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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    Preacher sur HBO

    incroyable j'espère que l'on verra Tronche de Cul autant savoir que c'est HBO qui s'en occupe cela parait rassurant autant Johnson cela fait peur TRONCHE DE CUL ! TRONCHE DE CUL ! TRONCHE DE CUL !
  2. Corey, jeune champion de Skate Board doit participer au dangereux championnat de Los angeles surnommé "Le Massacre". (en fait c’est L.A. Massacre ah la la le doublage dans les années 80) Parmi la foule de jeunes venus assister à cette manifestation, Corey rencontre Chrissy dont il tombe amoureux. Il apprend malheureusement qu'elle est la soeur de Hook, le chef d'un dangereux gang. Hook a la ferme intention de remporter ce championnat et fera tout pour contrarier les plans de Corey : la guerre est ouverte. J'ai cherché un thread sur ce film et j'ai pas trouvé pourtant il me semblait que Peter Wonkley avait déjà dit à quel point il aimé ce film peut être que je me trompe Bref ce film sent bon les années 80 et c'est avec un plaisir immense que l'on regarde cette production de bout en bout. Ce n’est pas du grand cinéma mais juste une bande ultra jouissive dont les ricains nous abreuve. A la croisée du teen-movies et du film de gang, Skate Gang aka Trashin’ est à la hauteur de ses ambitions. C’est-à-dire divertir, montrer des bonnes prises de vues en skate ainsi que développer l’image d’un (futur)sport. Je ne sais pas si en 1986, le skate était bien reconnu ou que les X games existait déjà ? Entre le cadre (La Californie) les acteurs (Pamela Gidley dans son premier rôle et que l’on a pu revoir son jolie petit minois dans quantité de série TV) la réalisation est excellente et nous fait bien vivre les courses. La bande son est monstrueuses (ceux qui n’aiment ni les années 80, ni la musique de l’époque qui s’abstiennent) avec pleins de groupes que je connais pas mais cela participe au plaisir. A noter l’apparition des « Chaud Piments Rouge » alias les Red Hot Chilli Peppers, (merci au doublage pour cette interlude humoristique ) lors d’une soirée entre skateurs. Un film gentil comme un agneaux (malgré une séquence, celle qui illustre la jaquette) digne d’une production Disney mais un très bon moment de cinéma simple et honnête.
  3. j'aime beaucoup le titre éponyme de l'album "At the speed of life" ainsi que la prod de Muggs (Cypress Hill) "The Foundation"
  4. Bon je l'ai vu pour faire plaisir à ma copine et j'en ressors mitigé je me doutais des lourdeurs mais Iñárritu signe un bien meilleur film que 21 grammes. J'ai beaucoup aimé la partie Japonaise et la Mexicaine par contre les personnages de Brad et Kate sont oripilants. J'avais l'impression dès fois d'être dans une pub Eurocard Master Card ou Visa (Brad voulant payer le Marocain ) Sinon j'ai beaucoup aimé la mise en scène et le montage. Le prix de Cannes est amplement mérité Pour moi le meilleur film d'Alejandro González Iñárritu reste Amours Chiennes. Maintenant qu'il a terminé sa trilogie on va voir si c'est oui ou non un grand cinéaste capable de filmer autre chose que des histoires domino.
  5. Florent

    Next door-Pal Sletaune (2005)

    Oh merde j'ai un peu lu ce que tu dis alors que j'ai vu que la première demi-heure Trop fatigue pour continuer (merci le magnéto) mais c'est méchamment malsain et morbide. Les filles ressemblent à des droguées et pourtant on devient très vite fasciné. La scène d'amour à coup de poings est sublime (j'aurai aimé voir ca dans Fight Club). Voilà je vais me mater le reste car tu m'as donné envie avec la scène de la pioche
  6. Florent

    2007 sur Arte

    c'est un jeu ce thread ? Qui va reussir à faire une phrase avec 5 mots ou 6 bon j'essaye Mais la programmation Trash a été mise en place l'année dernière donc ce n'est pas une nouveauté juste une (bonne) continuité quant au film j'imagine qu'il n'y pas de titre annoncé
  7. Florent

    The Host - Bong Joon-Ho - 2006

    Bientôt en dvd en Corée Edition 3 dvd avec le cd de la bo + d'info sur dvdalliance http://www.dvdalliance.com/article.php?sid=12399&order=0
  8. Né en 1919 à Séoul, Kim Ki-young a réalisé une trentaine de films. Entomologiste cruel, observateur implacable des comportements humains, il a réalisé, entre 1955 et 1995, une série de mélodrames sexuels d'une incroyable violence où la rhétorique du cinéma d'épouvante met à nu les pulsions les plus indicibles. Un grand cinéaste à découvrir. Un entomologiste cruel Kim Ki-Young est né en 1922 à Séoul. Son père enseignait l'anglais. Après avoir montré, au cours de ses études, des capacités prometteuses dans diverses disciplines artistiques comme l'écriture, la musique et la peinture, il se prépare à des études de médecine tout en se passionnant pour le cinéma qu'il consomme en grande quantité durant un séjour au Japon. Lorsqu'il revient en Corée en 1946, il se consacre autant à ses études de médecine qui le destinent à être dentiste qu'à la mise en scène de théâtre à l'Université où il monte des pièces de Tchekhov et Shakespeare. Durant la Guerre, il participe à la réalisation de documentaires d'actualité dans le service d'information de l'armée américaine, à qui il empruntera du matériel pour réaliser, en 1955, son premier film, The Box of Death. Il tournera ensuite trente-deux films depuis cette époque jusqu'en 1995. L'hommage qui lui sera rendu à la Cinémathèque permettra la découverte de dix-huit titres. C'est la plus grande rétrospective de l'œuvre du cinéaste jamais réalisée. A les découvrir, il sera facile de se rendre compte que s'y manifeste, de film en film, une véritable obsession. Ainsi La Servante, en 1960, son film le plus célèbre, semble avoir fourni la matrice d'un grand nombre de titres relevant tous d'une catégorie particulière et un peu insaisissable. Mélodrames érotiques, drames psychologiques d'une violence étonnante, thrillers angoissants, les films de Kim Ki-Young sont surtout l'œuvre d'un entomologiste sévère, observateur impitoyable des relations entre les hommes et les femmes. Ils sont, en effet, pour la plupart, construits sur le même principe. Une femme, souvent nommé Myeong-ja, vient briser la tranquillité et la quiétude d'un couple en séduisant l'homme et en affrontant son épouse. Cette structure plusieurs fois filmée (La Servante en 1960, La Femme de feu en 1970, The Insect Woman en 1972, La Bonne Sœur en 1979, La Femme de feu 82 en 1982, Carnivore en 1984 jusqu'à son dernier film, après dix ans d'inactivité, A Moment to Die For en 1995) définit une œuvre étonnante et unique dont on ne peut que regretter qu'elle soit reconnue aussi tardivement et qu'elle ait mis tout ce temps être découverte hors de Corée. Le cinéma de Kim Ki-young est un cinéma où la surenchère s'accommode d'un sens particulier, singulier, personnel du grotesque et de la dérision morbide et violente. Dès ses premiers films, comme La Province de Yang San ou le récit traditionnel des amours [/color]contrariées devient prétexte à la peinture d'une attraction érotique d'une violence irrésistible étonnante pour l'époque purgée dans une succession de morts brutales qui caractérise la fin du récit. En n'hésitant pas à employer parfois une rhétorique relevant du cinéma d'épouvante, en dédaignant les règles les plus élémentaires de la mesure et du bon goût, Kim Ki-Young parvenait à mettre à nu les petits secrets dégoûtants des pulsions humaines les plus indicibles, et la façon dont elles déterminent les agissements des individus. Autant qu'à Bunuel dans son versant naturaliste, que l'on a parfois cité à son propos, Kim Ki-Young pourrait faire penser à Stroheim. La manière dont il cerne, avec lucidité, le moment où l'homme ou la femme bascule, hors de toute raison, dans l'abjection de sa propre envie, de son propre désir sexuel, a en effet peu d'équivalents dans toute l'histoire du cinéma. Parions que la rétrospective de son œuvre sera un évènement majeur pour la cinéphilie française. Kim Ki-Young est mort avec son épouse dans l'incendie de sa maison le 5 février 1998. Jean-François Rauger PROGRAMMATION : L'AMOUR DU LIEN DU SANG - KIM KI-YOUNG - 1976 - 100’ BAN GUM-YON - KIM KI-YOUNG - 1981 - 90’ CARNIVORE - KIM KI-YOUNG - 1984 - 105’ LA CHASSE DES IDIOTS - KIM KI-YOUNG - 1984 - 100’ COURTS METRAGES CYCLE KIM KI-YOUNG - PARK SOO-YOUNG, RYU SEUNG-WAN, UM HYE-JUNG - 2006 - 73’ UNE DEMOISELLE LIBRE - KIM KI-YOUNG - 1982 - 95’ UNE EXPERIENCE QUI VAUT LA PEINE DE MOURIR - KIM KI-YOUNG - 1995 - 95’ UNE FEMME COREENNE - IM SANG -SOO - 2003 - 104’ LA FEMME DE FEU - KIM KI-YOUNG - 1971 - 98’ LA FEMME DE FEU - 82 - KIM KI-YOUNG - 1982 - 115’ LA FEMME DE L'EAU - KIM KI-YOUNG - 1979 - 117’ LA FEMME INSECTE - KIM KI-YOUNG - 1972 - 120’ LES FUNERAILLES A LA KORYO - KIM KI-YOUNG - 1963 - 90’ L'ILE D'I-EOH - KIM KI-YOUNG - 1977 - 110’ INCOHERENCE/LA FEMME DE FEU - KIM KI-YOUNG - 1982 - 145’ PAPILLON MEURTRIER - KIM KI-YOUNG - 1978 - 110’ LA PROMESSE DE LA CHAIR - KIM KI-YOUNG - 1975 - 95’ LA PROVINCE DE YANG SAN - KIM KI-YOUNG - 1955 - 90’ LA SERVANTE - KIM KI-YOUNG - 1960 - 90’ LA TERRE - KIM KI-YOUNG - 1978 - 125’ LA TRANSGRESSION - KIM KI-YOUNG - 1974 - 112’ + d'info sur http://www.cinematheque.fr/fr/espacecinephile/evenements/retro-kim-ki-young.html pour les horaires :http://www.cinematheque.fr/fr/nosactivites/projections/cycles-cinema/cycle.html?Cycle_OID=e7756070-246b-4713-b3a7-000000000297 J'ai qu'une chose à dire : PARIS EST MAGIQUE !
  9. Un des rares cd de DM que me manquait et c'est (comme d'habitude) trop bon. DM est un des rares groupes pour ne pas dire le seul que je puisse écouter toute la discographie du premier titre juqu'au dernier. Pour dire que les cd sont à 8€ sur Cdiscount http://www.cdiscount.com/search/depeche%20mode/s-101.html?navid_nav=101
  10. Florent

    Next door-Pal Sletaune (2005)

    Merci ! Voilà ce qu'en dit Arte-tv.com c'est à l'air vraiment pas mal , à confirmer Angoisse norvégienne Ce thriller psychologique confirme le talent du Norvégien Pål Sletaune, qui s'est distingué dès ses débuts avec Junk mail (Prix de la Semaine de la critique à Cannes en 1997). Son troisième film, très soigné, est servi par des acteurs convaincants et par une bande son dont les silences sont aussi angoissants que les stridences. Le scénario "a été écrit comme un huis clos pour quatre personnages", explique le réalisateur. "Il était essentiel d'imaginer d'emblée un espace très visuel. (...) Nous voulions créer un monde, pas seulement une scène de théâtre." L'appartement dans lequel se déroule le film évoque celui de Rosemary's baby et Pål Sletaune, un peu à la manière de Polanski, donne l'impression au spectateur d'être enfermé. Un talent qui lui vaut d'être considéré par le magazine Variety comme "l'un des dix cinéastes les plus prometteurs" du moment. + d'info http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=629750,day=3,week=48,year=2006.html
  11. Eh oui si le film de De Palma n'est pas sans défauts il m'aura coinvaincu de lire Ellroy. Cela peut paraître un peu consensuel de s'interesser à un auteur grace à un film mais je ne me suis pas toute de suite attaqué au Dahlia par son premier roman (j'ai entrepris de tout lire chronologiquement). Bref...tout ça pour dire que je viens de terminer et c'est excellent. Son écriture est percutante et après l'avoir terminer (hier) j'ai eu les personnages dans ma tête durant toute la journée (aujourd'hui). Ce que j'essaye de dire c'est que Ellroy arrive à créer des personnages plus vraie que nature (surement du au fait que l'on sait ou que l'on connait les éléments autobio d'Ellroy dans ses personnages)... et le lecteur a l'impression d'être le coequipier du détective Fritz Brown... J'ai refermé le bouquin heureux de découvrir un auteur (passionant) un peu tard et triste de laisser un personnage terriblement attachant.
  12. Interview de Darren Aronofsky sur dvdrama par Romain "God" Le Vern http://www.dvdrama.com/news.php?17779&page=4
  13. Florent

    [Neo Publishing]

    alias Liens d'amour et de sang. Le design est assez sobre pour un film que j'attends impatiemment sortie prévue le 22 janvier
  14. Enfin vu et c'est magnifique. Chaque plan regeorge d'une idée scénaristique, visuelle ou vestimentaire. Durant tout le film j'ai été estomaqué par la réalisation de Miike. C'est fabuleux de bout en bout. Beaucoup de choses ont été dites sur le film donc je ne m'attarderai pas sur le contenu. Mais les scènes de tortures sont incroyables... en fait le film est incroyable. Le personnage de Ichi m'a fait penser d'une certaine manière au personnage central de Memento. Sans mémoire celui-ci se fait manipuler par autrui ou par un environnement qui "l'oblige" à réagir d'une manière ou d'une autre. La fin est d'une beauté morbide. C'est seulement mon deuxième Miike (après Audition que j'ai beaucoup aimé) et alors que j'hésitais à acquérir le coffret Asian Star avec trois films de Miike, je vais m'empressai de l'acheter pour continuer à découvrir l'un des plus importants cinéastes Japonais de ces dernières années. Le coffret Kubik est très beau, je n'ai pas encore vu les bonus quant à l'image du film celle-ci est granuleuse, parfois sombre mais d'une manière général le film se suit sans problème. Je crois que le grain de l'image est une volonté de Miike, non ? Voilà 2h de bonheur, un film qui mérite plusieurs visions pour comprendre tous les méandres scénaristiques et apprécier aussi bien la réalisation de Miike que son merveilleux montage.
  15. CHEF D'OEUVRE ! A vrai dire je l'ai pas vu, juste la bande annonce et depuis je suis complétement . J'ai cherché sur le forum et pas un message, pas un thread sur ce film... un film qui déchire (surement) l'anus WONKLEY je suis persuadé que tu vas aimé Allocine indique qu'il est sortit le 6 janvier 2006, bordel mais qu'est ce je faisais pour louper cette (future) bombe Au plus chaud de l'été 78, le disco est partout, et Xavier "X" Smith est sans conteste le plus doué des patineurs du Roller Rink du sud de Chicago. Au milieu de ses amis, X trouve l'équilibre et la reconnaissance qu'il est loin d'avoir chez lui. Lorsque l'établissement ferme, X et les siens n'ont plus d'autre choix que d'aller au Roller Rink de Sweetwater, au nord. Là-bas, tout est plus beau, les jeunes sont plus riches... et Curtis règne en maître. Pour avoir une chance de se faire une place au soleil, X et les siens vont devoir surmonter les préjugés et montrer de quoi ils sont vraiment capables. La compétition annuelle approche et pour X, il n'est pas seulement question de gagner un trophée... Bon celle là elle pique les yeux mais que tout cela me donne envie écouter ces morceaux trouvé sur Youtube à priori c'est dans le film surement pas avec la même musique dans tous les cas c'est excellent http://www.youtube.com/watch?v=YOqeYWKB0wY la bande annonce http://www.allocine.fr/webtv/acvision.asp?nopub=1&cvid=18406117&emission=&player=ASF&debit=HD LA MUSIQUE EST MONSTRUEUSE ! COUREZ DANS VOTRE VIDEOCLUB ! YEAHHHHHHHHHHHH BABBBBY !!!! BOUNCE !!!!!!!
  16. En trance !!! je suis en Trance !!!! dvdrama par l'intermédiaire du site Aintitcool dévoile la version director's cut Le site américain aintitcool.com a réussi à mettre la main sur cette version director's cut avant tout le monde et a pu en dévoiler quelques secrets. De prime abord, il semblerait que les changements ne sont pas énormes, Michael Mann ayant privilégié un approfondissement des relations entre les personnages principaux (les acteurs secondaires comme Justin Theroux restant aussi absents que dans la version salles). Les principaux changements sont donc : L'ouverture du film : si dans le version vue au cinéma, l'entrée dans le film se montrait abrupte au possible, choquant quelques spectateurs mais passant pour une audace de montage assez géniale chez les autres, celle de la director's cut est différente. Le film s'ouvre dorénavant sur une course en bateau, qui, selon les dires de ceux qui l'ont vu, reprend l'esprit de la série TV, avant de ré-enchaîner sur la boîte de nuit. Les scènes à la Havane : ceux qui reprochaient leurs longueurs à ces scènes risquent d'être déçus d'apprendre que l'escapade de Colin Farrell et Gong Li à Cuba l'est encore plus. Mais les premières impressions rapporteraient qu'elles sont beaucoup plus intéressantes. La rencontre avec Montoya : Suivant la scène où Crockett et Tubbs rencontrent le dirigeant du cartel dans une voiture en plein milieu d'une zone où les portables ne captent pas, une nouvelle scène fait son apparition. Tubbs (Jamie Foxx) passe un coup de film à Trudy (Naomie Harris) et se rend compte que le cartel connaît d'ores et déjà l'identité de sa copine et peut faire pression dessus. Ce qui ne manquera pas d'arriver comme le prouve le montage au cinéma. (Spoiler) Colin Farrell et Gong Li : Là encore, leur relation tumultueuse serait prolongée, puisque la fameuse scène surnommée "Who are you ?" où Gong Li découvre la véritable identité de Colin Farrell serait bien plus longue, laissant l'actrice exprimer encore plus son personnage et sa tristesse. D'autres rajouts sont normalement encore au rendez-vous, que aintitcool ne précise pour le moment pas, oubliant aussi les 1-2 minutes que Michael Mann aurait supprimé. Tous les détails seront bientôt dans notre comparatif version courte/version longue... source : http://www.dvdrama.com/news.php?17762&page=1
  17. Florent

    Rambo - Ted Kotcheff (1982)

    est-il besoin de le redire? bah pour les vieux du forum qui font la sourde oreille ou ceux qui ont Alzheimer j'embrasse tous mes amis qui se souviendront pas de moi et un grand merci à Steb pour toutes ses vidéos et notamment le trailer de... Rambo j'ai échappé de peu au hors sujet ouf le profil de Steb sur Youtube http://www.youtube.com/profile?user=stephane29 et le trailer de Rambo bOCVsfIotUc ahhh!!! la musique de Hollywood Vidéo RIP la vhs
  18. Yep tout à fait d'accord le seul film qui m'a donné autant de plaisir, je veux dire de peur c'est The Descent. J'ai oublié de dire que la musique de Lalo Schifrin participe grandement à ce sentiment de peur.
  19. LA TROUILLLE !!! Sérieusement peu de film m'on procuré un sentiment de terreur aussi palpable. La simplicité des effets de la première partie est angoissante et fonctionne à merveille. Je n'ai pas encore vu le premier épisode mais là j'en ai très envie. Comme Trepanator j'aurai aimé que les 1h30 du métrage s'attache à étudier la famille et le basculement dans l'horreur pour se conclure sur le massacre. Des scènes sont GLOUPS! L’athomosphère est tellement poisseuse et oppressante que lorsque la petite fille met un sac plastique sur son petit frère on craint le pire... Le deuxième acte est plus faible car plus classique pour autant j'ai bien aimé sauf que j'espérer que le prêtre se fasse sauter la cervelle...même pas La réussite du film réside pour moi justement par la volonté de Damiani à dépeindre avant tout le malaise familiale pour tomber dans l'horreur. Le film arrive bien (du moins chez moi) à créer une tension rien qu'avec des effets simples la peur du noir, des bruits dans l'escalier,...etc je pense que cela est purement subjectif et que cela ne marche pas pour tout le monde mais perso quand j'étais petit (c'est-à-dire y a deux mois ) j'avais une peur phobique du noir et j'avais rarement vu un film qui me fasse cet effet en recréant cette peur. Je conseil vivement de le regarder assez tard pour bien s’imprégner de l’atmosphère. Le seul point négatif est la cassette Thorn EMI qui ne respecte pas le format (Cinémascope ?) avec un format tout bâtard puisque l’on voit en bas une fine bande noire mais pas en haut, bref je sais pas ce que c’est mais c’est entre le plein cadre et le je ne sais pas quoi.
  20. Non pas du tout ce sera le visuel pour l'édition single je crois, j'ai oublié la seconde page de la news et malheureusement je viens de comprendre que la collector c'est la deuxième images hideuse
  21. Florent

    [BL Films]

    Apparement Survivance (version BL, Bach je comprend plus rien moi ) sera le cadeau de Noël du Mad de Décembre, Youpi !
  22. Florent

    Paprika - Satoshi Kon (2006)

    euh... te vexe pas Allan mais c'est écrit juste au dessus enfin bref voilà c'était l'intervention inutile de ma part... bon.... voilà faut que j'y aille
  23. Florent

    Saw 3 - Darren Lynn Bousman (2006)

    D'accord avec le chef, The Prestige est LE film de (du début) Novembre mais il sera surement détrôné par The Host quoi mon avis on s'en cogne
  24. J'en connais un qui va être aux anges...hein Haribo Les nouveaux visuels dispo sur dvdrama AVANT APRES
  25. Brandon (Brandon Lee) est jeté en prison à la suite de la mort du superintendant de police. C'est Michaël, qu'il considérait comme son meilleur ami qui l'a piegé pour lui prendre son amie May. Durant sa captivité, Brandon devra supporter tortures et humiliations ( ouaih enfin c'est pas bien méchant non plus) en ruminant sa vengeance... L'aura qui entoure ce film est assez conséquent et l'interview carrière de Yu dans Mad m'avait donné envie de découvrir ce film considérait par certains comme un petit bijou... Pendant une heure je suis resté éveillé devant le film avec un soupçon d'ennui devant la mise en place de l'histoire, des protagonistes et du drame de Brandon. Ronny Yu réalise une honnête série B d'action, bien ficélé mais sans réel génie... j'attendais avec impatience un miracle quelque chose pour me sortir d'une torpeur et d'un ennui de plus en plus grand... ....ET LE MIRACLE EST ARRIVE ! La dernière demi-heure est excellente, entre des cascades sympa(l'homme abbatue qui glisse sur la rampe , des fusils et des armes en veux-tu en voilà et des prises de vue Les 30 dernières minutes sauve à elles seule l'intégral du film. D'une production fort agréable, L'héritier de La violence est devenue par un final barbare (SPOILER la mort de May SPOILER) violent et sanglant, le bijou tant attendu.
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