1000 poufs qui ont passé le casting.

M'en souviens plus Sinon, il est plus mexicain qu'espagnol ce film? Super casse-burne, rempli de blablablas interminables, cette histoire de fantômes soporiphiques n'apporte rien à un genre qui ne réussit décidément pas à tout le monde.

C'est très très beau, il y a un moment de bonne grosse flip, il y a des zombies fulciens, c'est souvent hypnotisant, mais ça se termine malheureusement en eau de boudin et ça, ça ne pardonne pas.