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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Visuellement somptueux. Mais qu'est ce qu'on semmerde....
  2. Si quelqu'un a une copie, je suis plus que preneur
  3. Tu t'es fait l'intégrale Marins hier soir??? De ceux que j'ai vu, celui-ci est sans aucun doute le plus cinglé, le plus extrême et le plus fascinant.... Eprouvant pour les oreilles!
  4. Vu le machin hier soir.... 118 minutes de vide intersidérale avec une Kirsten Dunst toujours aussi nunuche. Je ne comprends pas ce que vous lui trouvez.... Pour le film, je trouvais la forme intéressante au départ, malheureusement, la Coppola en oublie le reste et résultat, on sombre rapidement dans l'ennui. D'autant plus qu'à force d'ellipses et de non dits, on fini par se dire que la réalisatrice n'a pas franchement bien potassé ses bouquins d'histoire. De plus, les frasques de la reine sont franchement légères, comme si on avait voulu édulcorer l'Histoire. MA est presque décrite comme une victime de la cours de Versailles, et mon cul, c'est du poulet? M'enfin que pouvait on réellement attendre de la mère Sofia?
  5. Etant Donnés, Psychic TV, The Haters, Merzbow.... on dirait une compil LUFF
  6. A côté de "Begotten", "Subconscious Cruelty" c'est presque "Die Hard" . Merhige ne travail pas avec un scénario, il a une idée de base qui va donner une sorte de fil conducteur à un "récit" qui n'en est pas vraiment un - son film ressemble au tableau d'un monde en perdition, en totale décrépitude et en proie à la putréfaction. C'est épouvantablement pessimiste et déprimant, mais c'est également fascinant. Contrairement au film d'Hussain, on n'assiste pas à un truc de "post-ado pas content" (Hussain décrit lui-même son film de cette manière), "Begotten" est plus posé, plus réfléchi, moins "dans ta face" et pourtant tellement plus dérangeant. Bref, j'adore. Et le parcours de Merhige est effectivement des plus inattendus.... J'aurai bien voulu le voir pondre un ou deux autres titres déglingués de cette sorte.
  7. Vu il y a longtemps.... m'en souviens plus
  8. Moi je dis que tu vas peut-être pas aimer. Et j'ai pas peur de toi, minus.
  9. Ah ben je pense pas que ça va être la came de tout le monde, hein, surtout les courts métrages qui sont quand même pas franchement accessibles La musique est plus facile d'accès. Il y a de la pop dépressive (ben ouais, je sais pas comment qualifier ça) et de l'indus qui claque. Maintenant, le titre ne ment pas sur le contenu. C'est berlinois, ça a été fait autour de 1980, les films sont en super 8 et c'est underground Après, si t'aimes pas, tu pourras pas dire que t'étais pas prévenu
  10. Kerozene

    NIFFF 2008

    C'est pas surestimé, c'est juste toi qui ne sais pas apprécier les bonnes choses
  11. Là c'est plus qu'une "simple" compil CD. Voila un coffret de référence ultime sur la scène underground berlinoise fin 70's début 80's. Au menu, 1 CD avec: 01. Mona Mur: My Lie (1982) 02. Malaria: Thrash Me (1983) 03. Die Tödliche Doris: Tanz im Quadrat (1981) 04. Christiane F: Wunderbar (1982) 05. P1/E: 49 sec. Romance (1980) 06. Mono/45 UPM: Romantic Adieu (1979) 07. Sprung aus den Wolken : Akcam La (1982) 08. Kosmonautentraum: Stolze Menschen(1981) 09. Valie Export & I. Wiener: Bananen (1980) 10. Alexander v. Borsig (Hacke): Hiroshima (1980) 11. DIN A Testbild: No repeat (1980) 12. Flucht nach Vorn: Nahost (1982) 13. Frieder Butzmann: Schmusewolle (1979) 14. Sentimentale Jugend: Wollt ihr die totale Befriedigung (1980) 15. Einstürzende Neubauten: Tanz Debil (1980) 16. MDK: Berlin (1982) Il y a vraiment des perles!!!! 1 DVD rempli de courts métrages expérimentaux ou pas - tous tournés en Super8: 01. Brand & Maschmann: E Dopo? (1981) 02. Christoph Doering: 3302- Taxi Film (1979) 03. Markgraf & Wolkenstein: Hüpfen 82 (1982) 04. Yana Yo: Sax (1983) 05. Maye & Rendschmid: Ohne Liebe gibt es keinen Tod (1980) 06. Stiletto Studio,s: Formel Super VIII (1983) 07. Walter Gramming: Hammer und Sichel (1978) 08. Georg Marioth: Morgengesänge (1984) 09. Hormel/Bühler: Geld (Malaria Clip) (1982) 10. Notorische Reflexe: Fragment Video (1983) 11. Jörg Buttgereit: Mein Papi (1981) 12. Die Tödliche Doris: Berliner Küchenmusik (1982) 13. Butzmann & Kiesel: Spanish Fly (1979) 14. Manfred Jelinski: So war das SO 36 (1984) 15. Klaus Beyer: Die Glatze (1983) 16. Markgraf & Wolkenstein: Craex Apart (1983) 17. Andrea Hillen: Gelbfieber 1982) Vous aurez notté qu'il y a l'un des premiers efforts de Buttgereit.... + un booklet de 100 pages: 100 pages, essays by Dietrich Kuhlbrodt, Martin Schmitz, Rolf S. Wolkenstein, Interview with Die Tödliche Doris. Photos by Peter Gruchot, Ilse Ruppert, Petra Gall and Anno Dittmer. Infos & Photos about all the Bands & Super 8 Scene. Impressions from the early 80s Wallcity. Tape Gallery etc. Bref, c'est un incontournable pour les intéressés....
  12. Kerozene

    Wall-E - Andrew Stanton (2008)

    Mais il y a des films de SF dans la section ciné.... Des gros, plein de fric, mais il y en a. Moi je ne fais que poser la question hein, je pensais qu'il y avait une raison logique, donc je n'ai pas déplacé le machin.
  13. Kerozene

    Wall-E - Andrew Stanton (2008)

    Pourquoi c'est dans le forum bis? Il y a une cyborg avec des nichons et des vibros à réaction qui font péter des containers à uranium?
  14. Kerozene

    Sanctuaire - Michele Soavi (1989)

    Pareil pour tout: film bancale et bordellique vendu sur une imagerie fantasmagorique uber-jubilatoire qui s'avère au final totalement sous-exploitée et ejectée de l'écran en dix petites secondes. Quant à l'autre meuf là, elle a trop la même gueule d'héroïnomane que son père, ça me la coupe complètement. Imaginer baiser Asia, c'est imaginer baiser Dario. Impossible.
  15. Avec ça, tu vas donner envie à tous les lecteurs du forum. Faudra pas te plaindre si tu reçois des menaces de mort
  16. Giga-chiantissime. Je vois pas d'autre terme.
  17. Je n'irai pas jusqu'à dire qu'il s'agit d'un chef d'oeuvre, mais un film touchant, divertissant et drôle. C'est déjà pas mal.
  18. Alors effectivement, c'est pas franchment l'éclate. Chris Carter n'a pas su - osé? - profiter des libertés que lui confère le format cinéma et il met son film en boîte comme s'il s'agissait d'un vulgaire épisode dont le contenu ne parviendra qu'à séduire les geeks hardcore qui ont fantasmé sur l'évolution de la relation des deux agents fédéraux. L'enquête de l'"épisode" ne semble être qu'un prétexte pour répondre aux questions de ces geeks et passe par conséquent au second plan. Son traitement est donc léger et sa conclusion expéditive. Voila qui est plutôt frustrant. Là où la chose aurait pu gagner en intérêt, c'est que Carter a injecté la question de la croyance en Dieu. Sujet sur lequel Mulder le croyant adopte une approche sceptique et Scully la sceptique se montre plutôt croyante - elle travail comme toubib dans un hôpital catholique. Malheureusement, cet aspect de l'histoire sonne plus comme le questionnement de Chris Carter lui-même et plombe ce qui aurait dû être un film fantastique par une reflexion idéologique personnelle qui risque de ne pas aller dans le sens des amateurs de la série. Dans le film, l'enquête avance grâce à l'aide d'un voyant dont le passé de prêtre pédophile peine à le rendre sympathique aux yeux du FBI. Et c'est en fait autour de ce personnage que se situe l'axe principal du film duquel partent toutes les questions que se pose Carter. Un Carter qui, visiblement, veut croire en l'existence d'un Dieu tout puissant et miséricordieux, n'en déplaise à tous les sceptiques et autres cerveaux rationnels qui ne manqueront pas de déformer la vérité pour appuyer leur théorie - comme en témoigne l'article du journal publié à la fin du film qui fait passer le prêtre pédophile voyant pour un gros méchant alors qu'il a été l'un des éléments clés à la résolution de l'affaire. Carter veut croire en la rédemption, aurait-il quelque chose à se faire pardonner? Mieux vaut éviter une conclusion aussi hâtive. Son personnage du père voyant incarne le pire aspect de l'Eglise et à travers lui la réflexion du papa de Mulder et Scully va plutôt dans le sens d'un optimisme bienveillant envers l'être humain, aussi dégueulasse soit-il. Une reflexion louable, naïve, mais définitivement pompeuse dont la conclusion semble s'orienter vers un mariage idéologique entre le monde scientifique, le monde religieux et celui du paranormal. Carter wants to believe.... et en oublie ses spectateurs.
  19. Kerozene

    W. - Oliver Stone, 2008

    ah merde... trop tard
  20. Comme Danny. .... oui je fais chuter le niveau grave, déjà qu'il est pas franchement haut...
  21. Jean-Marie Poiré? Ceci dit, c'est un très thriller très correct, pas un must non plus, mais c'est complètement recommandable.
  22. Kerozene

    Hard Candy - David Slade (2005)

    Et bien j'ai trouvé ça pas mal du tout. Pas crédible la gamine de 14 ans? Pourquoi? Il y a des filles du même age avec un physique nettement plus "femme" qui trainent partout. A cause de ses propos et sa façon de causer? "Malheureusement", des jeunes avec une personnalité aussi "adulte", ça existe, et ce n'est pas si rare que ça. Bizarrement, il y a pas mal de personnes comme ça aux States. Si si. Sont-elles toutes psychotiques? Peut-être Bref, quant au reste, j'ai trouvé l'approche plutôt osée. Il aurait été facile de faire un vigilante flick où la gamine traque du pédophile dégueulasse et lui en fait voir de toutes les couleurs, un film qui rentre dans le lard, avec de la bidoche et des crocs de boucher. Ca aurait pu être chouette, mais relativement facile. L'approche choisie rend en fait les choses beaucoup plus ambigues: on en vient à s'attacher au "méchant" et à détester la "gentille". Le spectateur est ainsi placé le cul entre deux chaises et ne sait pas vraiment dans quel camp se ranger, lequel des deux est le moins cinglé que l'autre, est-elle bonne pour l'asile, est-il réellement aussi innocent qu'il le prétend.... Tout ça pour qu'au final, on n'approuve ni l'un, ni l'autre des deux clans, ce qui me semble bien plus gonflé que de faire pencher la balance de manière définitive à droite ou à gauche et ainsi chercher à satisfaire un public qui préfère qu'on lui serve une fin salvatrice sur un plateau. Et bien non, ici ça se termine par un amer sentiment d'"injustice méritée", quelque chose d'indéfendable malgré le bien qu'il prodigue mais qui se montre en même temps intolérable car réalisé par une malade mentale de 14 piges. Et puis techniquement, c'est quand même bien foutu.
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