Kerozene

J'ai vu un extrait de la scène du caniche il y a 2000 ans, j'en garde un souvenir très Hum hum possible pour cette chose? Quelqu'un?

alors pourquoi il les montre? Pour frustrer des mecs comme toi

Vu il y a deux jours. Et j'ai trouvé ça très agréable. Il est évident que Fincher se fout que les meurtres soient soft ou non, ils ne servent en rien le film de toute façon, c'est bien la progression de l'enquête qui patauge comme jamais qui le botte et il parvient sans difficulté - à mon sens - à la rendre captivante. Et puis ça fait du bien de ne pas avoir à se farcir des plans aériens biscornus assistés digitalement pour une fois.

Jamais vu. Mais Caan semble avoir quelques problèmes digestifs sur l'affiche allemande

C'est moisi. Et dire que le réal est le mec qui a fait "Rock'n Roll Overdose"... un film dont il ne parle bizarrement plus du tout....

J'aime beaucoup pour ma part. Fauché, mais original et surtout honnête malgré les emprunts que tu cites, et c'est aussi très drôle par moment, ce qui ne gâche rien.

Le film de Nakagawa est une uber-claque dans la face. Rien à dire là-dessus. J'ai une galette de la version Ishii... Mais j'ai les boules de la regarder

J'avais placé des espoirs un peu trop élevés dans cette bande plutôt singulière. Si l'histoire et le final en font un film fortement recommandable, il est vrai qu'on s'y ennui poliment pendant une bonne moitié. Mais ton texte donne envie de lui accorder un nouveau visionnement.

Grosse déception. Oui, c'est techniquement remarquable, mais après un départ sur les chapeaux de roue (...), ça s'enlise rapidement vers une trame mille fois vue avec le soucis que ça a été bien mieux raconté par le passé. Résultat: ennui profond.

Ah, je n'avais pas relevé ce détail qui n'en est pas un

Un gros caca de la part de Cohen qui a eut beaucoup de mal nous à retrouver sa patate des 70's durant les 80's. Décennie de merde

Ouch! ça c'est du lourd de chez lourd Nemo est un petit garçon qui se voit propulser dans un monde imaginaire. Un univers désertique au ciel sombre et bordé d'un océan, habité par un jeune débile et son gorille blanc hystérique (avec Dominique Pinon sous le pelage). Cet étrange couple vit dans l'épave du Nautilus et accepte rapidement l'intrusion du jeune Nemo dans leur vie. Mais bientôt leur quotidien se verra troublé par l'arrivée d'une princesse malheureuse fuyant son royaume (Mathilda May) et courtisée par nul autre que le justicier Zorro (Harvey Keitel). Ce ne serait rien si un explorateur bourgeois d'un pays de l'Est (Michel Blanc) ne venait mettre son grain de sel là-dedans, d'autant plus que la soudaine arrivée d'une soucoupe volante pilotée par l'extraterrestre Carole Bouquet en tenue "H.R. Giger" n'arrange en rien les choses. Nemo, par amour envers la belle princesse, grandit de 12 ans en une minute et prend ainsi l'apparence de Jason Connery (le fils de...), ce qui ne plaît absolument pas à Zorro qui commence à faire la gueule. Tout de suite, on se rend compte que NEMO est un film quelque peu déroutant. Incompréhensible et trop hystérique pour les jeunes enfants (entendre le gorille blanc hurler à tue-tête est un réel supplice), trop naïf, voire infentil pour les adultes. On pourrait se dire que NEMO n'a pas de public cible, un comble pour un film à caractère commercial - mais la présence du réalisateur rebelle John Boorman au poste de producteur y est sans doute pour quelque chose. Aujourd'hui, il reste un visionnement étrange et décalé, une sorte d'erreur cinématographique pleine de couleurs sombres et de décors minimalistes dans lesquels de prestigieux acteurs incarnent des rôles qu'ils n'auraient jamais eu l'occasion de tenir autrement. Une véritable et parfois pénible curiosité dont les effets peuvent s'avérer dévastateurs.

Merde, je n'étais même pas au courant!

Mais c'est sympa comme film! J'ignorais tout du sujet, et j'ai été agréablement surpris en découvrant qu'il y avait une part de fantastique. Pour le reste, c'est divertissant, les 90 minutes filent tranquillement, on termine avec le sourire sans pour autant avoir été surpris par un scénario totalement téléphoné (car une fois la surprise du passage dans l'au-delà à la 3e minute, on est en pilotage automatique). Et pour la première fois, je trouve la Johansen vraiment mignonne. Le personnage d'Allen est un peu irritant mais a quelques bonne sortie (le mec devient un peu lourd avec l'age mais j'ai quand même ri à quelques reprises), Jackman est correct, bref, ça passe comme une lettre à la poste mais dans un an je pense ne plus garder le moindre souvenir de la chose.

En lisant les commentaires sur imdb, la majorité semble prétendre que ça ne serait qu'une rumeur lancée par des activistes militant pour la défense des animaux..... Mais bon, il n'y a pas de fumée sans feu, non?

c'est pas dans le Digest qu'il a sorti cette année... dommage...

Tu m'étonnes, c'est la bande de zombies la plus bandulatoire depuis l'invention de la roue et les mecs trouvent pas les moyens de monter le projet? Mais peut-être qu'ils se sont grillés en mettant le nom de Yuzna en avant

Premier film vu au ciné. J'avais un 1 an

Ah, pas moi, désolé ! DEAD & BREAKFAST, c'est vraiment TRES TRES sur-estimé ! Tu peux rajouter une paire de "TRES", ça ne sera pas superflu....

Moi je suis dégouté de http://www.wsex.com qui vient de ponctionner 1000$ sur mon compte les bâtards ! Bref, tant mieux, Vas-y Steevy, fais-nous oublier cette daubasse de pelloche gothico-pré-pubère de merde!

Ah mais je ne dis pas le contraire.... D'ailleurs le film ne pue de loin par la prétention. Et c'est tant mieux. Quant à "Garçon d'honneur", je ne connais pas... en fait, je ne connais pas grand chose de la filmo d'Ang Lee hormis ses trois gros films.

En fait, je faisais référence au post de Steve:

Titre original: 2 manos zurdas y un racimo de ojos manchados de gris Ou plus simplement, Breed. Un court de Antonio Trashorras, scénariste de L'Echine du Diable! Hommage avoué à Lucio Fulci, Sergio Martino, Edwige Feneche, Mimsy Farmer.... Ca se regarde en streamin, VO-St, à l'adresse suivante: http://twitchfilm.net/site/view/antonio-trashorras-goes-giallo-with-breed#extended Et bien que ce soit plein de défauts ici et là, c'est pas mal du tout... Dommage que le film ne soit pas visible en meilleure qualité, mais c'est déjà pas mal comme ça...

Je me souviens d'un reportage où ils expliquaient que les mecs pétaient les pattes aux chats pour les faire boiter ou les balançait du haut d'une falaise dans la rivière.... un vrai snuff movie félin

ce que j'avais écrit après l'avoir visionné (SPOILERS): Sympathique, bien que très légère, parodie de 007. Bind est un agent correct, extrêmement frimeur, qui adore jongler avec ses revolvers afin d'impressionner les femmes. Son rêve est de pouvoir se taper sa collègue dont il ne cesse d'arroser le chemisier dans le but de pouvoir voir ses seins. Mais à côté de cela, c'est un agent brillant, et surtout une excellente gâchette. Et quand il se met en boule, il fait surgir une grosse mitrailleuse de calibre 50 de sa voiture Excalibur pour faire un carton brutal sur des membres du CRASH qui se font littéralement réduire en morceaux! Le CRASH est d'ailleurs l'élément le plus drôle du film. Cette horde de fachos patibulaires comprend dans ses rangs un gros borgne brutal, deux frangins qui se rasent au flingue, un fou sanguinaire tenu en laisse et une grande quantité de tueurs qui viendront alimenter le tableau de chasse de notre héros à l'air constamment détaché. Parmi les ennemis qui croiseront sa route, relevons également une femme vampire (?!) portant cape et porte-jartelles! Le parallèle à James Bond est une évidence, la tagline du film annonce clairement la couleur (" Dites à l'autre gars de se tirer, je suis NumberOne ! "), parallèle encore appuyé du fait de la présence de Geoffrey Keen au générique, acteur qui campe Sir Frederick Gray, personnage récurrent de la série 007 et qui incarne ici le patron de Charles Bind. Le film connu une suite en 1979, LICENSE TO LOVE AND KILL, toujours avec Nicky Henson et Geoffrey Keen, toujours sous la direction de Lindsay Shonteff La séquelle m'intéresse également, ceci dit en passant