Kerozene

Je crois que leur but avoué était d'attirer un lectorat féminin....

J'ai regardé le docu sur les scènes underground de New York et Berlin... Un survole un peu rapide et frustrant mais pas désagréable du fait de ses images d'archives et d'intervenants de qualité mais aux apparitions trop brèves, introduit par un Philippe Manoeuvre qui, visiblement, ne connaissait absolument au sujet.

Ben c'est pas si mal... c'est pas génial mais ça se laisse regarder. Ca a au moins la délicatesse de ne pas se la péter façon Ocean's 11 12 13 (vu que ma moitié n'a pu s'empêcher de faire le lien) et effectivement, Stallone a la classe!

Merci

Qu'elle est lointaine, l'époque ou Cudding allait chercher son oscar le sourire aux lèvres Ce film me botte!

Aux chiottes Kong Kong, Godzilla et Gamera, voici Death Kappa!!! http://twitchfilm.net/site/view/tomoo-haraguchi-introduces-you-to-his-death-kappa#extended Trailer avec interview du réalisateur. Ca sent le petit hommage au budget peau de chagrin....

Otto c'est très bien et pour ceux qui le louperont il y aura une séance de rattrapage au LUFF avec Blab également dans la salle.

Vu sur RTL9 ou AB1 il y a un an... la version était mécahmment cut, il s'agissait du montage sci-fi channel il me semble et il me semble que certaines photos du films dispos sur le web témoigne que le montage uncut est nettement plus gore. Quelqu'un confirme? Mais dans sa forme cut, c'était sympa, plus drôle que la moyenne (il y a des blagues de pets, j'aime bien), mais pas fantastique non plus. C'est certain, de la bidoche en plus ne ferait que lui rajouter des arguments.

C'est super sympa Waterworld, un héros mysogine qui boit sa pisse, moi je suis preneur. Et les scènes qui pètent sont franchement pas mal foutues...

Mais c'est pas mal du tout! Si les premières 45 minutes sont un peu bancales du fait d'une narration pas toujours bien menée et d'un montage un poil abrupte, la deuxième moitié s'avère être un véritable festival de sévices en tous genres, une ôde à la perversité qui met du baume au coeur. Et cette conclusion!! Mention spéciale au cureton masochiste et ses électrodes aux tétons

C'est frais, c'est drôle, c'est sans prétention et c'est surtout un hommage sincère au genre alors que l'on pouvait craindre le pire avec un histoire d'invasion de fronts extra-terrestres! Mais non, ça exploite de manière ludique et honnête les grandes lignes des scripts des films de SF paranos des années 50. A l'époque où les parodies double-crème XXL à la DISASTER MOVIE et autres SCARY MOVIE pullule, ça fait franchement du bien! Et en plus on y croise Dick Miller....

*soupir* on est encore loin des Nouveaux barbares....

Comment transformer l'un des plus gros échec de l'Histoire de l'aérospatiale en une glorieuse aventure héroïque. Honteux.

Comment as-tu vécu ce deuxième visionnement? (je doute que le changement de support apporte un changement considérable à l'appréciation de la chose, mais sait-on jamais, des fois que je serai passer à côté de quelque chose )

Ah c'est clair que c'est pas une partie de plaisir. Mais c'est un titre que je conserve tout de même dans ma vidéothèque à cause de son titre justement... Mais le verrais-je une deuxième fois? J'en doute.

Vu au NIFFF, et c'était peut-être un des meilleurs films vu là-bas. Bon, c'est bien film, effectivement, sauf en ce qui concerne les scènes d'agressions beaucoup trop shakycamées à mon goût. Et plus fort que les gamins qui buttent les parents ici, ce sont les scènes où les parents buttent les gosses. Bien plus efficace en fait

C... comme Cyril

Revu aussi sur France 3, qui nous a raboté le scope pour un 16/9 pas forcément bienvenu.... Ca faisait bien 15 ans que je n'avais pas vu la chose et ça tient toujours bien la route. La mise en scène n'est pas aussi réussie que pour Halloween, mais l'ambiance générale est plutôt réussie. J'aime beaucoup l'effet du brouillard lumineux!

Niveau cinéma québecois, il faut aussi citer Robert Morin, vidéaste engagé et perturbateur, auteur du radical "Quiconque meurt, meurt à douleur" et qui fait passer "Trainspotting" pour "Mary Poppins" en matière de consommation de dope. Un film-uppercut d'une rare intensité. Voir aussi son "Petit Pow-Pow Noël", grosse claque émotionnelle pour un film dérangeant ne se déroulant quasiment intégralement que dans une chambre d'hôpital. Un vrai tour de force. Niveau fantastique, j'avais bien aimé "Dans le ventre du dragon" d'Yves Simoneau, belle fable écolo gentiment surréaliste que j'aimerai beaucoup revoir - j'avais 15 piges quand je l'ai vu, mes souvenirs sont un peu flous.

En fait le festival a toujours eu une prog ecléctique. Des gars comme BB King ou Herbie Hancock se sont trouvés sur la même affiche que les Beastie Boys ou Sonic Youth. Je me demande même si le festival a un jour été 100% jazz....

Petite virée au Montreux Jazz Festival, qui n'a plus grand chose de jazz mais ça c'est pas nouveau. Et j'ai vu ça: Rho putain, mon premier concert de hard rock old school, avec des gratteux qui alignent leurs manches sur le devant de la scène et les solos genuflexés qui vont avec!! Bon, cette musique, c'est vraiment pas ma came, refrains catchys, solos dégueux, mais si j'y suis allé c'était surtout pour le show de grimaces et les gimmicks gores. Et là... ben je suis resté un peu sur ma faim. Mais le père Cooper s'est quand même fait pendre en live après avoir massacré un bébé à coups de marteaux sur le crâne. Sa fille offre une touche féminine en balladant sa gracile silhouette sur la scène et en s'arrosant d'hémoglobine... Voila, pas grand choses, mais sympa quand même. Et le pépé a toujours la patate, ça mérite d'être souligné. En deuxième partie, il y avait Die Ärtzte... J'ai tenu deux morceaux Dans la section gratos du festival, j'ai pu voir la fin d'un concert d'un groupe appelé Noisettes, du rock sympa mené par une chanteuse noire belle comme tout qui n'a pas hésité à se lancer dans le public qui l'a portée à bout de bras, et la belle de continuer à jouer de la basse en position allongée sur son mattelas de mimines profiteuses. Si si, j'en ai vu qui en ont profiter pour tâter son joli cul!!

Disons que le sujet du film est osé, mais que son traitement est quelque peu handicapé par une évidente retenue. Une fois les bases du film posées, tu es droit de t'attendre à quelque chose de nettement plus extrême au niveau de la forme et il me semble évident que les réalisateur ont mis de l'eau dans leur vin et ont ainsi alléger un scénario qui, paraît-il, pousse le bouchon un peu (beaucoup?) plus loin dans la perversité. Tu l'auras compris, je suis resté un peu sur ma faim, le potentiel de la chose m'a paru sous-exploité.

Ben, à peu près tout, l'humour, l'esprit général de la chose, le script prétexte à une satire de la société américaine (et occidentale par extension), le fait que ça ne se prenne absolument pas au sérieux....

Bon, c'était hier soir sur RTL9 sous le titre de "Profanations". Et dans l'ensemble ça se laisse gentiment regarder. Mendez utilise des FX old school, façon "Poltergeist", plutôt que des CGI dégueulasses et ça c'est vraiment une excellente chose. Certaines apparitions des spectres sont plutôt réussies (la fille à la hache qui traine les pieds), mais les acteurs sont complètement aux fraises et jouent comme des pantoufles, Tcheky Karyo compris (surtout?).... Pas détestable, mais pas réussi non plus. Cependant on ne s'y ennuie pas, c'est déjà pas mal.

Ben en voila un gros loukoum déraisonnablement calorifique, avec tout ce qu'il faut comme cochonneries pour te boucher les artères en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. En ce qui me concerne, si le premier plan virevoltant m'a séduit, l'accumulation des plans alambiqués et l'abus de la caméra aérienne m'a très vite gavé et au bout de cinq minutes, j'étais déjà victime d'indigestion. On ne fait pas du Jeunet avec un marteau et une enclume, ce genre de film demande un peu de légèreté et de la poésie, pas du pataud et du matraquage. Mais bon, ce machin plaira aux adolescentes comme le "Romeo + Juliet" de tonton Baz avait plut aux adolescentes en son temps. Les autres, à part Steve (qui doit être un peu adolescente quelque part ), feraient mieux de passer leur chemin.