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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Enfin vu... ben c'est pas mal du tout. Voila.
  2. Vu à la Cinémathèque suisse également, en 1992 lors de leur cycle "vampire" à l'occasion de la sortie du Dracula de Coppola. Peut-être qu'on s'est croisé à ce moment Sinon j'aime bien, mais c'est quand même un peu casse burne sur la longueur.
  3. Vu à sa sortie VHS et jamais revu depuis. J'avais trovué ça très moche et super chiant.
  4. C'est vrai que ça tient encore pas mal la route aujourd'hui.... Dommage qu'ils aient usé le concept jusqu'à l'écoeurement.
  5. Kerozene

    Suspiria - Dario Argento (1977)

    C'est clair que la Harper n'a jamais été érigée au rang de sex-symbol, et on sait pourquoi...
  6. Kerozene

    Vos concerts bis

    Eh beh... sacrée soirée... J'ignorais totalement que STet IG avaient remis el pied à l'étrier.... Quant à Fishbone, vu 3 fois sur scène, et deux fois ce fut monstrueux. La troisième ils étaient déchainés, mais la sono de la salle était tellement pourrie que je me sentais plus désolé pour le groupe que content de les voir.
  7. Vas-y, n'hésite pas à y jeter un oeil: c'est furieux, bruyant et bordellique, un véritable "punk movie" comme on n'en fait plus! Vu deux fois en salle pour ma part, depuis j'ai un acouphène
  8. Il exagère un peu le Jeremie, c'est clairement pas un must, mais ça mérite tout de même un petit coup d'oeil. Le problème c'est que malgré son côté trashos, le film est tout de même très moralisateur.... C'est presque un peu limite.
  9. Vu hier soir.... et c'est quand même très mauvais: acteurs uber-nazes pour personnages abrutis, dialogues débiles, musique façon "flic de Beverly Hills", un effet gore un peu moisi (une décapitation), une scène de douche avec plans nichons - mais la fille se douche en culotte Et surtout la révélation finale est à se pisser dessus
  10. Kerozene

    Ratboy - Sondra Locke (1986)

    Douloureux souvenir, en effet... Ca tire toutes les ficelles les plus grossières du cinéma lacrymale. C'est proprement indigeste.
  11. Un remake du ROCKULA de la Cannon ?
  12. Reçu il y a peu.... Et nom d'une pute! Le mec a abattu un boulot de malade, consacré des heures de boulot et de recherches à des bouts de pelloches improbables (LE TUEUR DE LA FORET? ) avec entretiens, anecdotes, etc... etc... Juste feuilleté pour le moment. La taille du machin fait presque peur, pas pratique à manipuler en tous cas...
  13. Kerozene

    Madonna - Hard Candy (2008)

    J'avais un certain respect pour la vieille cochonne, mais là non, faut quand même pas pousser. Quand c'est à chier, c'est à chier. Et là c'est vraiment à chier.
  14. Vu hier soir sur notre bonne chaîne suisse, et c'est vraiment très sympathique, drôle et bien foutu (la photo est très belle)... Mais j'ai besoin de le revoir sans les mômes qui refusent de dormir et sans les potes qui téléphonent à pas d'heure.... Parce que du coup j'ai loupé la moitié du film.... Mais sinon ça a l'air bien.
  15. Le côté carton-pâte ne m'est apparu (et m'a dérangé) qu'avec le visionnement des films en DVD. Du coup, je préfère les voir en VHS, ils transpirent moins le toc.
  16. C'est plutôt sympa, un peu bavard certes, mais le pitch de base est plutôt appétissant et son traitement très orienté vers le latex. Ce se regarde.
  17. Un grand regret: ne jamais l'avoir loué au vidéo club dans lequel je trainais mes guêtres... Il me faisait trop peur
  18. Kerozene

    L'amérique interdite I & II

    On est d'accord pour dire que les scènes énumérées ci-dessus sont issues des deux films. Or, le premier AMERIQUE INTERDITE est en réalité le mondo THIS IS AMERICA PART 2, tandis que L'AMERIQUE INTERDITE 2 est en VO AMERICA EXPOSED. Le premier volet de THIS IS AMERICA est - il me semble - inédit en France. C'est ce qu'il me semble, mais si je me gourre, je serai heureux de l'apprendre, ça m'évitera de passer pour un con la prochaine fois que j'en parlerai au bistrot du coind Sinon, je n'ai vu que le premier AMERIQUE INTERDITE, mon gribouillage de l'époque: Ce mondo rigolo s'attarde sur différents aspects déviants et pour la plupart comiques de ce merveilleux pays que sont les États Unis. Vanderbes ne suit aucun fil conducteur ni aucune logique, il aligne les séquences insolites à la suite comme s'il s'agissait d'un catalogue touristique pour amateur d'anomalies culturelles. Et on commence en douceur avec un mini reportage sur Jello Biafra (le chanteur des Dead Kennedys pour ceux qui l'ignoreraient) et sa campagne électorale pour la mairie de San Francisco. Personnellement, j'adore les DK mais j'ignorais totalement cet épisode de la vie du groupe qui jouait alors leur fameux "California über alles" pour la campagne électorale ! Pour la suite, et dans le désordre, L'AMÉRIQUE INTERDITE nous propose un menu aussi hétéroclite que cocasse: des bonnes sœurs font du karaté suite au viol de l'une des leurs - habillées en collerette, on les voit péter des briques d'un revers de la main; un centre de production de volailles à destination des fast food dans lequel les piafs se nourrissent de leurs propres excréments; des combats de boxe féminins avec des filles qui se castagnent les seins à l'air; des strip clubs réservés aux femmes et dans lesquels des moustachus se dézappent en souriant; la présentation du magnifique Capitaine Sticky - un riche et obèse quidam barbu qui se prend pour un super héros en costume à paillette et qui entarte les business men véreux qu'il poursuit au volant de sa Stickymobile (!?) pleine de gadgets hilarants; moins drôle, on voit des laissés pour compte vivant dans les réseaux souterrains new yorkais cohabiter avec des "super rats" (à savoir des rats affamés et bouffant tout - vieillards et gamins compris); un chasseur de prime qui pète des portes à mains nues sous couvert de la justice; un bordel canin dans lequel les maîtres offrent une chienne à leurs compagnons à pattes moyennant finance - tapisserie en bordeaux feutré à l'appui !; une boîte disco avec des danseuses baignant dans de la gélatine ; des gosses accompagnant leurs parents chez l'armurier et tâter des grosses pétoires ; un atelier de couture de panoplies SM ; une cérémonie religieuse pendant laquelle les fidèles s'enfilent des lignes de coke avec la bénédiction du Seigneur; une boîte échangiste dans laquelle ça partouze à mort et, enfin, un condamné à mort passer à la chaise électrique. L'AMERIQUE INTERDITE est typiquement l'un de ces films opportunistes qui est au documentaire ce que " Les Nouvelles du Monde " est au journalisme, mais il faut tout de même avouer que l'on se marre souvent devant tant d'anecdotes étonnantes. Rares sont les sujets choquants, d'autant plus que l'on est en droit de douter de leur véracité, et c'est tant mieux. Le film est en réalité la suite de THIS IS AMERICA, mondo forcément similaire déjà réalisé Vanderbes mais inexploité en France à ma connaissance. L'année de production de cette séquelle reste quelque peu mystérieuse. Si l'imdb et la plupart des sites répertoriant ce film prétendent qu'il date de 1977 ou 1978, on est effectivement en droit d'en douter puisque Jello Biafra se présenta pour la mairie de San Francisco en 1979 à en croire son site web. Ce dernier permet d'ailleurs de corriger un autre point : alors que le film prétend que Jello arriva troisième aux élections lui-même précise qu'il n'est arrivé " que " quatrième. Toujours est-il que THIS IS AMERICA PART 2 doit dès lors dater de 1979. Vanderbes reviendra en 1990 avec AMERICA EXPOSED, sorti en France sous le titre de L'AMERIQUE INTERDITE 2.
  19. Vu en salle à sa sortie... Pas convaincu. Revu il y a 2-3 ans, toujours pas convaincu. Ce que j'avais gribouillé: Christian Duguay (SCANNERS II et III) adapte Philip K. Dick sur un scénario de Dan O'Bannon. Et effectivement, on retrouve les thèmes dickiens de rigueur : double identité, paranoïa, faux-semblants... Mais si les précédentes adaptations de K. Dick, comme BLADE RUNNER ou TOTAL RECALL parvenaient à nous bluffer en nous mettant en lieu et place du protagoniste principal et en nous faisant douter de l'identité de chacun, Duguay lui manque définitivement de subtilité à tel point que les ficelles qu'il utilise s'apparentent plus à des cordes d'amarrage. Pas de surprise donc dans SCREAMERS, on se rattrape comme on peut sur les quelques dialogues bien sentis (" Qu'est ce que je fais depuis une heure ? Des ronds de fumée avec mon cul ? ") et les quelques timides effets gores perdus au milieu d'images de synthèse pas très belles. SCREAMERS est un divertissement oubliable.
  20. Ce que j'avais gratouillé à l'époque... Je préfère le De Palma.... Attention, ça spoile un peu (m'enfin en même temps le film ne surprend personne) Le pitch de départ de PLANETE ROUGE est plutôt sympathique avec son scénario à prétention écologique, mais son traitement le fait rapidement ressembler à une série Z pleine de pognon et toutes les scènes se déroulant à l'intérieur du vaisseau sont à tomber par terre tant elles s'avèrent mal foutues et pleines de clichés idiots garnis de dialogues pas toujours utiles. Il faut attendre l'arrivée sur Mars pour que les choses gagnent en intérêt et que le film dévoile enfin un véritable enjeu, à savoir la survie et l'éventuel sauvetage des astronautes en détresse perdus en territoire plus hostile qu'il n'y paraît. Histoire de pimenter le tout, on nous offre la présence d'un robot militaire reconvertit en outil scientifique qui ne manquera pas de griller un fusible ou deux avant de prendre en chasse nos chers survivants. Évidemment, il n'était pas question de livrer un film de science-fiction sans scènes d'action, ça aurait été un peu dur à digérer, non? Au fil de péripéties plus ou moins haletantes, seul survit notre bon Val Kilmer qui parvient à quitter Mars en lâchant un très convaincant "Fuck this planet!" Rempli de fureur tout en pointant un majeur plein de conviction vers l'objectif de la caméra. Sacré Val, heureusement que t'es là pour nous faire marrer. A ce jour, Anthony Hoffman, le réalisateur, n'a plus fait entendre parler de lui dans le monde du cinéma...
  21. Je me doutais que tu allais venir mettre ton grain de sel toi
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