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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    Creep - Christopher Smith (2005)

    moins bien que Creep ! alors là c'est sur j'y vais pas Parceque la seule choses qui sauve Creep c'est son ambiance sombre et au vu de la bande annonce de Severance j'ai peur de ne pas retrouver cela donc je prefère mettre mes 8€ dans 4 bonnes vhs
  2. Elle est même super bandante ! J'avais envie de mettre sur pose toute les 5 minutes ! moi si je met pause ça coupe tout enfin pour en revenir au film, c'est sur que c'est pas terrible mais c'est assez marrant volontairement ou non. Le passage ou Jenna et Alex se déguisent pour sauver la mère est assez drôle. Sinon le faux sang doit couter très cher car Liebarman alias Liebig le roi de la soupe (oui oui vous pouvez me huer ou me lapider à coup de .........brique de soupe ) est assez radin Voilà pas grand chose à dire, le couplet jeux vidéo = perversion de l'esprit et des conneries de ce genre sont pas terribles mais le renversement final Satan/Jesus est assez bien trouvé, cela fait peu de chose. Voilà à voir tout de même. Un (tout) petit film sans prétention et ça sa fait du bien.
  3. c'est souvent comme ça les gens énervé se consièdre calme enfin j'arrête sinon je vais réellement t'énerver . Malgré quelque aigreur vis-à-vis de la série, elle me passionnes toujours autant, j'ai hâte de voir la saison 3, et certes il y a d'autre bonne série mais Lost me touche. J'aime bien Seul au Monde, Koh Lanta ou l'ile de la tentation mais pour ce dernier c'est pas pour l'ile
  4. du calme l'ami tu vas nous faire une attaque , je pensais exactement comme toi avec le début de la saison 2. Je les ai enregistré et étrangement quand tu les regardes tous ou au moins un bon paquet d'un coup du ne ressent par cette frustration d'être prit pour un con. J'immagine que je ferai la même chose pour la saison 3. Donc respire, calme toi et attends d'avoir quelques épisodes sur ton disque dur enfin ce que j'en dis...
  5. Florent

    La nuit gore(canal +)

    Je ne sais pas si c'est moi Steb mais deux des liens ne marchent pas EDIT : ah oui c'est moi qui marche pas
  6. Florent

    Creep - Christopher Smith (2005)

    Par un beau dimanche ensoleillé, Flo se dit (oui j’aime bien me parler à la troisième personne ) : « tiens, est si je regardai Creep avant d’aller voir Severance » (je me réveille). Je m’en pressai de glisser une galette dans le lecteur et de me plonger dans ce film. 1h20 après, Flo était tout triste d’un film mi figue mi raisin . Donc comme vous j’ai trouvé l’atmosphère du film excellent, la fille est très antipathique (sympa pour un personnage grâce auxquel on doit ressentir ces épreuves), la photo est glauque à merveille, les décors sont parfait et le métro, lieu anxiogène par nature est restitué à merveille. Mais voilà.... patatra C’est assez simple lorsque Smith nous montre (la créature ?) l’homme, la bête son film fait psssiiiiiccchhhh !!! Comme un ballon et la suite devient de pire en pire. Bordel, jamais elle a la conscience (l’intelligence ?) de le trucider d’un coup de pied de biche ou avec je ne sais quoi, et pourtant ce ne sont pas les occasions qui manquent. Et puis qu’est-ce que c’est énervant de vouloir tout montrer ou justifier (photo de famille, la salle d’opération, le père obstétricien,…etc) merde il peut être tout simplement taré un point c’est tout. Le comble reste la fin avec ce petit effet moralisateur du genre « un jour, chacun peut être dans la misère,… ». Une déception, et vous savez quoi, je ne pense même pas aller voir Severance.
  7. Danger haute tension fait partie de ce genre de film que j’affectionne particulièrement. Il laisse la place à l’interprétation et permet au spectateur d’extrapoler à foison. Sur une idée simplissime, une maison d’un quartier type « Desperate Hoousewife » est victime d’une surcharge d’électricité. Cette variation entraîne la mise en route des ustensiles de cuisine (broyeur, four, robot mixeur) de la porte garage ou d’une scie circulaire. Paul Golding, dont c’est l’unique long métrage (à noter qu’il co-réalisa un court métrage avec Georges Lucas, Herbie [1966]), installe dès le générique une ambiance menaçante. Par de lents mouvements de caméra sur des lignes à haute tension ou de simples piliers, le réalisateur crée de ces éléments familiers une menace invisible. Beaucoup de thèmes sont abordés dans ce long métrage. Certains sont juste frôlés mais je vais me charger de fantasmer dessus . Le film commence par le réveil de Bill (Cliff De Young) et d’Ellen (Roxanne Hart) du au saccage de la maison en face de chez eux. De violents cris et des coups intriguent tout le quartier qui s’approche de la demeure, lorsque la police arrive sur les lieux. Un courant électrique illumine la maison, et on devine la mort de l’individu. Avec le générique et ce prologue, le spectateur est tout de suite mis sous pression. L’insécurité plane… David (Joseph Lawrence), fils de Bill, passe deux mois avec son père loin de son Colorado. Une information importante qui viendra souligné en filigrane l’opposition entre l’urbanisme et ses dangers contre un retour à la nature distillé dans le film et prôné par un « vieux fou » (Charles Tyner). La nouvelle maison du jeune garçon dispose de tous les derniers gadgets technologiques du moment. Ce qui contraste avec sa maman qui ne possède rien de tout cela et qui pense dans l’effet négatif de ces appareils, notamment du four à micro-ondes. Les difficultés du divorce sont donc amenés petit à petit dans l’intrigue pour laisser la place à la possibilité (selon moi) que les phénomènes électriques sont peut-être seulement du à l’imagination du garçon. Une sorte de tentative, éculé dans nombre de films, de rabibocher le couple désuni. Mais cette piste là est coupée cour par le père. On peut comme même voir ces tensions électriques comme les symptômes d’un mal être pour un jeune garçon balader entre son père et sa mère. Comme cela a été souligné par Jean Pierre Putters dans son Fantastic Guide du mois d’octobre (Mad Movies#190), David est l’enfant Roi. Sa belle mère comme son père tente d’apporter amour et affection à un gosse qui de toute manière n’espère qu’une chose, le retour de son père dans le foyer familial. Son rejet (nourriture, dédain envers ses parents) se traduit par l’envie de découvrir ce qui se trame dans ses problèmes électriques (la télévision qui devient folle, le lave linge qui se met en route). Pour cela, il part découvrir la maison de son voisin récemment décédé. Il y fait la rencontre du vieux fou qui vient apporter de l’eau au moulin des croyances de l’enfant et le conforte dans ses opinions : l’électricité est à l’origine du drame. Une version confirmé par le petit Stevie (Mathew Lawrence, frère de Joseph) qui lui explique dans le détails comment tout à commencer. Un processus qui est justement entrain de se réitérer dans la maison de David. La pelouse (mal) arrosée par le système automatique contribue à symboliser l’assèchement des liens familiaux, ainsi que le premier signe d’une future désertification du foyer. Elle aura lieu lorsque Ellen sera victime de sa douche. Alors dit comme ça sa fait sourire mais dans le film, la belle-mère est victime d’un dérèglement (enfin pas celui que vous pensez ) qui augmente la température de l’eau et celle-ci devient tellement chaude qu’elle est ébouillantée. Le jeune garçon et son père se retrouve relogé pour la nuit chez des voisins. Mais son père ne l’entend pas ainsi et durant la nuit regagne sa maison pour mettre les choses au clair (et oui une bonne discussion avec sa maison est tout s’arrange ). Alors que jusqu’à présent, il mettait tout cela (son fils à la limite de l’intoxication dans le garage, sa femme brûlé) sur le compte de malheureuses coïncidences, ce dernier est plus anxieux à l’idée de déambuler dans sa demeure. Un lieu qui n’a pas terminer son travail d’élimination… À noter que le générique de fin est assez bien fait, et ce par la mise en parallèle de prise de vue nocturne de villes et de circuits électroniques. La ressemblances est frappantes et à force, on ne sait plus quelques sont les plans électroniques ou urbains. Un générique qui pose intelligemment la question centrale du film pourquoi des appareils électroménagers ou électroniques d’une manière générale, ne pourraient pas être dotés d’une capacité à agir ensemble (sorte de mémoire collective) ? Après tout l’homme est parcouru par l’électricité, c’est grâce à celle-ci que nous sommes réanimé. Notre différence est de posséder des organes mais nous sommes également des êtres (bio)mécaniques. Enfin, un vaste débat… Un film, qui par bien des aspects, m’a fait penser à Runaway (1984) de Michael Crichton. Un petit visionnage s’impose donc pour confirmer. En résumé : vivons à poil, dans une cabane, au milieu de la forêt .
  8. Florent

    Zodiac de David Fincher (2006)

    UNE MERDE un film concept mise en scène, un générique, des acteurs, des plans merveilleux, alors il y a un je ne sais quoi qui freine ce film à devenir quelque chose de grand mais dire que c'est une merde...tu rend mon coeur tout triste ... ah oui au fait The game est un putain de film (big up à Télé 7 jours pour l'édition collector à 5,95€ )
  9. Merci ... mais je le savais vu que je me suis jetter sur les dvd dans mon disc'king, dès que je sais su la nouvelle. (Voir le thread Bach) et il me reste que Big Bird Cage à voir. Quand je parle de la suite, je pense au film de Jonathan Demme et d'autres malgré la quantité réduite de WIP
  10. J’ai un peu la flème de faire une critique digne de ce nom alors je vous met quelques extraits de la chronique DVD de Gilles Esposito paru dans Mad Movies #190, p82. « Women in cages (1971) [est] sans conteste le meilleur titre du lot » Le lot en question comprend “Big Doll House” et “The Bird Cage” de Jack Hill. “À cela nul hasard : le réalisateur Gerardo de Leon n’était pas un simple tâcheron, mais l’un des principaux artisans de l’émergence du cinéma philippin d’après guerre, reconverti sur le tard dans des œuvres plus commerciales. Il n’en sacrifie pas moins aux conventions du WIP, en dépeignant avec délices une salle de torture très sadienne, qui rappelle que de Leon fut aussi un spécialiste de l’épouvante. Mais surtout, il y a ajoute une trame de polar tendu et cruel, via un montage abrupt qui n’est pas sans rappeler un certain Sam Fuller. Enfin il tire le meilleur parti de la « couleur locale » comme en témoigne la bataille finale sur la plage, remarquablement filmée en contre-jour sous un ciel immense et flamboyant. » Et bien, je suis tout à fait d’accord avec lui . Women in cages est vraiment très bon tant d’un point de vue de la réalisation que du scénario. Il faut noter la présence admirable et magnifique de Pam Grier . Merci Roger Corman. Bon vu que Mr. Esposito ne parle pas des qualités techniques du dvd, je me charge au moins de cela. L’image est plein cadre, son mono,VOSTF (bonne qualité des sous titres) les menus sont très laids mais le film est présenté dans une copie avec un grain non dénué de charme. A cela, on ajoute une bande annonce, identique à celle dispo sur youtube, http://www.youtube.com/watch?v=23HF3iXOv5s ce dvd ravira tous les amoureux de Pam Grier et de WIP. les images ci-dessus ne sont pas extraites du dvd Vivement recommander. Merci Bach pour cette collection, vivement la suite...
  11. « Panga… est un épigone réussi du chef d’œuvre de Wes Craven : Sean Barton exploite au maximum les possibilités offertes par son décor (le film fut tourné en Afrique). » « Chris Walas gratifie l’amateur d’un monstre marin de fort belle allure » « Panga permet de stigmatiser l’impossible collusion de citoyens américains […] avec la population africaine locale » « Une série B d’excellente facture, passé inaperçue lors de sa sortie vidéo. A redécouvrir ». A redécouvrir, a redécouvrir mouaih, j’aurai très bien pu me passer de ce film tout pourri . Avec les « éloges » de David Didelot dans Le Charognard #4, p52, j’espérai voir autre chose qu’un film mal réalisé et mal interprété. Christopher Lee est sous exploité, il ne parvient jamais à être véritablement menaçant. Le scénario part dans tous les sens, est-ce un sorcier qui poursuit nos chers américains dans la cambrousse ou le monstre qui apparaît dans les cinq dernières minutes ? Quant aux décors, ils sont transparents, selon David, le film fut tourné en Afrique, (sur IMDB, le film est co production avec l'afrique du sud) on se croirait dans les champs de blé des Enfants du Maïs ! Les villages africains ressemble limite à des bivouacs, et l’aspect culturel de leur pratique religieuse passe au second plan, ce qui aurait pourtant permis à cette production (merdique) d’apporter autre chose qu’une vision manichéenne entre les américains incultes et stupides, incapables de respecter la foi d’autrui et les convictions liées à celle-ci. En voulant dénoncer cet aspect là, on ne sait si le réalisateur ne tente par d’apporter des excuses aux personnages. Je reviens à la créature car c’est le summum. On dirait un monstre tout droit sortie du Continent des Homme poisson. Alors oui, il y a quelques effets « gores » (pas très bien fait) qui viennent ponctuer le film, et qui évite de s’en dormir ou de brûler cette cassette. Au bout du compte, on rigole pas mal à la fin , mais on est triste d’un tel gâchis tant il y avait matière à faire quelque chose de pas mal. Même pas du bis, ni du Z, aucun second degrés…triste. Une déception .
  12. Vu sur le forum Hkmania, encore un truc qui me fait dire que les parisiens ont vraiment trop de chance ... m'en fous moi j'ai le soleil toute l'année ... enfin presque http://www.mcjp.asso.fr/cadrgen.html
  13. Très déçu de l'album, j'ai pas accroché, faut dire que j'en attendais énormément et vu le buzz autour de lui , mais il y a comme même de bons morceaux . http://www.youtube.com/watch?v=nue27x37-nM http://www.youtube.com/watch?v=5N6es8QOArI PRODUCTION des NEPTUNES http://www.youtube.com/watch?v=SeLohysZg8o à noter si vous voulez entendre le morceau original samplé c'est " Daydreamin in Blue" des I Monster
  14. Florent

    Zodiac de David Fincher (2006)

    Ah oui là, c'est parfait... ... sauf que tu as oublié The Game, merde quoi The game, chef d'oeuvre aussi
  15. Interview de Carlton Cuse sur Ecran Large http://www.ecranlarge.com/interview-363.php et j'ajoute un petit lien vers une vidéo "explicative", dans Lost ce mot est un euphémisme je pense que vous la connaissez tous mais qui sait ? http://www.dailymotion.com/video/xdoe2_lost-la-video-qui-explique-les-chif
  16. Un plaisir jouissif d'écouter ce greatest hit,... le sable, les palmiers, les filles en bikini et Menace II Society... merci Youtube ! I want to be your man http://www.youtube.com/watch?v=2VIj1p5xD0s Computer Love (musique de Menace II society) http://www.youtube.com/watch?v=TLZoVbbS3Lg So Ruff, So Tuff L'album (l'original comporte remix et un mega medley), avis aux amateurs
  17. Est ce que Kanye West est derrière les manettes de cet album ?
  18. tu voulais dire qu'il y a un seul qui n'avait pas mis un 6, en l'occurence Cedric Delelée, et en plus c'est pas un 5 mais un 4 "Mise en scène splendide et prétentieuse, script passionnant et inabouti. Mais c'est tellement moins con qu'Hellboy..."
  19. Florent

    Zodiac de David Fincher (2006)

    Putain les cons de ricains, ils oublient le plus grand film de Fincher, merde quoi, Fight Club est un chef d'oeuvre. Je me calme pour dire à quel point j'attends ce film... enfin un peu comme la majeure partie du forum
  20. Florent

    [Bach Films]

    Voici une de leur prochaine sortie dans une nouvelle collection "Heroic Fantasy"
  21. Je poursuit le post de Pete pour dire que son dernier album est vraiment très très bon. BECK - The information à noter que la pochette est à faire avec ses petites mimines et ce grâce à une série d'autocollants . le premier single Nausea est une petite bombe http://www.youtube.com/watch?v=dec9DKwcChs
  22. J'ai enfin vu ce film et c'est vraiment très bon. Le film de John Russo est très intéressant sur la forme comme sur le fond, et pourtant à première vue le résultat paraît très amateur . Ne crions pas au chef d’œuvre car le film n’arrive jamais à se hisser au-delà de son statut de série B, mais après tout cela lui va parfaitement. Le premier bon point du film est d’arriver à humaniser les personnages. On ressent le périple de Nancy, face à son beau père (Lawrence Tierney R.I.P) ou dans la famille de Sataniste. Au-delà du traitement général de l’histoire, on constate la similarité des deux confessions. Alors est ce que Russo est pro sataniste ? Je n’en sais rien mais on ressent cette volonté de les confronter. Bref, ce qui m’a le plus interpellé c’est le traitement de cette Amérique profonde. Midnight poursuit le sillon des films de Romero ou de Hooper. L’aridité visuelle est certainement due à un manque de moyen mais cela donne au film un climat particulier vraiment flippant. Le film prolonge le malaise de Massacre à la tronçonneuse ou du Crocodile de la Mort, et ce dès les premières minutes. La nature (boue, climat pluvieux, les arbres nus), à l’instar des films précédemment cités, participe grandement à cette atmosphère anxiogène. Russo nous montre le terreau de l’Amérique, conservatrice. Une Amérique se situant ni dans les paillettes (Miami, Los Angeles), ni dans les centres de décision (NY, Washington). Une pourriture qui s’immisce dans les rapports familiaux (inceste, alcoolisme). Au fond le Satanisme est un prétexte pour Russo, qui s’intéresse plus à dépeindre des bouseux déglingués du ciboulot. A noter la partition musicale vraiment très stressante qui crée dès le début un sentiment d’insécurité et une atmosphère malsaine.
  23. Florent

    [Bach Films]

    un petit copier coller de devildead pour ces futures sorties, noter le Survivance 10 Oct. 2006 >>> BACH SUR LA TRACE DES TUEURS EN SERIE D'après le planning des sorties de Bach Films, le mois de décembre sera largement consacré aux tueurs en série ! En effet, l'éditeur proposera une vague de titres dédiés aux psychopathes et autres accumulations de cadavres. La sélection contiendra UNE ILE DANS LE BROUILLARD (FOG ISLAND), UN HURLEMENT DANS LA NUIT (A SHRIEK IN THE NIGHT), L'INCROYABLE MR. X (THE AMAZING MR. X), L'ETRANGE MR. SLADE (MAN IN THE ATTIC), LA VOLONTE DU MORT (THE CAT AND THE CANARY) et BARBE BLEUE (BLUEBEARD version Edgar G. Ulmer). Sans oublier la surprenante présence de SURVIVANCE de Jeff Lieberman. La sélection est quelque peu litigieuse à propos de certains titres mais ce n'est pas grave. De plus, on suppose que l'éditeur va aussi se consacrer aux films noirs puisque dans son planning, on trouve pas mal de titres du genre tel que SABLES MOUVANTS (QUICKSAND), LA BRIGADE DES STUPEFIANTS (PORT OF NEW YORK), LE DEMON DE LA CHAIR (THE STRANGE WOMAN), TRAQUENARD (TRAPPED) de Richard Fleischer, QUI A TUE ARCHER COE (THE KENNEL MURDER CASE) et IMPACT de Arthur Lubin. source : http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=3052&PHPSESSID=596082427b945df4a0ea0433033872ca Si quelqu'un a plus d'info sur les films, merci
  24. Ah merde je n'avais pas fait de recherche, désolé Riton, mais bref, je remet un lien vers mon post http://www.zonebis.com/forum/viewtopic.php?t=5552 Content de voir qu'il y a des amateurs de beaux corps
  25. A la suite d'un article dans Chronic'Art #29, je découvre cet artiste Japonnais. Alors je l'avoue je n'ai pas d'attrait particulier pour les hommes mais j'aime le graphisme d'une manière générale Et pour le coup, c'est vraiment très beau. A découvrir de toute urgence pour un artiste engagé (sexuellement). Je vous met les liens qu'il faut ainsi que quelques images (les plus soft, je n'ai pas osez choquer Allan avec des sexes en érection, déjà qu'il fantasme sur Collin Farrel depuis Miami Vice alors j'imagine dans quel état il pourrait être http://www.tagame.org/index.html http://www.ho-editions.com/caddie/description.php?II=144&UID=2006100717075590.4.132.10 On peut ne pas aimer certaines images ( il y a quelques trucs assez hard difficile à avoir dans son salon ou dans sa bibliothèque [voir les peintures] mais le talent est indéniablement.
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