Aller au contenu

Kerozene

Membre ZoneBis
  • Compteur de contenus

    6 908
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Pour ceux que ça intéresse: http://ddsk.wordpress.com/
  2. Oh putain la douche froide.... C'est quoi ce film de gonzesse? Je voulais un film de barbares, avec des gros vikings qui luttent comme des boeufs contre des e.t. carnassiers, et je tombe sur une sorte de film d'aventure d'opérette pour midinettes en peine de romance. J'en pouvais plus de ces scènes portées par des violons sirupeux où le héros jette un regard de dur sur sa future elle-même convoitée par un autre freluquet arrogant mais trop crétin pour comprendre que le papa de la fille il est pas complètement d'accord. Et cette histoire de pédophile entre Caviezel et le petit Eric qui va jusqu'à se couper le tifs pour ressembler à son héros... que c'est long.... entre le partage du bout de pain, le moment où il lui fait cracher son prénom, la scène du coiffeur etc... non mais franchement. Et cette espèce de joute virile à la con où les blaireaux marchent sur des boucliers... Ca ne sert juste à rien, c'est du vent, ça fait perdre du temps et ça ralonge un film déjà pas assez court. Les scènes d'action sont montées à la hache, le bestiaux et beaucoup trop techno pour moi, les flashbacks n'apportent strictement rien - on s'en branle complètement car ne changent strictement rien à la donne de départ. Reste Perlman qui assure effectivement plus que beaucoup, des belles images, quelques mouvements de caméra saisissants... mais sinon, c'est 1000 coudées en dessous de "Pathfinder".
  3. Kerozene

    Knocked Up - Judd Apatow (2007)

    C'est pas mal. Pas génial, mais c'est bien écrit, ça sent le vécu, c'est plein de sincérité... en fait j'aime bien son univers, avec des mecs simples, plutôt losers mais qui se démerdent pour se sortir les pouces du cul et qui y parviennent sans fanfares. Ce n'est pas de la grosse comédie, ce n'est pas un gros drame, c'est juste un film simple mais bien foutu. Ceci dit, même si j'ai eu du plaisir à le regarder, je ne suis pas prêt à remettre le couvert de sitôt, parce qu'au final, il n'y a rien non plus de transcendant, je n'ai pas ri à gorge déployée, je n'ai pas vu de plans hallucinants, je n'ai pas ressenti d'émotions particulières. J'ai trouvé ça sympa et ça reste à cent coudées au-dessus des comédies standards, mais juste sympa quand même.
  4. Kerozene

    Kick-Ass - Matthew Vaughn (2010)

    Bonne nouvelle pour tout le monde, ce qui n'aime pas n'auront qu'a partir au milieu du générique de fin, et ceux qui ne sont pas réfractaire comme moi peuvent rester jusqu'au bout Ouf... j'irai peut-être le voir alors
  5. C'est vraiment bien. Sobre, beau, touchant par moment, pas assez cruel malheureusement.... Et l'histoire d'amour est le pilier central d'une histoire qui le justifie, contrairement au film prout prout de Coppola qui transforme un récit de terreur et de manipulation en bluette sirupeuse barbante.
  6. Ah non mais c'est gentil mais je ne suis pas l'auteur de ces lignes lourdes de vérités, en fait je ne fais que citer une autre victime traumatisée par le même film.... et qui a su l'exprimer avec un bon sens tout à fait remarquable
  7. C'est un bis plutôt sympa, c'est léger et divertissant, avec des bestioles et des fusées, des lasers et des sons électros vintage... ça ne se refuse pas quoi
  8. Robert Clouse + Disney Voila une union pour le moins inattendue. Connais pas en tous cas.
  9. Je suis en train de lire le bouquin, et je te confirme qu'ils y sont bel et bien... mais ils sont condensés très tôt dans le roman et non dispersés sur la totalité.
  10. J'ai trouvé ça chiantissime à mort.... Les maquillages sont pas mal fait, mais c'est tellement énorme que le malaise recherché ne fonctionne pas une seconde, à l'exception de la scène d'ouverture qui rentre directement dans le vif du sujet, pour ne pas dire dans le lard! Et puis ça m'a fait marrer de voir cette bonne femme vivre un calvaire, enchaînée à un arbre et maltraitée pendant plus d'un mois et terminer le film avec son chemisier blanc immaculé, des cheveux blonds tout propres et son maquillage qui n'a pas coulé. J'ai d'ailleurs été plus attentif à l'éventuelle dégradation physique de la moeuf plutôt qu'aux différentes tortures gratuites qui jalonnent le film. Mauvais.
  11. Très bon souvenir aussi. Je me souviens que le film s'était fait descendre en flêche dans Mad, alors qu'il m'avait complètement éclaté. L'une des premières de nombreuses divergences La belle jaquette belge:
  12. Pfiou, grosse grosse daube que cette séquelle foireuse. Pourtant le cocktail a de quoi séduire comme le souligne bloknotise, malheureusement, c'est tellement con et inintéressant que ça ne peut se regarder qu'à condition de s'occuper en faisant autre chose...
  13. Mouais, pas trop mal dans l'ensemble mais sans véritable personnalité et inutilement compliqué. En fait je ne suis pas convaincu du tout.... Tout comme Face qui a été cité plus haut: c'est formellement bien torché, mais ça ne me touche absolument pas. La comparaison à Scorcese n'est en aucun cas méritée.
  14. Comme les deux du dessus: c'est moche et pas drôle. La photo vidéo est laide, les gags sont d'une effarante platitude (j'ai sourit une fois, lorsque la fille cochonne suce le doigt du gros qui vient de se torcher le fion), le rythme est anémique, il faut dire aussi que le scénario est épouvantablement écrit... très très con et avec des personnages sont creux comme la tête d'un joueur du PSG. Plutôt pénible au final.
  15. Moi jévu. Et j'aime bien, c'est vraiment l'envers du comte de fée façon Factory de Warhol. Les fans de Warhol ont d'ailleurs tendance à détester ce film qui oscille entre docu et fiction et qui se concentre sur la déchéance d'Edie Sedgwick, jeune starlette innocente devenue junkie trash folle à liée. Elle joue son propre rôle quelque temps avant sa mort, vivant complètement défoncée au fond d'une piscine vide, alors que des flashbacks en noir et blanc reviennent sur ses heures glorieuses à la Factory, où elle était la star des podiums de mode qui aurait fait rêver n'importe quelle gamine de 15 ans. La suite est assez pathétique et effrayante, malsaine et sulfureuse, la pauvre a sombré au fond du trou, pas aidé non plus par des soucis psychiatriques à te coller des frissons... il paraît que toute l'équipe de tournage était défoncée du matin au soir et qu'un toubib était présent sur les lieux afin de bien prendre soin de leur administrer leurs doses correctement. Info ou intox, on s'en fout un peu, le résultat est là, et il est plutôt gravissime.... et ma foi terriblement triste en ce qui concerne le destin de la craquante et fragile Edie.
  16. Kerozene

    Étrange Festival Lyon 2010

    Merci à Zonebis et toute l'équipe, c'était vraiment une belle édition: belle prog, bonne ambiance, avec de la boisson et une belle bande de bisseux. Heureux j'ai été de voir les Bartel en 35mm, de découvrir Valérie et sa semaine des merveilles, d'enfin voir le Alice de Svankmajer, de découvrir Alphonse Béni sur grand écran, de revoir des membres de Nanarland, de boire des verres avec Gustave Kervern (qui a une putain de descente, mais en même temps le contraire aurait été étonnant), de se faire snober par Gaspar Noé et de voir que tout ça a été un vrai succès carrément mérité!
  17. Attention les yeux, ça pique un peu: cgAbVfh6WYg Yy-9YLpC5uM
  18. Kerozene

    Étrange Festival Lyon 2010

    Dis, c'est normal que ton actrice ressemble à Lindsay Lohanne?
  19. Kerozene

    Vos concerts bis

    Suis tombé un peu par hasard sur un concert de Spectrum, des british que je ne connaissais pas mais qui tournent depuis plus de 20 ans quand même et qui m'ont fait forte impression avec leur popdarknoise ultra répétitive. C'était la fête à la disto et aux larcens, la moindre des choses pour rendre un live écoutable. C'est finalement beaucoup plus crasseux sur scène que sur les enregistrements dispos sur leur myspace. On pense au Velvet Underground, à Bauhaus, il y a un côté gloire au prozac et une nonchalance légèrement arrogante assez typique des zicos anglais, mais ça fait partie du jeu. Fortement recommandé en live, je ne me proconcerai pas sur leurs albums - connais pas encore. http://www.myspace.com/spectrumofficialpage
  20. Kerozene

    Césars 2010

    Pour ceux qui auraient loupé ce grand moment d'humour à la française.....
  21. Kerozene

    2012 - Roland Emmerich (2009)

    Les scènes de destruction massives sont complètement Mises bout à bout, on doit tenir une bonne demi heure.... Reste deux heures de vide intersidéral, de violons mièvres, de dialogues de cons et d'acteurs qui se branlent complètement des rôles moisis dont ils ont hérités. Deux longues, longues heures pénibles, et que même si je savais à quoi m'attendre, je n'étais malgré tout pas préparer à ce que ça soit aussi gravement indigeste. Reste le personnage loufoque et halluciné de Woody Harelson, seul élément positif dans cet océan indigeste.
  22. Hum.... c'est pas brillant brillant tout ça Plutôt que d'étaller une prose approximative, je me permet de coller ici la review du film présente sur le site du Club des monstres et qui - en plus d'être pleine de vérités - est finalement bien plus plaisante que le film lui-même:
  23. Bien sympathique et gore, drôle et dynamique.... Ca manque peut-être un peu de substance et c'est bien dommage avec un sujet pareil. Il faut dire aussi qu'Endemol est derrière le projet et que si la télé-réalité est effectivement attaquée via la présence d'un producteur putassier et de participants crétinoïdes, ça reste très soft comparativement au potentiel critique de la chose. Dommage mais ça n'empêche que ça se regarde bien, 5 épidoses en 140 minutes, ça se voit d'une traite, il y a des moments de tensions, des instants d'humour pas toujours très fin (les amateurs de pipi-caca ont même droit à un tout grand moment télévisuel), il y a du gore, et même une femme à poil (mais c'est furtif, autant vous prévenir tout de suite). Et il y a bien des sta sur le DVD anglais.
  24. Vu hier, et je dois dire que j'ai trouvé ça plus intéressant sous cet angle en fait: l'importance du rôle de la pègre au sein de la production cinématographique locale. Des propos du style "sans l'apport des yakuzas, le cinéma japonais n'aurait jamais décolé", c'est quand même assez énorme. Entre les histoires de yakuzas qui prennent une retraite anticipée pour devenir acteurs, les producteurs fricotant avec la pègre et les réalisateurs qui se font harcelés pour avoir été critique envers eux, Montmayeur fait la lumière sur une relation plutôt amibue entre le monde du divertissement et celui du crime. Et c'est peut-être plus excitant que de citer tous les films de Fukasaku qui ont de plus une certaine tendance à se ressembler....
×
×
  • Créer...