Florent

est ce que quelqu'un, Steb peut être, peut me dire si le coffret suivant contient Devil's en version collector (2dvd) et La maison version prestige (1dvd) car l'info de Jerry precise 2dvd et certain site internet le vendent comme si il y en avait trois ? Merci pour les infos

ah oui j'avais une question dvd vu sur un dvd offert avec un journal en Iralnde VO only pas de menu mais une qualité assez bonne voire très bonne. quelqu'un pourrait me faire un topo sur les éditions sorties et quel est le format original du film car sur mon dvd c'est letterbox je crois Merci

Non franchement je te comprend pas dire que les films de Tarantino sont pas terribles et apprécier ce film, là tu m'épates Dragonball ! Certes il y a des choses sympatiques dans ce (petit) film. Comme tu l'as très justement dit dans ta review l'aspect rural est bien angoissant et les deux bambins transgéniques font froid dans le dos mais passez ça, pas un seul moment d'effroi, pas une scène digne d'un film d'horreur. Est-ce qu'il l'est après tout, ce film fonctionne avant tout sur l'atmosphère et cela marche par moment. cela me fait rire tous les gens qui conspuent les films d'horreurs asiatiques mais personnellement en plus d'être très souvent bien réalisé ceux-ci offrent d'excellente sueur froide à défauts de grande histoires ce qui n'est pas le cas du film de Kiersch. Children of the corn me fait penser à ces petits films des années 60, les doubles programmes,...etc le film est déjà suranné mais à son charme. La musique est sympa mais le thème principal est trop utilisé, et on a l'impression d'entendre un seul morceau durant tout le métrage. à noter la presence d'un second couteaux que j'apprecie énormement en la personne de R.G. Armstrong (Evilspeak, Course contre l'enfer, Pat Garret & Billy le kid, Major Dundee,...bref la classe).

voilà merci Tom je n'ai rien d'autre à dire chacun ses gouts musicaux et je le redis excellent bo comme pour tous les films de Tarantino la sélection est parfaite et celle de Kill Bill ne déroge pas à la règle !

je suis entrain d'écouter la bo de Death Proof et encore une fois le cinéaste/dj nous livre une petite sélection impeccable. Un pur plaisir qui laisse présager un film de qualité.

en gros pour la vf il te faut et pour les bonus il te faut cela voilà je peux me tromper mais sinon consulte les tests dvd dispo en ligne pour plus d'info

Excellent l'épisode 20!!! mais ça tout le monde le savait j'ai rien compris enfin si un ptit peu mais la pour le coup il y a trop d'info pour mon ptit cerveau qui carbure comme un fou alors Joe moi je l'ai vu Jacob, il a même une cicatrice on dirait...mais bordel Locke personne n'en parles merde moi j'ai pas envie SPOILER qui meurt Bref Lost ça fouette le cul grave qui à déjà vu le 21, JE VEUX DES INFOS bordel je ne plus attendre!!!!

Comment, en 1988, une ville texane cristallise ses espoirs de s'en sortir sur son équipe de football, les Permian High Panthers. L'entraîneur Gary Gaines va pousser cette formation sportive à donner le meilleur de soi-même. Acheté neuf pour 4,99€ dans un superbe boîtier jaune fluo du plus bel effet...j'avais lu il me semble une bonne critique dvd dans un Mad par Fausto Fasulo et je me suis laissé tenté par la chose. Le long métrage de Berg s’attache à nous montrer la tension et la pression qui règne autour de l’entraîneur (Billy Bob Thornton). Cela ne se limite pas à la population mais aussi aux médias locaux qui, dès la fin du match, commentent les moindres faits de la rencontre, discutent des choix tactiques de l’entraîneur. Ceci parait hallucinant mais tellement vrai en Europe pour le foot. Mais alors quand Europe on peut se dire que cela se limite à des « fanatiques » ou à des supporters, là même les mamies connaissent tactiques et combinaisons. Dès le début, je me suis dit : "bordel Peter Berg a mangé Tony Scott et Oliver Stone!" Les premières minutes sont tout simplement formidable, peut être un peu trop "clipesque" mais cela passe facilement. La photographie est très jolie jaune/sépia qui donne au film son caché "Texan" et permet de vieillir le film. L'histoire (vraie) est très simple mais révélateur des complexités d'un pays. Où seul le sport permet au plus démunie d’espérer une vie meilleure. Friday Night Lights montre dans un premier temps comment le destin peut faire basculer une vie puis il suit l’ascension d’une « petite » équipe de foot américain jusqu’en finale Le film est un « teen movies » dans lequel on suit le parcours de jeunes garçons qui vont devenir des hommes à travers des matchs qui sont autant des rites initiatiques que des épreuves physiques. Et quelles épreuves ! Le montage et la réalisation ne lésinent pas sur les effets et certains chocs sont très bien retranscrits à l'écran. Le film devient plus politique à partir de la finale et les tensions qui règnent entre les blancs et les noirs se fait déjà plus ressentir. Malgré tout, cela ne va très loin. Je serai curieux de lire livre (écrit par le cousin de Peter Berg) dont est tiré le scénario pour savoir si oui ou non l'aspect racial est plus explicite et mieux développé. Les enjeux financiers sont bien présents mais pas très développé. Nous sommes sûrement encore à un niveaux ou l’argent ne « pourri » pas tout. Ce qui m’a interpellé c’est le parallèle que l’on peut faire entre le foot et la religion. A vrai dire qu’il s’agisse de foot américain ou de foot, les symboles sont les même, des codes sont à respectés, des rites et des actes sont nécessaires pour être un bon paroissien. L’entraîneur prend la figure de berger ou gourou pour emmener ses troupes au paradis. Le film ne s’engage pas sur ce terrain mais les prières qui sont effectués semblent plus être du ressort d’un trait caractéristique de l’état, le Texas, que d’une volonté de faire ce rapprochement. Bon j’étais un peu déçu à cette première vision surtout quand on lit les critiques sur la jaquette « meilleur film de sport jamais filmé »,… j’aimerai bien le voir sur grand écran car ça doit bien envoyé…mais je vais lui laisser une seconde chance car les personnages sont attachants et c’est vraiment très bien filmé. Le film reste un bon divertissement qui certes ne s'intéresse pas aux mêmes choses que dans L'enfer du Dimanche de Stone mais montre l'engouement pour ne pas dire la frénésie d'une ville pour son équipe de foot et des ados qui deviennent homme non pas par la victoire mais par la défaite. Vivement recommandé.

Philadelphia ou le film qui noue la gorge, qui retourne l’estomac et qui sales vos joues tellement il est puissant émotionnellement. Comme beaucoup de film qui me font pleurer, Philadelphia est une œuvre que j’ai très rarement revu en fait je crois que je ne l’ai vu que 2 fois. Pas assez sûrement pour comprendre toutes les subtilitées de l’œuvre de Demme mais sans aucun doute assez pour parler de l’émotion qui prend aux tripes de la première à la dernière minute…et comme tous les grands films, celui-ci vous suit longtemps après… En ce qui me concerne j’appréhendai cette nouvelle vision. Est-ce que j’allais être toujours touché par l’histoire, par les acteurs ? Est-ce que l’émotion allait être la même ? Et est-ce que j’allais sortir du film en étant un peu plus changé ? La réponse est : OUI ! Je ne suis pas persuadé (mais il y a de forte chance que je me trompe, je ne connais pas assez son œuvre pour juger) que Jonathan Demme soit un cinéaste ou un auteur comme peuvent le concevoir Les Cahiers du Cinéma mais il est assurément un grand metteur en scène. La construction du film est remarquable et les divers choix de mise en scène sont souvent très juste et permettent l’implication émotionnel. Il y a une mise en abyme entre la maladie et l’évolution de l’affaire devant le tribunal. Ainsi on se rend très vite compte que les dates qui jalonnent le film ne sont pas seulement là pour marquer les étapes de l’affaire mais à la manière d’un compte à rebours indique l’issue tragique de la maladie d’Andrew. Un de mes moments préférés est la séquence ou le personnage de Tom Hanks fait écouter à Denzel Washington son morceau préféré d’opéra, la séquence bascule à la limite du fantastique…et encore une fois quelle émotion ! Il y a une sincérité qui se dégage du film qui est incroyable. J’imagine que certains pourront trouver le film trop lacrymal mais pour une fois que cela ne semble pas factice et superficiel. Tom Hanks est juste merveilleux, Denzel parfait, le casting en entier est remarquable jusque dans les seconds rôles et l’apparition de Roger Corman est très sympa. Un clin d'oeil de son ancien employé. La fin (intelligente) se termine non pas sur l’enterrement mais après… le film se conclue sur la séquence « film de famille tourné en super 8 » sur une chanson à faire chialer. Le générique défile et faut se ressaisir car la vie continue… Bref un très grand moment de cinéma, un de ceux qui vous fait aimer la vie un peu plus.

non sortie chez MGM dans leur collection "on brade les grands films dans des éditions merdiques" bibi l'a et bibi est content, bibi aime le film....mais bibi peut pas grand chose pour toi malheureusement

Wouah t'y vas fort là ! Je suis assez d'accord avec Riton pour le coup. Y'a pas de quoi crier au chef d'oeuvre même si le film est sympa et a des qualités. je les avaient déjà devant la bande annonce mais sache que je ne considère pas 300 comme un chef d'oeuvre

apparament le troisième volet Hideo Gosha est repoussé au 10 juin

Ah non. je serais curieux de savoir ce que tu n'as pas pas aimer dans le film de Mann?

Ayé j’ai enfin vu LE film de ce début d’année 2007. Je sais que j’arrive après la bataille (ah ahh quelle premiere blague…ne partez pas j’ai encore plein de chose à raconter). Je ne sais pas par quoi commencer, j’ai envie de répondre à toutes les idio.. ;enfin à tous les commentaires que j’ai pu lire (blague à part je tiens à dire que je respectes touts les avis même les plus négative ) Pour l’anecdote personnelle, 300 est mon premier film en vo dans une salle étrangère. Voilà ça pas trop d’intérêt je sais mais je voulais partager cet événement avec vous. Première chose à dire : j’avais les larmes aux yeux dès le premier plan et ceux à de nombreuses reprises. Le film possède des qualités plastiques incroyables et chaque plans et aussi beau qu’une peinture. Les effets spéciaux sont très bon je trouve et à l’exception de quelque plan (notamment lorsqu’ils partent faire la guerre) qui font titiller, le film est très fluide. La musique est également très bonne même si je n’aime pas trop à l’instar d’Igor Sandman les relents de métal sur certaine scènes mais cela passe très bien. a ceux qui ont pensé que les personnages était « sans âmes » je répondrai que la réponse se trouve dans le film…Quelle est votre profession ? Les spartes étaient des MACHINES DE GUERRE. Le film montre très bien que leur vie était consacrée à cela… Mais il ne faut pas réduire le film à cela car sans conteste 300 est un plaidoyer pour la liberté, un grand message pour se souvenir pourquoi on doit se battre dans la vie et se souvenir de ceux qui se sont battues pour elle : LA LIBERTE Bordel ils meurent certes pour une question d’honneur mais également parce qu’ils ne veulent pas être esclave d’un autre peuple. et ceux qui ont trouvé le scénario très mince quand c'est Michael Mann qui fait 2h sur sur un tueur et un chauffeur de taxi tout le monde applaudi mais quand c'est 300 beaux mec qui foute la branlé à une armée MULTI ETHNIQUE là on dit c'est un peu creu...je sais je fais de la mauvaise foi car les deux films ne sont pas comparables mais je voulais le dire comme même Certains on vu une parabole de la guerre en Irak…mais tous les conflits et les guerres peuvent servir de comparatifs. Sur Devildead j’avais pu lire un commentaire sur le mur fait de cadavres rappelant les charniers de la seconde guerre mondiale…L’image a des similitudes mais elle fait plus appelle à notre mémoire collective qu’à une réelle (j’espère) tentative d’apologie d’idéologie. J’y vois plus une stratégie militaire qu’autre chose. Je suis le premier à penser (et à croire) que les films traitent de manière conscient ou non de l’actualité mais est-ce qu’il faut à chaque fois faire des raccourcis. J’imagine bien que certains producteurs et financiers ont du y voir un excellent véhicule patriotique et 300 l’est d’une certain manière. Mais delà à dire que 300 c’est de la merde je trouve cela trop facile et surtout je me dis que le critique ou les critiques n’ont jamais du faire un film de leur vie car il sauraient le temps, l’effort et l’argent qu'il faut pour faire une oeuvre bref un investissement incroyable réduit à néant en trois lignes. Mais je sais que cela n’excuse pas tout… « L’histoire, elle a bon dos » Il serait facile de balayer tous ces commentaires par l’adage « l’histoire est un éternel recommencement » mais le film dans sa conception témoigne de cela. La relation père / fils montre qu’il y aura une relève tant qu’il aura de la vie. La relation de Leonidas avec sa femme montre par de simples gestes d’amour, de sexe, cela n’a également pas changé. Ce que j’essaye de dire c’est qu’au fond on voit le film à travers le prisme de notre époque…c’est très bien et c’est très intéressant mais il faut replacer l’histoire dans son contexte pour comprendre que les connexions avec notre actualité n’ont lieu d’être que pour comprendre les raisons de sa production en 2006 et non à un autre moment. Après je conçois que l’on peut ou non adhérer au film pour différents motifs. Mais je suis sur que pour bibi 300 va plus me marquer que le 13ième guerrier dont je n’ai plus aucun souvenir et pourtant je sais que je l’aime bien. Voilà pour finir je dirai une phrase d’un prof de fac de droit (pote de Sarko) « La paix c’est l’exception et la guerre, la règle…il y a des moments de paix entre deux guerres » En résumé : 300 est la meilleure adaptation de comics à ce jour (avec le Punisher de Dolf bien sur) Ah et puis pour l’eugénisme sachez que les scientologues font également de la sélection et on pourrait parler des asiatiques avec leur règle de l’enfant unique (de préférence de sexe masculin) Et puis si je me souviens bien dans Gattaca il y a bien de l’eugenisme…ah mais on me dit que c’est un film d’anticipation…ah d’accord SPARTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAa

JOYEUX ANNIVERSAIRE LE FORUM!!! Je ne sais qui c'est Forum mais 4 ans c'est un peu trop jeune pour moi par contre si c'est sa soeur sur la vidéo je veux bien m'en occuper un moment j’ai cru qu’elle allait s’assomer avec un de ses seins Sinon pour faire plaisir à allan la vidéo de DANCE de Justice un titre que j'écoute depuis 1 mois (vas sur Fluokids l'ami Theo un blog ou tu découvres pleins de chanson acidulé qui font piquer la langue des jeunes demoiselles...on en parle avec Leguman sur le thread musique http://www.dailymotion.com/related/3229798/video/x1upou_justice-dance/1

MOVIEREV TU AS VU CE (NOUVEAU?) CLIP DE JESSICA SIMPSON? DIRECTOR : BRETT RATNER LE CLIP EST ELLE A TOUT LE TEMPS LA BOUCHE OUVERTE ET LECHE DES TRUCS J'AIMERAI BIEN ETRE UN TRUC http://www.youtube.com/watch?v=3GfSFk3oTY0

Oui mais d un côté si la série regagne en intérêt c est bien parce qu elle commence à esquisser quelques réponses. Elle est obligée d aller dans le sens d une conclusion dévoilée pour continuer de tenir le spectateur en haleine. Après rien ne les empêche de laisser un petit coin de mystère. je suis entierement d'accord heureusement qu'on a quelque réponse mais comme tu le dis j'espere que certaines choses resteront sans réponse un peu comme dans la série le Prisonnier (enfin je crois n'ayant jamais la série mais que des aticles )

c'est bien ce qu'il me semblait... merci Leguman Le personnage de Locke est sans conteste l'un des plus interessant je trouve, le coté survival qu il apporte au show est assez jouissif...bref c'est vraiment un psychopathe j'espere qu'il fait cela non pas seulement pour savoir pourquoi il remarche mais également pourquoi ils sont tous la et dans quel but... enfin d'un côté je preferais peu de réponse...je sais que cela va choqué peut etre quelqu un d'entre vous et qu'ils vont se demander l'interet de suivre une série pendant 3, 4, 5 ans sans connaitre les pourquoi du comment mais des fois ce qui marche pour un film peut peut-être fonctionner pour une série WHY NOT?

bon alors apparament j'ai vu l'épisode 19 celui ou Locke oblige Sawyer a ...SPOILERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRrr tuer son père bref comme la dit Joe un épisode de plus qui claque les fesses et la bouche... par contre petite question sur la fin SPOIIIIIIIIIIIILLLLEEEERRRRRR lorsque John porte le cadavre de son père c'est pour le ramener auprès des autres pour qu'ils soient de nouveau ami-ami ou tout simplement il va l'enterrer? vivement que Juliet se fasse démasquer... Jack tourner en ridicule... Fin de spoiler LA SUIIIIIIIIIIIIIIIIIIITTTTTTTTTTTEEEEEEEE !!!

Yes mon deuxième Charognard J'en réserve un MP

bah pouquoi?

Roooohhhh je pense pas que le film soit comprable mais si cela te fais plaisir (à noter Dragonball n'aime pas Tarantino et Miami Vice voire Mann ) Sinon revu la moitié hier soir en vo et je dois avouer que cette seconde vision (la première date quand j’avais 16-17 ans) j’ai été frappé par les ressemblances entre la fin du film et ceux de Chang Chech (le Justicier de Shanghai [1972]) et Sam Peckinpah (La Horde Sauvage [1969]). J’avais lu que le film de Chech c’était inspiré de Scarface mais n’ayant pas vu le film original de Hawks je ne sais dans quelle mesure l’influence est réelle mais on pourrait constater que le scénario de Stone (1983) c’est directement inspiré des œuvres précédemment citées. Enfin j’en sais rien mais les ressemblances sont (je trouve) très amusantes à relever. Le même nihilisme, la même violence qui explose et qui finit dans un bain de sang. Le personnage de Ma Yung-chen dans le film de Chech qui continue à tuer des assaillants alors qu’il a une hache dans le bide comme Tony Montana qui continue tel un possédé à tirer bien longtemps après avoir reçu 5 balles. Bref cela n’apporte rien au plaisir de voir le film de Brian De Palma mais c’est intéressant de constater entre trois cinéastes différents, de provenance différentes des similitudes qui sont (je pense) des sentiments liés à une époque. Malgré une trop grosse empruntes des années 80 (ceci n’est pas obligatoirement un point négatif cela va sans dire) sur le film, Scarface a un pouvoir hypnotique comme seul les grands films en possèdent. L’accent de Pacino en anglais est IN-COM-PRE-HEN-SIB-LE ! (j’exagère un peu je sais) Mais le personnage est tellement antipathique (enfin c’est mon avis, Oliver Stone Touch) qu’il en devient attendrissant (surtout dans sa relation incestueuse avec sa sœur). Le sentiment final est comme même sans appel il a eu ce qu’il méritait… trop gourmand, trop rêveur mais surtout trop malheureux et je pense que l’aspect familial donne beaucoup de réponse et construit le personnage d’un enfant ayant avant tout besoin d’amour. La réalisation de De Palma est éblouissante, toujours en mouvement, on ne compte plus les scènes anthologiques. Un classique intemporel même si il a tendance à vieillir, il continue à garder un charme indéfinissable entre exubérance visuelle et scénario splendide et qui marche à chaque fois (l’homme ou la femme qui vient de la rue et qui veut réussir à s’en sortir pas tous les moyens). Et perso J’ADORE LA B.O. MAGIQUE !!!!

Ah, tiens ? A quel moment ? (du Deuxième Souffle) vers la fin du film ou le grand personnage avec un chapeau (désolé je ne me souviens plus du nom du perso) va dans un petit appartement dans le quel aura lieu une rencontre entre Ventura et d'autre malfrats. Et pendant trois minutes l'homme au chapeau cherche un bon endroit ou placer une arme et fait à trois reprise le geste de braquer comme dans Jackie Brown et sache que je ne l'ai pas inventé du à une trop grande quantité d'alcool ou de produit illicite c'est Quentin qui le revelé dans une interview

tout a fait d'accord pour le reste par contre je suis obligé de te dire non pour la phrase au dessus la séquence ou Jackie se trouve dans le bureau de Rob Forster en attendant la venue d'Ordell et qu'elle manipule une arme et directement inspiré du deuxième soufle de Melville mais à part ça aucune autre séquence ou plan ne sont cités

Enfin des nouveautés !!!!! Merci devildead et horreur.com de nous offrir les jaquettes Pour le prix, no lo so amigos