Florent

d'un coup j'ai une furieuse envie de... de voir ce film ainsi que la première chose qu'on a tous penser

Ah ok mais je suis d'accord avec le bonbon qui se suce ou se lèche sur Pacific Heights qui fonctionne très très bien encore aujourd'hui avec une belle performance de Keaton , c'est sûr que le sujet ressemble à une émision de Julien Courbet mais çà c'est un autre thread

J'imagine que c'est encore un trait d'humour dont tu as le secret parce que sinon je trouves ça un peu facile . Les années 80 ont produit bon nombre d'excellents films notamment The Deadly Spawn

Merci et maintenant pour ses autres films qu'est ce tu peux en me dire plus sérieusement j'imagine qu'il ne faut pas compter sur une sortie nationale Vu que vous allez tous répondre par la négative, à moins que... je vais me retourner vers le dvd mais encore là les critiques techniques lues sur des sites italiens ne sont pas bonnes (spécif : VO (italien pour ceux qui ne suivent pas) et avec des sous-titres italien également 12,90€ environ) hallucinant je viens de voir que le film fut diffusé en dvd avec "La Repubblica” et dans “L’Espresso", DE-GOU-TE !

alors Superwonderscope et les autres vous me le conseillez ou pas, Almost Blue ? En ce qui concerne le film d'Alex Infascelli une interview du réalisateur est présente dans le numéro 263 de L'Ecran Fantastique p72-73 (si ca interesse quelqu'un je peux la scanner . On apprend pas mal de chose, le film fut tourner en 25j en numérique qu'il s'est inspiré de cinéaste comme Ken Russel (classe !) ou Peter Weir (très classe) que l'idée lui est venu en Corée (classe !) à la fin du mois de juillet et qu'ils ont commençé en novembre de la même année ( pas classe j'ai peur d'un coup que ce soit vite fait mal fait mais j'ai confiance ) "dans Almost Blue, on ne voyait jamais un assassinat, dans il siero della Vanità, il n'y en avait pas. Ici j'ai beaucoup joué sur l'invisible, encréant la sensation d'une présence sans jamais la concrétiser" Voilà des choses qui me rendent impatient

Je viens de le voir et c'est une bombe ! Je suis encore sous le choc faut dire à 10h du matin se prendre 84 mn de mitraillette, de torture, d’humour (involontaire) et de violence c’est très dure pour un cerveau à peine réveillé . J’ai déjà envie de le revoir tellement c’était bon. Max Thayer (Ilsa, Commando Phantom autre excellent film que j’ai vu il y a deux jours j’y reviendrai un de ces jours) est succulent à souhait. Des dialogues AN-THO-LO-GI-QUES ! « C’est sale coco ils veulent faire des USA la grande banlieue de Moscou » « tu vois que trop d’intelligence chez une femme c’est dangereux » . J’ai déjà oublié les autres mais c’est comme ça pendant tout le film. Rien à jeter de ce film durant lequel on ne s’ennuie jamais, on est amusé, terrorisé (par une scène d’arrachage d’ongle en gros plan vraiment saisissante) et les conflits mondiaux outre celui entre l’URSS et les USA servent de toile de fond à ce fantastique bis. Si mon avis est brouillon excusez moi mais je suis tout retourné. A DECOUVRIR DE TOUTE URGENCE !!!!! c'est de la BOMBE DE BIS

alors la question cruciale, est est-ce ca vaut le coup de l'acheter ou non, parce que j'ai une connaissance qui est actuellement à Florence donc si je peux découvrir un bon film c'est cool surtout qu'il a l'air pas très cher, merci

Manolito sur devildead Tiens demain je vais rechercher dans quel numéro c'est Merci Joe,... personne n'a vu Almost Blue ?

je viens de faire un tour sur le site et le programme est alléchant voire carrément hallucinant, j'en ai profité pour faire quelque thread surtout pour H2odio (Virgin Suicides meets horror movies) d'un coup je me sens tout triste de ne pas vivre dans le Nord ou même à Paris car franchement j'irai bien

La jeune réalisatrice de documentaires Taylor Gentry (Angela Goethals) et son équipe arrivent dans la petite ville de Glen Echo d’où ils émettent leur programme, à quelques mètres de la ferme tristement célèbre des Vernon. Avec pour coulisse la demeure délabrée, Taylor explique que ce sera là qu’émergera la prochaine inexplicable vague de terreur, et qu’elle propulsera la ville de Glen Echo dans le panthéon des communautés tourmentées. On prétend que Glen Echo a été tourmentée par des actes malsains similaires à ceux perpétués par les fous Jason Vorhees à Crystal Lake, Frederick Krueger sur Elm Street dans la banlieue de Springwood, et Michael Myers dans la petite communauté de Haddonfield. Beaucoup ont mené l’enquête et essayé de répondre aux questions : Qui sont ces hommes? Comment font-ils ce qu’ils font? Sont-ils humains ou simplement produits de légendes comme le Bigfoot? Quelle est la connexion entre ces villes et Glen Echo? Mais les enquêteurs sont toujours revenus bredouilles, leurs documents ayant été perdus ou volés, et personne ne voulant leur parler…jusqu’à maintenant. A noter la présence de Robert "Freddy"Englund dans le cast plus d'info sur http://www.behindthemaskthemovie.com/ trailer dispo http://www.behindthemaskthemovie.com/flash.html En compétion au festival Cynenigma (Luxembourg), visible le 23 octobre 2006 à 21h. Plus d'info sur http://www.cinenygma.lu/

Cinq femmes se rendent dans une demeure totalement isolée pour un jeûne d’eau purifiant. Sept jours sans nourriture, sans électricité et sans téléphones, avec de l’eau pour seule denrée. Les jours passent crescendo au rythme d’événements mystérieux, jusqu’au moment où elles commencent à penser qu’elles ne sont peut-être pas les seules occupantes de cette lugubre demeure. Comme l’eau donne la vie, c’est l’eau qui la reprendra de façon atroce… plus d'information sur le très beau site du film, une pure merveille ! http://www.h2odio.it/ Si vous aimez l'affiche, je vous invites à découvrir l'artiste (déjà derrière la pochette du dernier Indochine) sur son site http://www.anabagayan.com/ En compétition au Cynenigma à Luxembourg à 22h le 22 octobre 2006. Je n'ai pas vu Almost Blue, juste la bande annonce et j'avais bien aimé, pour l'instant en découvrant le programme du festival c'est mon gros coup de coeur. Ce film à l'air magique

Alex (Pascal Duquenne, meilleur acteur, Festival de Cannes pour Le Huitième Jour) est un homme trisomique, cloué dans une chaise roulante depuis une mystérieuse chute dans l’escalier. Alex est traumatisé par ses parents : Max (Philippe Résimont), un compositeur frustré, violent, complètement dingue ; et Marie (Françoise Mignon), une femme aigrie et hystérique. Heureusement, la sœur d’Alex, Melinda (Caroline Veyt), s’occupe de lui depuis toujours. Mais Melinda, enceinte de 9 mois d’un père inconnu, et également maltraitée par ses parents, est sur le point de déménager pour refaire sa vie, en laissant Alex derrière elle. C’est alors que, au plus fort de la crise familiale, une PORTE mystérieuse apparaît dans la maison, à un endroit où il n’y avait rien auparavant. Et chaque personne qui en franchit le seuil disparaît dans un cri d’effroi. Les membres de la famille se retrouvent enfermés dans la maison, dont toutes les issues semblent bloquées et ils disparaissent les uns après les autres dans la PIECE. Suite à ces événements terrifiants, les membres de la famille devront affronter leurs secrets les plus sombres, ce qui les poussera presque à s’entre-tuer. Mais quel est le mystère qui se cache dans… LA PIECE ? plus d'info sur http://www.titlefilms.be/theroom/ le site est super, on y retrouve un making of du film vraiment excellent, bravo ! En compétition au Cynenigma le 22 octobre à 21h plus d'info sur http://www.titlefilms.be/theroom/

Dans ce thriller surréel, la mystérieuse Marie March fait un voyage à Darckeville pour escroquer un collectionneur excentrique possédant des Antiquités inestimables; mais aussi pour échapper à un mari autoritaire plus âgé qu’elle. Dans le train de marchandises qui l’emmène à Darckeville, des rêves sensuels et des souvenirs sombres de son enfance s’emparent d’elle et se bousculent dans son esprit tourmenté. D’importantes révélations d’un passé non résolu s’empressent de la rattraper. Pendant ce temps, Caz, une ex-amante de longue date, belle mais psychotique, a découvert où elle se trouve. Caz a pour mission de se battre contre l’infidélité et défend ceux qui ont été blessés par « l ‘Amour ». Sur fond de rêves qui s’estompent, d’aspirations brisées et de ruines croulantes et pourrissantes d’une ville tachetée de gens étranges; leurs chemins se croisent et le résultat en sera explosif. trailer dispo http://www.the4thlife.com/TRAILER/Trailer.html plus d'info sur http://www.the4thlife.com/ En compétition au Festival Cinénygma, visible le 22 octobre à 21h http://www.cinenygma.lu/

Après le meurtre brutal de leur fille, dans leur maison, un jeune couple en deuil s’échappe de la ville pour se consoler à la montagne. Allen (Greg Thompson) essaye de rester occupé en travaillant et Julie (Cheri Christian) se force à continuer sa photographie, mais leur relation déjà abimée se trouve fragilisée par la culpabilité qu’ils ressentent après la mort de leur fille. Bientôt leur douleur réanime les entités meurtrières de la montagne, et Steve, un ami leur rendant visite, fera une horrible rencontre au milieu de la nuit. Pendant que les entités prennent possession de Julie, un cycle de mort se réveille et Allen, horrifié, découvre ce qu’il y a vraiment sur les photos prises par Julie. Pendant que les entités vengeresses s’empressent autour de lui, Allen doit se battre pour percer le secret mortel de la montagne pour sauver la vie de Julie. Trailer dispo à l'adresse suivante : http://www.darkremains.com/TRAILER/10MBquicktime.htm En compétition au Cinenygma (Luxembourg Film Festival), visible le 24 octobre à 21h http://www.cinenygma.lu/ Plus d'info sur http://www.darkremains.com/

sinon en cherchant un peu j'ai trouvé ça http://www.youtube.com/watch?v=J4IEanB47tk&mode=related&search= Comment elles sont trop mimi EDIT : apparamment elles ont 14 ans alors je vais me calmer

c'est pas plutôt à cette adresse http://www.youtube.com/watch?v=wuSGVF32zzU&mode=related&search= bah sinon dans les deux cas c'est drôle

perso j'ai beaucoup aimé "L'écolé emportée" même si la fin est un peu en queue de poisson enfin je veux dire que la fin est abrupte mais je recommande les mangas de cet auteur aux scénarios très noirs et à la vision pessismiste des relations humaines.

putain t'as le chic pour gâcher une soirée ah au fait Dominique Farrugia Jr, ton papa va bien

perso je l'ai achété, un peu feuilleter et qu'est ce que c'est beau beaucoup de photos (issues de la collection de Mann), des croquis préparatoires. Pour les analyses je ne sais pas mais ma bibliothèque gémit de plaisir alors vous allez me faire croire qu'il y a que moi qui aime Mann au point de mettre 20€ dans un bouquin sur lui

Bandini tu es sûr car sur Asia Diffussion ils sont toujours en précommande pour le 18/10 http://www.asia-diffusion.com/new/dvd.php?id_dvd=2548 tu sais on t'en voudras pas si tu t'es trompé, surtout pas moi

Voici une nouvelle série de Kazuo Umezu publié en France chez Glénat dans la collection Bunko (petit format) Après L'excellent "L'école emportée", Kazuo Umezu nous offre encore une histoire sombre et intrigante en 4 volumes. Notes de l'éditeur L'actrice Izumi Wakakusa, surnommée " la sainte éternelle ", voit sa beauté décliner suite à l'apparition de rides et d'une horrible tâche sur son visage. S'accrochant de toutes ses forces à la moindre lueur d'espoir, elle conçoit un plan avec l'aide de son médecin personnel, le docteur Murakami. Peu de temps après, elle donne naissance à une fille. Puis elle disparaît brusquement, et personne n'entend plus parler d'elle. Les saisons passent... Quelque part dans une ville, une mère et sa fille vivent ensemble. Il s'agit d'Izumi, le visage dévoré par une dartre repoussante, et de sa fille, la resplendissante Sakura. Pour retrouver jeunesse et beauté perdues, Izumi est prête à tout, y compris fomenter le plus machiavélique des projets... Biographie de l'auteur Kazuo Umezu est né à Kônoyama, dans la préfecture de Wakayama. Il commence à dessiner des mangas dans ses années de collège. En 1955, il publie "Les enfants de la forêt", sa première œuvre. Il puisera dans ses souvenirs d'enfance pour publier nombre d'histoires terrifiantes, ainsi que des récits humoristiques. On peut citer : "J'ai peur de maman", "L'homme-poisson", "Orochi", "Iara", "Makoto-chan", ou encore "je m'appelle Shingo". En 1975, il reçoit le prix Shogakukan du meilleur manga avec " L'école emportée ". En été 1995, il met un point Final à "14 ans", sa dernière série en date après cinq ans et demi de publication dans la revue Big Comic Spirits. Le premier volume est très sympa, lire glauque et sombre, l'action est très (trop?) condensée et j'attends la suite pour donner un avis un peu plus développé. Mais je le recommande vivement

Pfiou... Bon, nooormalement, à moins d'un nouveau changement de date, ces titres arrivent le 6 décembre. NOOOOOOOOOOOONNNNNN!!!!! putain c'est pas possible, je rêve des Masumura toutes les nuits et c'est encore repoussé ... bon d'un côté c'est pas les sorties qui manquent et ça va permettre à mon porte monnaie de souffler un peu

je te comprend il m'a fallu un certain temps au début car je m'attendais à quelque chose d'exceptionnel alors que le film marche justement dans son côté quotidien qui vire au drame et dans le fantastique (light). Cependant je l'ai trouvé très bon. Roeg est un habitué des films au rythme assez "lent" (Bad Timing, Eureka) Je pense que le film est victime de tout le buzz fait autour de lui comme beaucoup d'autre film et qui s'avère décevant pour le spectateur qui à trop fantasmer dessus. Allé fait moi plaisir n'attends pas tes 60 ans (qui sait ? )

Une vraie bonne surprise, à la hauteur des excellentes critiques lus à droite et à gauche. Notamment celle de Romain Le Vern sur dvdrama http://www.dvdrama.com/news.php?9461&page=1 Je vous donne mon impression ainsi que les meilleurs extraits de la critique de Monsieur Romain Le Vern "Ne vous retournez pas est un film formidable. Formidable parce que visuellement éblouissant et scénaristiquement retors: il accumule les allusions, les fausses pistes hasardeuses et par les délicieuses lois du montage roublard (utilisation maligne du flash-forward) manipule le spectateur sur toute la ligne. Du travail d'orfèvre". Il ne fait aucun doute que le film est une petite merveille de montage. Entre une séquence d’ouverture et celle de clôture, Roeg témoigne de sa très grande maîtrise du matériau filmique. Le film est une véritable descente aux enfers. Julie Christie, absolument admirable, entraîne inévitablement le ressassement chez Donald Sutherland (également magnifique). Chaque personnages, à l’image de la séquence dans les toilettes du restaurant (faux semblants et facettes multiples), vont nous entraîner dans des fausses pistes nous faisant petit à petit oublié l’intrigue secondaire (le tueur) pour que l’effet final soit davantage saisissant. "Toute cette menace ambiante, cette vulnérabilité dans les personnages qui tentent une dernière fois de croire en l’improbable, cette manipulation palpable et si discrète, tous ces éléments qui créent la perte de repères sont extrêmement bien rendus. Parce qu’au gré des rebondissements (nombreux et intenses), la solution était évidente et sous leurs yeux. Faute de l’avoir saisie à temps, elle se retourne contre le couple lui-même qui faisait fausse route. Soudainement, le rythme du film s’accélère et on débouche sur une dernière scène TERRIBLE qui marque longtemps l’esprit après le film". Venise devient un véritable labyrinthe émotionnel pour le couple et la fin conclue le manque de communication entre l’homme et la femme. La fin est l’expression aussi bien du manque de confiance en l’un et l’autre que d’une blessure (la mort de leur fille) encore trop vive. Car cette mort est véritablement le nœud de l’histoire. La preuve en est, dans une séquence le personnage de Julie Christie reproche à celui de Sutherland son laxisme envers leurs enfants pour les avoir laisser jouer près du plan d’eau. Même si au long du film on ne ressent pas ces reproches, l’évitement sans cesse de Sutherland face à l’évocation de leur fille constitue la négation de la mort et donc l’impossibilité de faire son deuil. Le couple n’a plus la foi en eux. "En plein milieu de l’intrigue, surgit un frisson érotique: une scène d’amour filmée dans toute sa sublime banalité où un couple se déshabille, se touche, s’embrasse dans un lit et se donne du plaisir pour mieux oublier la souffrance du quotidien" Une séquence très belle, où pour la première fois le couple semble réellement unit, une rare marque d’affection l’un envers l’autre. Cette scène intervient comme un exutoire de la douleur mais aussi comme une tentative de renouer avec un passé vers un bonheur révolue, malgré les apparences. Et le film ne cesse de travailler la question du doute et qu’il ne faut pas se fier aux apparences. Un excellent film qui prend son temps pour installer une ambiance, des personnages et une intrigue, ce qui permet au spectateur d’être en totale compassion pour eux. Pour certain le film sera sûrement trop long et pas assez rythmé mais je pense justement que le plaisir du film réside dans sa capacité à nous faire vivre au plus près d’eux et de leurs souffrances.

t'excuses pas Igor