Florent

Pris dans une temête de neige, un groupe de voleurs est obligé de se réfugier dans une caverne du Dakota du sud. Malheureusement pour eux, ils se retrouvent alors piégés par une horrible créature qui sème la terreur dans le comté Premier film de Monte Hellman, et premier film que je découvre de ce réalisateur. Un bon petit film de 75 mn qui exploite bien l'unité de lieu (la montagne) pour créer un sentiment d'angoisse. Certes le film a pas mal vieilli mais conserve toujours un cachet qui le rend très sympathique. La réalisation est basique à l'exception de certains plans. La "fameuse" bête est très intelligemment mis dans le noir et peu exposé à l'écran, car lorsqu'on la découvre à l'image on ne peut pas dire que l'on soit mort de peur. Pour autant, ces petits films des années 50 ont je ne sais quoi qui les rendent finalement très attachants... A noter que la bête enveloppe ces victimes dans un cocon blanc qui m'a tout de suite fait penser à ceux dans Aliens 2. Un film à découvrir grâce à Bach films, dans une VO sous titrée de bonne facture, l'image n'est pas exempt de défaut (rayure & Co) mais pour un film qui date de 46 ans on ne va pas demander l'impossible.

je ne trouve pas Zero génial mais face à un Pernault, à un PPDA qui fait des interviews avec trucage ou à un nabot de Pujadas, je préfère une émission avec un ton bien plus libre. Dans Arrêt sur image, j'ai été surpris d'apprendre que depuis deux ans sous prétexte que Capa entretenait des liens très étroit avec Canal, certains sujets étaient censurés ou modifiés (voir l'affaire Jean Paul Lepers) et la réaction de Karl Zero qui ne va plus au réunion rédactionnelle car sa voix n'a pas assez de poids. J'aurai cru qu'il avait plus de couille pour ouvrir sa gueule contre cela mais non, et largement plus que l'animateur c'était le concept de l'émission qui me plaisait

oups ! Schneidermann est le père caché de Fogiel la même tête à claques !

Merde ! l'émission de dimanche (21) devait être une spéciale Afrique. je trouve que Karl Zero a perdu de sa splendeur depuis l'affaire Allègre, j'ai également vu l'émission Arrêt sur image, et perso je ne trouve pas qu'il se soit bien défendu. Il ne faut pas oublier que ce n'est pas un journaliste, mais un présentateur/animateur, il a donc largement plus de liberté et j'ai ressenti comme de l'amertume et du mépris dans le comportement du journaliste du Canard ou Schneidermann, aigri de ne pas avoir autant de liberté pour ouvrir leur gueule ou de faire des sujets scandaleux ou risqués. Car n'oublions pas que l'affaire Clearstream a été évoqué pour la première fois sur le plateau du vrai journal, il y a bientôt 2 ans, je crois. Outre cela , l'émission par le biais de l'agence Capa a traité de dossier à contre courant de nos JT qui faut bien l'avouer sont très fade. Le dernier de "l'esprit Canal" s'efface pour une Ferrari, bien consensuelle

J'ai enfin vu ce film grâce à Neo (un grand merci car la qualité générale du dvd est excellente). Le film est une perle noire, un "petit" chef d'oeuvre. L'ambiance est lourde et angoissante, les acteurs sont crédibles et intriguant, les effets spéciaux sont parfaits, la réalisation est propre et très ample, i lrègne une fluidité pendant tout le film. Ce qui m'a marqué, c'est surtout la bande sonore qui est stressante au possible : les bruit de la chaise d'Andy, le chien, les crissements de la musique, même le bruit des oiseaux ou des cigales deviennent menaçantes. Un film étonnant, et comme vous l'avez tous très bien dit avec une thématique très riche. Vivement recommandé

Hostel ou le film creux par excellence désolé j'ai pas lu tous les post (29! comme même), désolé si il y a des redites Hostel est pour moi un mauvais film en général et d’horreur en particulier. Comme tout bon film (d’horreur) celui-ci doit taper autant au ventre qu’à la tête et en l’occurrence Hostel n’arrive jamais à son statut d’œuvre culte ou de film d’horreur de l’année 2006. Le film se décompose en deux parties. Une première partie pour la présentation des personnages et la mise en place de l’intrigue et une deuxième consacrée à l’immersion dans l’horreur et la barbarie. Le premier acte est jonché de stéréotypes et de préjugés, les filles européennes d’une façon générale sont toutes des putes, assoiffées de sexe et les drogues ne les dérangent pas. Mais ce qui m’a le plus choqué, ce n’est pas les clichés sur l’Europe (on commence à en avoir l’habitude) mais bien les personnages principaux qui sont également très archaïques. L’épaisseur psychologique des « héros » est aussi fine que la ficelle d’un string. Et son en réalité à l’image de la crise d’identité que traverse les USA. Non je ne vais pas faire faire mon universitaire. Dans le cas d’Hostel, ni le père de famille (ou du moins d’une petite fille) ni l’étudiant timoré appréciant les musés seront les solutions pour lutter contre la barbarie. Le personnage qui va réussir – à s’en sortir – et venger ses amis et la morale par le même coup est un mix d’européen (il parle allemand) et américain. Le gros problème se situe (dès le début ) mais encore plus lorsque le jeune homme est confronté au bourreau. Son évidemment psychologique cause un désintérêt poli pour son sort et malgré la gêne face à toute la dernière partie (qui s’avère être finalement très jouissive) on voit la fin du film comme un soulagement. Pour un film qui se voulait dans la lignée des années 70, Eli Roth n’a pas compris les enjeux politiques, économiques et culturels à la base des films de cette époque. On a à faire à un film post 11 septembre insipide mais très représentatif de la mentalité américaine de l’américain moyen. Les personnages (l’Amérique) sont victimes d’un mal invisible qui prend forme sous la forme de barbare (terroriste) et pour expier leurs blessures, le gentil héros, après avoir aidé sa camarade d’infortune (une japonaise – Japon : allié des américains), il se venge en tuant l’homme emblème, (dictateur, terroriste,…) enfin celui qui se présentait et par chance c’est le bon. Finalement la morale est sauve et tous les spectateurs sont contents. Une lecture politique tirait par les cheveux, je reconnais mais les subtances que je consommes en grande quantité m'y ont aidé Rendons à César ce qui lui revient, le film a réussi à me mettre mal à l’aise dans la dernière demi heure et m’a (un peu) fait oublier le début vraiment catastrophique. Un film qui se veut indépendant mais qui ressemble à un produit de studio avec de l’horreur light alors que j’attendais à avoir l’estomac retourné. La chose la plus éprouvante aura été de voir le nom de Tarantino associé à ce film rempli de préjugé. Par contre la campagne promotionnelle était vraiment bien et l’affiche aussi…

source :http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=2888 que dire d'autre que , j'attend avec impatience de découvrir ces "petits" films mexicains

Quand y'aura plus de séries B libres de droits ! bah jamais alors que je suis

et encore des nouveautés mais où donc va s'arrêter Bach Films ?

l'info a été également évoqué dans Mad Movies, enfin je crois

As-tu des titres pour les WIP ? je mouilles déjà

ceux là ils sont à 7€ sur le site et sinon je pense à 5,9€ dans les Disc'King pour les Vampires Mexicains se sera 12 €, je pense

voilà les nouveautés de l'éditeur, à noter la sortie également de La révolte des Zombies, et bientôt les Vampires Mexicains...

au vu de l'extrait, je n'en suis pas si sûr

je recommence une nouvelle fois (merci le bug) ! dans l'émission "l'hebdo du cinéma" sur Canal, les invités de la belle Daphné Rouillet était HPG et LZA et c'était vraiment , un HPG qui m'a déçu par ses fausses réponses, qui a voulu faire son petit caca dans l'émission c'était du tellement n'importe quoi qu'ils ont fait une seconde entrée dans l'émission (tout cela a été gardé au montage). Et tout ça, car il ne voulait pas répondre aux questions "quel effet sa fait d'intégrer la famille du cinéma français ? de venir à Cannes avec un film d'auteur ?... etc et lui au lieu de défendre son film comme un malade, il dit HPG : "je suis un être sensible, donc je ne pourrais donner que des réponses sensibles, et je préfère laisser la parole à LZA", voilà donc vraiment c'est la déception, je passe la dispute avec LZA qui ne comprend pas sa réaction,... etc certes il a galéré pour son projet mais si il voulait faire le cinéaste écorché fallait le faire chez lui.... résultat, tête de bite m'a fait chier pourtant son film pouvait m'intéresser, bravo l'artiste !

le petit côté bis passe par quelque phrases, des dialogues sympa notamment avec l'auto-stoppeur au début du film, ainsi que ses plans en accéléré et surtout la fin, qui laisse voir....

bah oui mon zombie d'outre tombe, il y a même Allemand, Von Zombie , dispo à 9,90€ à Carrefour

un film découvert grâce au post de stephhorror qui m'a permis de découvrir ce film vraiment , je ne connaissais pas du tout. Et j'ai prit un pied incroyable devant cette démarcation de Jaws. Certes on remplace un grand requin blanc, par une voiture (justement quelqu'un sait quel est le modèle de la voiture utilisé dans le film ?).Mais ce film casse par certains aspects le structure classique, notamment par la mort de ATTENTION SPOILER la petite amie du sherriff Bref, 1h30, de jouissance devant cette bande. Le dvd Universal est de bonne qualité, format respecté. La voiture est magnifique, à côté Christine à l'air d'une pute, et la coccinelle d'une baltringue. Vivement conseillé, .... pour apprendre à écraser des cyclistes, des auto-stoppeurs, des flics (dans leurs voitures),...

Pareil, même si je préfère Serial Killers qui était bien mieux, peut être moins tourné vers une dérision constante, et la mise en scène était moins MTV, enfin dans mon souvenir, une bonne occassion de se refaire ses deux films là

Cool, j'ai appris une nouvelle expression ! Je veux bien que tu dévelloppe. Je sens que je pourrais m'en servir plus tard pour insulter de jeunes fans gavé de Screan, Saw et autre Hostel ! ouf c'est pas pour moi je n'aime ni Saw, ni Hostel mais j'avoue avoir un faible pour Scream

Dimanche 23 Avril sur Arte, grande soirée Western, voici le programme 19h : ......MORRICONE EN CONCERT 20h40 : ...Théma :Il était une fois le western spaghetti avec "Django" + un doc "Car ils sont sans pitié " + un autre film "Le triomphe des sept desperadas " Jeudi 27 à 20h40 : Keoma de Enzo G. Castellari. c'est tout

... plus sérieusement le fait qu'il n'y ai aucune échappatoire, seul la fuite est envisagée comme poursuite de l’existence humaine, et bien moi j’y vois la fin de La nuit des morts vivants, Zombie ou de Land of the Dead, donc une thématique de Romero mais bon peut être que je me suis fait refourguer un autre dvd

T'as fumé du crack avant de le voir ? je suis plus acide et LSD

j'ai pu enfin découvrir ce film grâce au dvd de Mad, celui-ci est de bonne facture (VF only). Un bon petit film sans pretention avec de bon effets spéciaux, malgré tout je ne comprends pas l'enthousiasme positif ou négatif lié autour de ce film. Je m'attendais quelque chose de bien plus passionnant. De nombreuses choses auraient pu être améliorer tel que le sentiment de claustrophobie dans la salle de cinéma, et la relation écran/réalité. Malgré tout, le film entier et le final pessimiste peuvent être vu comme un grand cauchemar éveillé qui me rappel par certains côté les films de Zombie par Romero.

C'est fait D'ailleurs quid de leur collection cinéma russe, j'ai vu des Eisenstein l'autre jour dans un Disc King issu de cet éditeur, la qualité est au rendez vous (j'en doute) Merci pour la qualité de leurs produits, c'est sur il faudra repasser, mais découvrir le premier Monte Hellman ou certains Monsters Movies des années 50, quel régal ! (d'asticots ), et à ce prix là, 5.90€, le retour sur investissement est largement assuré. Pour les films Mexicains, il me semble que les prix vont augmenter sensiblement, je crois qu'il était question de 12€ pour un dvd mais je me trompe peut-être (j'espère)...