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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Sais pas.... Sont bizarres ces nouveaux.
  2. Ca y est. Je l'ai vu. Et c'est une purge monstrueuse! Laid, con, incompréhensible, débile... les qualificatifs ne manquent pas pour définir cet étron filmique incroyablement mal branlé. Tiens, ce smiley ressemble beaucoup au méchant du film: Seul point positif: un tit shot gratuit (mais on ne voit qu'un nichon) en passant, ce titre n'a rien à faire en Europe, c'est une prod américaine, qui se déroule dans le trou du cul des States - l'un des protagonistes lâche d'ailleurs un truc assez édifiant: "Je vais cherche à boire au village... Je serai de retour dans deux heures"... ce qui a le mérite de mettre en avant le sentiment d'isolation que ressentent les personnages.... ou pas
  3. War is Menstrual Envy est en fait un projet destiné à être projeté sur deux écrans côte à côte. En vidéo, tu ne vois en fait que 50% du film. Ca reste très moyen, mais c'est quand même mieux avec les deux images (me souviens plus vraiment ce qu'il y a sur le 2ème écran). Mais Zedd reste quand même le vilain petit canard du mouvement (Caliméro?), j'aime bien Police State ainsi que Thrust in Me, mais la réussite de ce dernier doit aussi beaucoup à Kern.
  4. Non non, c'est un truc plus vieux que ça. C'était dans un poste qui date de mi 2007 il me semble. Il y avait plein de trucs délirants sur ce site, de la pop, de la noise, je n'avais pris soin de télécharger qu'un truc, c'était le Metal Music Machine de Lou Reed. Mais impossible de me souvenir du nom du machin.
  5. Il y a qq mois, qqn avait posté l'adresse d'un site plutôt bargeot avec plein de zik à télécharger pour pas un rond et c'était censé être plus ou moins légal. Kikaladresse?
  6. Kerozene

    Etrange Festival Lyon

    Mis à part le fait que j'ai oublié mon rasoir, tout s'est merveilleusement bien déroulé (trop bien même, ça m'a limite agacé ). Bonne ambiance, public agréable, bonne sélection (JUSTINE + LA PAPESSE + MAIS NE NOUS DELIVREZ PAS DU MAL + ELMER + BRAINDEAD + LA LAME INFERNALE sur grand écran, c'est quand même la classe) et des organisateurs très (trop?) décontractés (ça aussi c'était agaçant - moi qui voulait voir Cyril, suer comme un goret....) et très hospitaliers (merci à mes hôtes - va te faire foutre Cyril ). Et puis les rencontres avec Rollin et Séria (qui tirent chacun une gueule à dormir dehors sur la photo là haut), ça ne s'oublie pas - même si Rollin prétend ne jamais avoir croisé Franco.... il doit y avoir une histoire de bonne femme derrière tout ça. Et puis Cyril qui sodomise NickLezob avec un Némo gonflable, un grand moment d'improvisation surréaliste. Une chose est certaine: je serai là l'année prochaine!
  7. Bon.... ça fait très envie comme ça... Mais c'est quand même passablement chiant. Il ne s'y passe pas grand chose, pour autant que je m'en souvienne.
  8. ah ben ça.... j'étais sûr qu'il était mort depuis perpet celui-là.... RIP quand même
  9. Kerozene

    Vos concerts bis

    Suis allé à un festival à Genève jeudi dernier... Beaucoup de monde... Trop de monde.... J'y allais pour Autechre... Avant ça, j'ai l'opportunité de voir Sébastien Tellier, dont je ne connais strictement rien si ce n'est le fait que la presse semble se tripoter la nouille devant le monsieur et que même ici il m'a semble voir deux ou trois commentaires élogieux à son sujet. Et alors quelle ne fut pas ma surprise de voir sur scène unvilain poilu qu'on croirait sortit tout droit de "La Guerre du Fer" d'Umberto Lenzi et qui tente nous faire croire qu'il est un peu poète, un peu rock'n roll, un peu obsédé mais tout ça enveloppé dans du un peu rigolo car ne se soit-disant prenant pas au sérieux. Résultat: une heure de soupe indigeste oscillant quelque part entre du Etienne Daho et du Michel Berger avec la patate en moins (c'est dire si ça délirait sur scène!). Ronflant et désarçonnant, faudra vraiment m'expliquer le pourquoi de la raison de l'engouement autour du machin (on m'a vaguement fait comprendre que ses deux premiers albums étaient très bien mais que le dernier est nul et que donc voila...) Puis vint Autechre... Un autre registre, hein, pas grand chose à voir. Très bon. Vraiment très bon. Bon son, bon rythme, sec, sans chichi, sans artifice d'aucune sorte (même pas lumineux, il a joué dans le noir - peut-être est-ce un peu sa marque de fabrique, j'en sais rien) mais malheureusement beaucoup trop court....
  10. J'ai hésité à le mettre dans la partie bis tellement c'est énorme! Wadd, ça tient pour "gourdin", référence à Johnny Wadd (Johnny Gourdin donc), personnage récurrent des films du hardeur John Holmes.... Le gourdin, c'est pour son membre, une excroissance de 34cm qu'un des interviewé n'hésite pas à comparer à son avant-bras. Rocco lui_même peut aller se cacher. Wadd, le film, c'est donc un documentaire sur la vie turbulente de John Holmes, sur son parcours chaotique de garçon de ferme à le jeunesse perturbée (le père qui piccole, le beau-père qui cogne) à celui de premier hardeur mort du sida, avec tout une histoire digne d'un roman de Brett Easton Ellis entre deux: un mariage innocent, une arrivée naïve dans le monde du cul, une gloire rapide qui perdure encore aujourd'hui (on l'appelle le Elvis du X), un rôle de balance au sein de l'industrie du X auprès de la police de LA, puis une plongée dans l'enfer de la dope, un esprit gravement mytho, une romance avec une gamine de 15 qu'il pousse à la prostitution pour pouvoir se payer sa coke, drogue qui le poussera à participer plus ou moins malgré lui à un crime crapuleux qui défraya la chronique. Bref, Holmes, ça aurait pu être un exemple à suivre, un symbole de la virilité noble, le mec semble avoir été le type le plus doux et plus sympa du monde avant de devenir le plus déglingué et le plus pourri du monde, continuant à tourner des pornos en Europe en se sachant atteint du VIH (la Cicciolina ne semble pas lui en vouloir beaucoup à ce sujet). On oscille entre les commentaires admirratifs et les crevages d'abcès. Les témoignages proviennent de son manager, de ses femmes, d'acteurs, d'actrices, de réalisateurs, de producteurs, de ses contacts à LAPD et ceux-ci se contredisent souvent, ce qui fait ressortir de manière effarante le fait que Holmes était un menteur pathologique, un peu schyzo sur les bords et surtout que personne ne le connaissait vraiment. Autrement dit, il a beau avoir baiser 14'000 gonzesses selon ses dires (chiffre évidemment démenti par ses proches qui sont quand même bien obliger d'admettre qu'il en a ramoner plusieurs milliers), Holmes a toujours été un homme dàsespérément seul, sauf peut-être auprès sa première femme (dont on ne saura pas si elle a jamais eu de rapports sexuels avec lui), et éventuellement sa maîtresse de 15 ans... Le documentaire n'est pas super bien réalisé (les petits plans pourris de drugstores illustrant une anecdote citant un drugstore, c'est quand même un peu minable), mais le sujet et les témoignages sont passionnants et c'est surtout le destin d'un homme qui avait la possibilité de vivre une aventure aux petits oignons mais qui termina lamentablement qui fascine. Surtout que sa vie semble avoir été chapitrée et qu'à chaque chapitre, Holmes s'enfonçait plus profond encore dans la déchéance. Une sorte de contre-exemple du rêve américain en même temps qu'un témoignage peu glorieux du monde du porno.
  11. Kerozene

    Doomsday - Neil Marshall - 2007

    heu.... THE DESCENT était aussi très bien parce qu'il ne tombait pas de cette, disons, facilité.... J'attends de voir.
  12. Ah oui, ni la moeuf aux cheveux courts, ni les barbares à contre-jour ne proviennent du film.
  13. Mouais... tiens RESISTANCE, c’est l’histoire d’un petit groupe d’idéalistes, des honnêtes gens qui n’emmerdent personne et qui ne demandent qu’à ce qu’on leur foute la paix mais que bien sûr ça ne se passe pas comme ça. C’est aussi l’histoire d’un pays au bord de la guerre civile et dans lequel les dérives d’un gouvernement inapte à régler ses problèmes sont sur le point de le faire pencher vers un régime totalitaire aux résonnances fascistes. Une situation qui fait penser à une préquelle de MAD MAX, sentiment appuyé par la photo cinémascopée qui saisit de manière classieuse l’outback sauvage traversé de routes interminables, ses protagonistes marginaux et ses militaires excentriques. Et tout cela est très joli, on a envie de soutenir un tel film puisqu’il aborde un sujet intéressant et qu’il semble tirer les sonnettes d’alarme en mettant en évidence une situation locale peu reluisante. On pense même aux TRAQUES DE L’AN 2000 et LE DRIVE-IN DE L’ENFER, tous deux de Brian Trenchard-Smith et qui décrivaient là aussi un gouvernement australien à la dérive, mais de manière nettement plus bis. Seulement voila : comment rendre crédible, en particulier au sein d’un film qui se veut aussi sérieux, un sujet aussi fort en le situant au milieu de nulle part, là où ni l’État ni la population ne peuvent être atteints, ni même concernés par le sort de ces gens ? Pourquoi poser une division armée, un tank et un barrage là où personne ou presque ne passe jamais ? Et finalement, pourquoi opposer un point de vue féministe à une position clairement homophobe ? RESISTANCE, avec ses propos parfois contradictoires (un discours antifasciste homophobe… cherchez l’erreur) s’avère donc sévèrement bancal et finalement presque aussi douteux que ceux qu’il tente de condamner. Et le DVD Newtone déconne: le chapitre 5 et 6 sont inversés.... très agréable.
  14. Beuh, ça fait 25 ans que ma famille habite en Suisse, on n'a pas choppé l'accent pour autant.
  15. Le mec à la bourre!! Enfin vu, ma chère moitié m'a offert le diptyque Grindhouse et hier soir, je me suis donc fait un double feature les doigts de pieds en éventail.... Je ne suis habituellement pas fan de Rodriguez, ses films ont un concept de base alléchant, mais leur traitement est systématiquement bâclé, la sauce ne prend quasiment jamais et on s'y emmerde copieusement.... Mais là! J'ai pris mon pied comme à mes 12-13 ans à la découverte d'EVIL DEAD 2!!! J'avais les yeux écarquillés comme des soucoupes, je gloussais comme un sale gosse en possession d'un nouveau jouet, j'éructais de joie! C'est ultra-rythmé, c'est super violent, c'est très gore, c'est sans concession (et vas-y que bute le marmot de manière totalement gratuite, et on éclaffe le clébard de manière super délicate), un pur esprit cartoon dégénéré magnifié par cette esthétique 70's abusive mais complètement assumée. A ce niveau, Rodriguez va plus loin que Tarantino qu'on sent pour le coup un peu plus frileux et c'est tant mieux. L'esprit Grindhouse est bien là à l'exception d'un élément de taille: le sexe! Pas un bout de nichon à l'horizon, pas de femmes à poil.... OK, on compense sur le reste, mais quand même.... DEATHPROOF c'est un bon Tarantino, bien mieux que KILL BILL 1 et 2 en tout cas. Bien sûr, le film n'est pas parfait et souffre d'éléments typiques du cinéma de Tarantino: les références cinématographiques à répétition (est-ce vraiment un manque d'imagination? je ne le vois pas comme ça, les films sont ouvertement cités avec cette touche si personnelle), une bande son pas toujours pertinente (mais ça s'améliore par rapport au catastrophique choix des morceaux illustrant KILL BILL - argh, je n'ai toujours pas digéré la scène finale à cause de ça) et une fin un peu abrupte. Pour le reste, il y a du très bon: un casting impeccable (les actrices sont excellentes), des dialogues toujours aussi bien torchés et drôles, une cascade d'anthologie et une poursuite mémorable. L'ensemble est cohérent, surtout dans la première partie qui conserve la touche "grindhouse", pellicule usée, jump-cut, etc.... Ca colle parfaitement au ton général du film, aux fringues des filles, aux dialogues. Dommage que la deuxième partie ne conserve pas cette esthétique. Et toujours pas l'ombre d'un bout de sein à l'horizon.
  16. Depuis quand Giger est Américain?
  17. Effectivement, une fois le film terminé, on ne peut s'empêcher de se dire que la seconde partie de la carrière de Nomi était passablement pathétique. Ce que j'ai le plus apprécié dans le film est la description de la scène du Lower East Side, cette boîte bordellique dans laquelle Nomi est apparu pour la première fois sur scène. Ca nous fait regretter de ne pas avoir vécu tout ça.
  18. Kerozene

    Zombie Walk 2008

    Rhoooo, ça a l'air trop bon!! Ca me botterait à mort, comme dit l'autre
  19. Suis curieux de voir ce que ça donne!
  20. Kerozene

    Driven - Renny Harlin (2001)

    si tu t'ennuies devant la F1 sur france télévision, c'est parce que c'est diffusé sur tf1 Non mais la F1 sur la télévision suisse, c'est chiant aussi hein Ceci dit, j'ai vu le film de Harlin en salle en séance de presse en compagnie d'une horde de journalistes tous consternés! Bon ok, c'était mauvais... et moche.... Mais la plupart de ces gratte-papiers ont quitté la salle avant la fin. Au final: le distributeur a même renoncé à sortir le film sur les écrans helvètes.... Triste
  21. Vu au ciné, j'étais encore un ado con.... et déjà là ça ne me faisait pas rire.
  22. Putain, ça m'a foutu le bourdon ton article....
  23. Peut-être mon film préféré de RRM, une pure bombe, de l'éclate totale, bref, c'est que du bonheur.
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