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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Kerozene

    Gerardmer 2008

    On a fait une pause bouffe pour celui-là En même temps s'ils avaient pris un autre titre on aurait peut-être agit autrement, mais la séance a apparemment fait bidonner pas mal de monde grace à une VF croustillante (je ne l'ai vu qu'en VO personnellement, pas de quoi se rouler par terre) ils ont passé L'horrible dr Orloff, non ? Pas de quoi se bidonner... Ben non, mais pour cette nuit des "maîtres du genre", la majorité du public était composée de mecs avident de bidoche et de moeufs à oilpé. Donc ils ont gentiment rigolé pour le Franco (on est arrivé 5 minutes avant la fin), puis ils se sont copieusement emmerdé pendant L'INCINERATEUR DE CADAVRES (il me semble que certains ne savaient pas comment réagir face au film), et ont finalement été décontenancé devant FEAR X... Il devait être 3h30 ou 4h00 du mat quand ils ont enfin pu se lâcher un peu devant EVIL ALIEN.... Drôle de programme tout de même.
  2. ?? Non, en fevrier c'est le Bava normalement. Lequel?
  3. Tout dépend de ce que tu entends par "défourailler".... C'est un trip visuel, une sorte de réflexion par l'image sur un choc culturel propre aux années 1968, et c'est visuellement à couper le souffle. Par contre, c'est plutôt du style contemplatif, très lent, très posé, limite expérimental par instants, et la zik des Floyd est principalement mise à profit lors de la scène clé du film que je ne dévoilerai pas. Mais franchement, si sur ma télé ça m'avait parru fascinant, sur grand écran ça doitflinguer les rétines: le scope est superbe et exploite au maximum le désert californien et ses immenses étendues jaunâtres. Pas un chef d'oeuvre, mais un film pertinent qui mérite le coup d'oeil.
  4. Kerozene

    Gerardmer 2008

    On a fait une pause bouffe pour celui-là En même temps s'ils avaient pris un autre titre on aurait peut-être agit autrement, mais la séance a apparemment fait bidonner pas mal de monde grace à une VF croustillante (je ne l'ai vu qu'en VO personnellement, pas de quoi se rouler par terre)
  5. ça va, tu prenbds pas trop de risque toi au moins
  6. Kerozene

    Gerardmer 2008

    La meilleure édition de Gérardmer depuis que je m'y rends... Peut-être même depuis ses origines: exit les people éphémères issus de la télé-réalité et bonjour les monstres sacrés du genre. Gordon et sa bouille de nounours débonnaires au regard malin, Deodato faussement décontracté mais attachant, Franco propulsé sur roulette ne se fait pas quitter d'une semelle par Lina Romay qui - pour une fois - porte la fourure au lieu de la dévoiler, Neil Marshall aime visiblement la bière, Jake West aussi - ainsi que les produits tupéfiants-, Juraj Herz effacé, Kristinna Locken rayonnante au milieu de pas mal de papys.... Et côté ciné: STUCK: une pure bombe, un thriller sombre et rentre dedans, du cinéma glacial et diablement bien maitrisé par un Gordon au sommet de son art. Photo glacial, montage au rasoir, musique efficace, interprétation au petits oignons, humour douteux, de la violence et un peu de sexe: c'est du caviar sur celluloïde. EPITAPH: variation sur le thème de la serpière flottante, le film démarre de manière inattendue et parvient à surprendre en allant là où on ne l'attend pas. Problème: à force de ne pas vouloir faire un film d'écolières en jupette et de prétendre à une démarche intellectualo-auteurichiante, on en vient à s'emmerder au point de regretter ces mêmes écolières. Misère. THE BROKEN : Etonnante relecture de L'INVASION DES PROFANATEURS à l'esthétisme précieux et à la mise en scène un rien prétentieuse. Un peu longuet et répétitif, le film peine à capter l'attention du spectateur sur sa durée. DIARY OF THE DEAD : en soi, c'est pas mal du tout, mais mon compatriote Guillaume Tell m'a ouvert les yeux: le film a clairement le cul entre deux chaises, hésitant entre la satire au premier degré et le film un peu plus léger. Le plus gros problème est que Romero a la sale habitude de prendre la main du spectateur pour bien souligner le sens de l'action et des images. Il est bien loin le temps où George Andrew laissait son public se délecter d'images suffisamment fortes pour parler d'elles-mêmes. [REC]: Le but du film est de faire bondire le spectateur de son siège. Et y a pas à dire, ça fonctionne plutôt bien (et avec volume à 120 décibels, impossible de résister). Pour le reste, il s'agit d'une expérience plutôt plaisante jusqu'au moment où on se met à faire attention aux incohérences et aux trous scénaristiques. CLOVERFIELD: une expérience inédite, immersion totale au coeur d'un film qui fera date dans l'histoire, une vraie montagne russe cinématographique. LE ROI DE LA MONTAGNE : Survival efficace et surprenant dont certains éléments qui ont énervés la majorité d'entre nous m'ont parru au contraire être au bénéfice du film. Mise en scène efficace, jolie photographie, très bonne bande sonore, les amateurs du genre apprécieront, les autres beaucoup moins. JOSHUA : celui-là semble s'être égaré. Sa présence au sein de la sélection géromoise est pour le moins surprenante, mais le film n'en est pas moins réussi. Il s'avère même carrément tordu et décalé malgré sa forme d'une sobriété exemplaire. ROGUE : le film de sac à main boufeur d'homme vient de trouver son nouveau maître-étalon. Film très premier degré, mise en scène sobre et efficace, photo somptueuse, interprétation sans faille, le scénar est simple et sans fioriture; quant au final, il offre quelque chose de totalement inédit dans ce sous-genre qu'est le film de croco psychopathe. TEETH : on s'attendait à un film foireux, on se retrouve face à une série B fort attachante. Comme le dit MovieRev, il est dommage que le film laisse de côté le portrait un rien potache de la communauté évangeliste qu'on aime ridiculiser mais quelque part il aurait été facile de les déglinguer à coups de boulets rouges. Au final, c'est fun, divertissant et même très drôle. Ca fait penser à un Troma avec beaucoup de retenue tout de même (on pense très fort à CLASS OF NUK'EM HIGH) EL ORFANATO : esthétiquement remarquable, fort émouvant, mais très convenu, L'ORPHELINAT c'est du fantastique familiale de première classe, avec tout ce que cela implique de concession, y compris le final triste mais pas tant que ça dont on se serait bien passer. ALL THE BOYS LOVE MANDY LANE : Ca commence remarquablement bien: dès la scène d'ouverture, on sait qu'on assiste à un slasher au ton très personnel. C'est réalisé avec classe, le ton est passablement méchant et là on s'installe au fond du siège avec le sentiment que les prochaines 80 minutes vont être délectables. Seulement voila, le film emprunte un rythme de croisière qui s'avère bien monotonne et on finit par s'y ennuyer. Mauvais point donc, d'autant plus que le twist final ne surprendra pas grand monde. Reste une belle mise en scène, une chouette BO, une volonté de se distinguer du SCREAM-like (pari amplement réussit) et de belles gonzesses qui sont en plus de cela extrêmement cochonnes. APARECIDOS : si la finalité du film est tout à fait louable, si le message est relativement fort, je suis passé complètement à côté de la métaphore, la faute à une mise en scène roublarde, à un script à la mords-moi-le-noeud et à une ésthétique moche. Ca m'a rappelé KM 31 et ça m'a presque tout autant irrité. Dommage. SHROOMS : film nul dans lequel se perdent quelques rares éléments attachants - la vache qui parle, les bouseux blagueurs, les dialogues d'ados crétins et de jolies gonzesses. Mais c'est franchement mauvais de chez mauvais. FRONTIERE(S) : c'est très con mais ça défoule, les dialogues sont pathétiques (il est possible d'être vulgaire sans être stupide), les acteurs sont presque tous mauvais mais c'est tellement brutal que ça en devient jubilatoire. Le Bihan est excellent (m'enfin là je pense que je suis un des seuls à le penser). Le projectionniste sans doute bourré au Gewürtzt nous a fait bénéficier d'une projo floutée du plus mauvais effet. Picotements occulaires garantis. BLACK WATER: un autre film de croco anthropophage australien, le concept est très simple - encore plus que ROGUE avec lequel il entretient bien des points communs - et les apparitions du croco sont d'une redoutable efficacité mais elles sont malheureusement trop rares, du coup, sur 90 minutes, ça devient un peu ennuyeux. Ca reste quand même nettement supérieur au film d'attaque animal de base. FEAR X: thriller fascinant qui fait inévitablement penser à LOST HIGHWAY. C'est très beau, contemplatif, hypnotisant et très intelligent. Turturro est excellent. LA RESIDENCE: Magnifique copie, belles couleurs, scope somptueux: il n'existe pas de meilleure condition pour découvrir pour la première fois cette perle noire gothique aux décors magnifiques et au casting féminin à se damner! Quant à l'histoire, elle est certes un peu classique, mais elle est aussi cruelle, noire et il s'en dégage un véritable parfum de perversité. L'ANGE EXTERMINATEUR: ou l'adaptation de l'adage sartrien "l'Enfer c'est les autres" par Buñuel. Poème surréaliste maîtrisé d'une main de maître par un des plus virulents critique de la bourgeoisie auto-suffisante. La copie était correcte, une vraie bénédiction de pouvoir profiter de pareilles projections. L'INCINERATEUR DE CADAVRES: étonnante et fascinante parabole au ton très pince-sans-rire de la montée du nazisme au début des années 30, le film fut projeté dans le cadre d'une nuit "maîtres du genre" (avec FEAR X - ? comprenne qui pourra-), inutile de préciser que la projection de cette pelloches passablement abîmée dérouta les mecs venus avec l'espoir de se farcir des montagnes de bidoche recouvertes de sexe graveleux. Excellent film néanmoins.
  7. C'est d'la balle! Et puis bon, les chiffres n'ont jamais témoignés de la qualité d'un film... Et puis de toute façon, le film aurait coûté moins de $30mio et en a déjà rapporté entre 40 et 50... Un bon dosage donc, il me semble que les hommes derrière les manettes savent exactement ce qu'ils font et je ne serai pas surpris de voir la suite pointer son pif d'ici peu. Bref, mis à part ça: ce film est une bouffée d'air, on assiste enfin à quelque chose de réellement nouveau dans le monde du film de monstre (quoi qu'en dise Superwonderscope) et ça, c'est pas rien. En plus le bestiaux est carrément mortel, moche comme tout, increvable, grotesque et glouton. C'est d'la bombe.
  8. Alors c'est très con, mais c'est très fun! Le pitch général est propre à un genre de cinéma que j'aime, donc ce n'était pas trop difficile d'accrocher à la chose. Problème: c'est écrit avec deux pieds gauches et les dialogues sont particulièrement éprouvants et crétins. Dommage qu'il n'y ait pas eu un effort d'écriture à ce niveau parceque les "nique ta reum" et autres "têtes de chibre" à tout va, ça gave. Puis quand pépé nazi fait ses monologues à deux balles, il est assez lamentable. Je suis persuadé qu'avec un peu plus de soin apporté aux dialogues, le film aurait gagné en qualité. Je prends pour exemple le monologue de la fille enceinte qu moment où elle coupe les cheveux de sa "prisonnière"... Ce moment était très réussi. Mais pour le reste, c'est bourrin, c'est carrément brutal, c'est gore, c'est méchant, c'est parfois gauche et grotesque, mais ça se laisse voir avec le sourire. Ceci dit, une bonne partie des zonebissiens présents à Gérardmer n'ont pas du tout adhéré. La séance eu lieu en présence d'une partie de l'équipe qui proposa une séance de questions / réponses après la projo, malheureusement celle-ci s'est transformée en sorte de one-man show crétinoïde lorsque l'un des acteurs du film (enfin, "acteur" est un bien grand mot en ce qui le concerne) à commencer à faire le bouffon en collant la honte à ses camarades qui n'en méritaient pas tant. Triste.
  9. Bon ben c'était pas mal en fait. Scènes de flips efficaces (bon, il n'y en a pas 150, mais quand même), ambiance générale plutôt oppressante, sursauts bondissants.... Mais scénar à trous, incohérence narrative, pas de gros problèmes mais juste de quoi pouvoir pinailler sur l'aspect scénaristique de la chose.
  10. Kerozene

    Les enfants du phare

    Ils ont leurspace: http://www.myspace.com/lesenfantsduphare Article Ouest France qui émet un doute sur l'authenticité des machins: http://www.ouest-france.fr/Peut-on-compter-sur-les-Enfants-du-Phare-/re/actuDet/actu_3639-537435------_actu.html Merde, ça casse un mythe en devenir
  11. Je ne sais pas si ça a déjà été posté qq part, mais ça explose tout!!! http://fr.youtube.com/watch?v=tneA2PslGs8
  12. Kerozene

    SONDAGE MEDUSA

    Tu ne prends en compte que les films distribués en France ?
  13. Le plus grand... et pis c'est tout. Je ne sais pas s'il existe des enregistrements de son jeu sur les planches, mais il y a des enregistrements de quelques uns de ses passages radio où il a notamment raconté des histoires d'épouvantes dans les années 50-60, avec le brio qu'on lui connaît. J'avais une cassette avec l'une de ces histoires (ça devait durer entre 45 et 60 minutes) mais je l'ai perdue
  14. Kerozene

    Lemming - Dominik Moll (2005)

    Bon, vu hier soir et grosse baffe. Ben oui. Certaines scènes du film, remplies de plans fixes, de silences et de personnages statiques, m'ont profondément subjugués, à tel point que j'en avais la bouche bée et le souffle presque coupé. Le dénouement est peut-être un peu facile, mais ce n'est finalement pas là que le film est intéressant - d'autant plus qu'on s'attend quand même à ce que ça se finisse de la sorte. Non, ce qui est captivant ici est la mise en scène, la création d'une ambiance, d'une atmosphère toujours plus pesante, et j'ai trouvé ça très bien réussi. Bref, la grande classe. Et l'affiliation à Lynch... ben... euh.... si vous en voyez une, à ce moment là la moitié des films qui sortent sont affiliés à Lynch, faut pas pousser.
  15. Kerozene

    Doomsday - Neil Marshall - 2007

    WTF? On peut avoir honte d'aimer FORREST GUMP ou SISSI L'IMPERATRICE.... Mais pas DOOMSDAY nom d'une pute!!!!
  16. Ben il est en train de faire FEAST 2 et 3....
  17. Kerozene

    Pulse - Jim Sonzero (2006)

    Wouarf, si j'ai matté le machin, c'est parceque mon frangin m'a choppé un DVD d'occaz qu'il m'a offert à Noël. Sympa le frangin. Bref, déjà que KAIRO m'avait passablement gonflé avec son histoire abracadabrante d'éctoplasme circulant sur le ouaib ou je ne sais quelle connerie du genre, PULSE parvient à faire pire en étalant copieusement la débilité du scénar d'origine. On reconnaît bien là une prod Weinstein (comprenez par là orientation ados trop fun, héritage indécrottable de SCREAM et consort, et un montage top vidéo-clipé), mais au moins ça assure un casting féminin qui permet de reluquer de jolies poulettes en top moulants. C'est à peu près tout ce que je retiendrai du truc.
  18. Vu hier soir, plutôt pas mal, Garcia est juste et est totu à fait crédible en chômeur usé et détraqué. Le film est relativement dur pour ce qu'on pourrait appeler "un thriller familial". Cependant, on sent que Gavras souhaite faire passer un message, seulement il est difficile de le prendre au sérieux car sous l'apparence sombre et nihiliste de son récit se cache une comédieplus légère qu'il n'y paraît. On s'en rend compte dans la deuxième partie, lorsque Garcia se ressaisit et remonte la pente. Ca reste plaisant dans l'ensemble.
  19. Kerozene

    Gerardmer 2008

    Me demande surtout si il va arriver à becter les glaces C'est pas bien de se moquer
  20. Kerozene

    Gerardmer 2008

    Non mais je rigole, la sélection m'intéresse mine de rien. Mais j'espérais tellement voir DOOMSDAY Et puis Franco à Gérardmer, scusez un peu mais il est pas trop à sa place là-bas... Me demande bien ce qu'il va foutre.
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