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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    Sandrine Kiberlain

    SAC D'OS RULES !!!!
  2. Florent

    Sandrine Kiberlain

    Facile Carla elle au moins elle est bonne
  3. ah mais c'est vraiment pas mal du tout ! alors certains diront pffff! encore un film de fantome et comme le dit Nicklezob c'est le cas. Et franchement comme le Monsieur, les scènes de terreur ont bien marché sur moi. Mais après soit on aime et ça marche soit on part du principe que c'est de la merde et là ça marchera pas enfin tout ça pour dire que le retournement dont parle Nick est classique et me fait terriblement chier, j'aurai prefer encore une demi heure de refflet dans le miroir, d'apparition sous le lit, de bruit de pas,... Mention spéciale pour la scène de respiration. Très jolie scène ou non seulement la peur s'installe mais qui donne à cette scène un étrange mélange de souvenir et de peur. La musique est sublime, tout en douceur comme des berceuse. Le générique est sympa, stylé et original pour un film à l'imagerie sombre. Voilà à plusieurs reprise mon corps c'est électrisé, grrrr j'en redemande
  4. Quelle transformation subite ! oh merde il est ou Allan? au moins je suis tranquille quand il est là
  5. Florent

    Achipé achopé

    Une petite tuerie car c'est bientôt le week end ! Yeah !!! Commodores - Lady et une petite video sur un homme de l'ombre dans le hiphop business The man behind
  6. Vu aujourd'hui Autant le dire tout de suite, je suis déçue, triste, peut être même consterné. Et pourtant Dieu sait que j’aurais aimé adorer le film de Rob Zombie. Faut dire que j’apprécie le bonhomme. J’aime bien ce concept d’un artiste musicale qui touche à autre domaine en apportant son univers, sa patte, car qu’on le veuille ou non Rob Zombie est un véritable artiste, un faiseur qui créer film après film un univers d’une cohérence rare dans le flux des sorties cinéma actuelle. Pour autant (le remake d’?) Halloween est une déception. Non pas un échec mais il y a quelque chose qui cloche dans l’ambiance, dans le rythme comme des grains de sables d’une « formule » pourtant parfaite pour Devil’s Reject. Je ne sais pas si quelque chose est cassé mais j’attends son prochain film pour être soulagé ou encore plus inquiet. Le film ne fait jamais peur, les personnages sont too much et pourtant ils sont dans la droite lignée de ses précédents films. Par contre le casting est impeccable, un pur plaisir, des choix qui font penser à Tarantino, et la musique vient davantage constater cette filiation. Pour moi, Rob Zombie, c’est un peu le frère caché mutant triso de Tarantino version horrifique et déglingué qui n’hésite pas à nous montrer ce qu’il aime dans chaque strate du métrage (musique, acteurs, hommage au films,…). En l’état actuel, je n’apprécie guère ce film mais avec les montages, les director’s cut je ne désespère pas de voir ce qui aurait pu être un film génial car la première bobine est assez intéressante… Sinon LA VF détruit tout, horrible doublage, une honte !
  7. Florent

    The Kingdom - Peter Berg (2007)

    voilà un homme qui a du gout
  8. Florent

    The Kingdom - Peter Berg (2007)

    Non par Michael Mann
  9. Florent

    A vif - Neil Jordan (2007)

    SPECIALE DEDICASSE A HARIBO
  10. Florent

    Dog Bite Dog (2006) - Soi Cheang

    Bon tout le monde parle de ce film ! mais réellement ça vaut quoi ? la bande annonce dispo ici est sympa : violente, violente et violente KIKAVU ? critique du dvd surdvdrama
  11. Florent

    Achipé achopé

    LA NOUVELLE SENSATION DU HIP HOP US INDE COOL KIDS
  12. Florent

    A vif - Neil Jordan (2007)

    Je rêves ou tu as édité ton message Commençons par le premier point que tu me reproches, oui tout a été déjà dit au cinéma et c'est bien la manière dont on aborde le sujet, je devrais même ajouter que c’est la mise en scène qui est primordiale... je t’avoue même que si le film avait un choc visuel j’aurai accordé plus de crédit. ....et pour le coup qu'est ce qu'apporte la mise en scène de Jordan ? des effets de manche prévisible, des situations grotesques (elle laisse le chien a la fin, et ce dernier tellement intelligent la retrouve sur le lieux de l'agression ou là que c'est beau et puis un bon point pour le berger allemand quelle bête ! ce dernier se doutait sûrement que sa maîtresse irait exorciser ses démons au lieu ou tout a commencé. Ou encore cette scène dans le café avec le miroir, ou la là que c'est bien trouvé ce cache-cache verbal entre les deux personnages, tout en non dit en subtilité, ses mains qui se frôlent, ses regards qui en disent long ou mieux le texto trop romantique comme un SOS "Goodbye » et la vidéo du drame. L'action est trop prévisible et les "écarts" voulant intellectualiser ou plutôt sentimentaliser le propos sont juste barbant. "L'étrangère qui vit en chacun de nous " merci mais cela est connue. En ce qui concerne la musique, à ça tu peux le dire que la musique est discrète, insignifiante serait plus juste. En ce qui concerne les critiques, sans doute as-tu raison pour la moitié d’entre eux. Mais prenons l’exemple dans les Inrocks Bon j’aurai pu prendre Libé ou La Croix Une des choses dont je n’ai pas parlé mais qui m’a interpellé dans le film c’est le traitement de la ville. On ne peut pas nier selon moi que l’environnement social est un facteur majeur dans le destin des hommes et des femmes dans une société. Dans A vif, il ne s’agit ni d’innocent, ni des idiots, je veux dire par là qu’aucune explication n’est donné sur les raisons du comportement des noirs, du pervers, tout juste pour la première vendetta de Jodie on comprend qu’il y a un drame familial sous le meurtre de la caissière. Dans Un justicier dans la ville, Winner s’attachait à dépeindre un New York qui faisait froid dans le dos, comme Ferrara l’a fait pour bon nombre de ses films. Je ne tente pas à déresponsabiliser ces enfoirés mais à comprendre les lacunes de A vif. La ou Kill Bill, autre film de vengeance ayant une femme pour héroïne, réussissait à nous immerger dans un univers (pourtant quasi irréel) tandis qu’A vif n’arrive jamais à offrir plus que des simples exécutions sans sommation. De toute façon Jodie c’est une ridé, toute desséché depuis Panic Room elle a rien fait de potable. Voilà pourtant je suis un gros sentimentaliste et le film n'est pas un navet comme certains le disent
  13. critique ici, ici et là Film incroyable, un délire visuel, scénaristique, il y a 96 milliards d’idées à la minute, c’est inénarrable, inracontable, il y a tellement de chose que j’en ai mal à la tête. Ca part en vrille à chaque instant, c’est fabuleux, c’est terrible, ma tête va exploser, mes yeux sont traumatisés. Peter il te le fo !!!!!
  14. ATTENTION RISQUE DE SPOILER Une agréable surprise. Au début on se dit que l’on va assister à film d’horreur classique et puis déjà quelque plans, notamment ceux prit par Francis, le plus jeune qui offre une version plus réaliste et intimiste du film. Le film joue très intelligemment sur plusieurs tableaux avant la fin, ce qui permet aux spectateurs de na pas réellement savoir de quelle « maladie » sont victimes les Hamiltons Cannibalisme, vampirisme, satanisme ou juste famille dégénéré ? The Hamiltons offre un regard nouveau sur un des plus vieux mythes au cinéma. Un croissement entre les films de Larry Clark, Gus Van Sant, Martin et Soif de Sang. Je trouve que toutes les parties consacrées à Francis sont très intéressantes. Relatant sa vie à travers l’œilleton de sa caméra DV, Francis nous fait découvrir, à l’instar d’un Clark ou d’un Van Sant, la complexité de devenir adulte au sein de sa famille pour le moins atypique. Le design du film est assez sobre et c’est un sacré bon point pour le film. Personnellement les premières images m’ont fait peur (les plans tremblés, floues, etc… les trucs classiques vus dans quantité de productions horrifiques récemment ont le don de m’énerver) mais après le film acquiert une ambiance très classe, très réalistes voire naturalise, et si les « victimes » sont présentes, j’ai l’impression que cela vient juste contenter les fans en attente de sang plus qu’être le moteur du film. Pour ma part le film aurait été une véritable petite bombe si il avait assumé la volonté de faire un drame intimiste autour de la personne de Francis, ce qui est le cas mais malheureusement les personnages secondaires sont bien trop fades et caricaturals pour apporter quelque chose de neuf au genre.
  15. Florent

    A vif - Neil Jordan (2007)

    Vu hier je ne voulais pas aimer ce film et ce fut le cas Une histoire (la vengeance) tellement dites au cinéma que celui-ci n'apporte rien. Une fin ridicule, une mise en scène à gros sabots (ou la la Jodie a du mal à sortir de chez elle et vas-y que je mets ma caméra de manière oblique pour donner l'impression de vertige). La musique est 100% glucose, le film est trop romancé et romanesque. Je voulais quelque chose de plus sec, un truc qui fait mal dans les gencives. Ici, ça fait juste mal au coeur devoir Jodie utiliser son talent dans un petit film insignifiant. La sensibilité ! mon cul ! Si cela se résume à voir une femme imaginer baiser avec son défunt futur mari sur une chanson d'amour, c'est caricatural et pour le coup repoussoir. Voilà un jour je le reverrai sous un autre angle et de meilleure humeur, c’est ma copine qui m’a forcé à voir le film, moi je voulais aller voir Milla
  16. j'ai lu 50% du mag et c pas mal même si la petite rengaine sur Besson me gonfle legèrement. Est ce que la revue ne peut avoir d'existence qu'en s'oppossant à ce type ? Besson dans l'édito, je me dis c'est justifié, cela explique les derniers événements, OK Besson en deuxièmes pages, puis en troisième, etc... J’exagère un peu mais même dans l'article qui défonce Gus Van Sant on parle de Besson en introduction Moi j'aime bien le ligne éditorial, ce côté rentre dedans (même si certaines choses m'ont énervé mais cela a le mérite de faire réfléchir)...mais au bout d'un moment je préfère que l'on parle des choses qui font bander que toujours casser sur les mêmes, je crois qu'on a compris au bout d'un moment. Voilà autant le dire tout de suite si le dvd dans le prochain numéro n'est pas à la hauteur, je ne suis pas certain de reprendre la revue car la maquette est un peu fourre tout et les news sont inutiles
  17. Florent

    La tecktonik (ta mère)

    VOUS PRENEZ TOUS DU LSD OU QUOI!
  18. Découvert hier soir et j'étais emballé du début jusqu'à la fin. Faut dire qu'avant j'avais vu à A vif ça change un peu. Sur un rythme que l'on pourrait qualifier de contemplatif, le film offre un terrible calvaire pour un homme prit au piège d'une machination orchestré par des villageois désireux d'apporter du sang neuf mais surtout des bras pour travailler dans leur village qui se déserte. La mise en scène est magnifique, simple mais apportant son lot de cadrage (justifié !) alambiqué. Le noir et blanc est de toute beauté et la fin est comme je les aime : ATTENTION SPOILER ouverte. FIN DE SPOILER Un film mystérieux et intriguant, sur le quel un souffle érotique parcours la relation entre l’homme et la femme. Les corps sont filmés au plus près quasiment ensabler, les gros plans permettent de voir le grain de la peau des acteurs se mélanger au sable créant au fur et mesure la claustrophobie dans cette petite cabane au fond du trou. Envoûtant, hypnotisant, on adhère ou on déteste (des vieilles à la sortie de la projection à Nice qui criaient « mais que le film est prétentieux !), personnellement j’adore et le coffret Carlotta sera mien c’est une évidence.
  19. faudra quelque chose de plus fort finalement le plus désolant dans le film c'est que foncièrement malgré le manque de moyen évident le film se tient (à l'exception de quelque incohérence) et il aurait juste fallu un peu plus de constance et un montage plus rapide.
  20. Allocine Je vais pouvoir découvrir ce film ce soir à la Cinémathèque de Nice, je suis très impatient. En cherchant des vidéos sur Youtube, j'ai trouvé le film Partie1 Partie2 Partie3 Partie4 Partie5 PAS DE PARTIE 6 Partie7 Partie8 Partie9 Partie10 Partie11 Partie12 Partie13 Partie14 si vous voulez jettez un coup d'oeil dépêchez-vous, ajouté il y a peu les vidéos ne vont surement pas rester longtemps.
  21. Alors la je vous trouve très dur contre ce Cube. Certes le film est un peu dans la redite mais il a le mérite d’amener sa pierre à l’édifice. Le (hyper)cube est un nouveau concept qui intègre des nouvelles questions, certes celles du premier n’ont pas vraiment eu de réponse mais peut importe à vrai dire le charme de ces films c’est d’être un (peu) décontenancé face à eux. Et non le film n’est pas incohérent, le sujet est la physique quantique comme Quantum leap ou Sliders. Quant aux pièges, ils sont différents car ils ne reposent pas sur le même principe puisque le cube étant anime en quatre dimensions, ce concept est en soi le piège ultime. La preuve ATTENTION SPOILER la fin lorsque la psy réapparaît en sortant (du jeu ?) par la trappe on la retrouve dans un bassin d’eau (réalité virtuelle comme dans The Cell ?) il n’y a pas de sortie mais la possibilité d’en sortir par son auto destruction FIN DE SPOILER Bref, beaucoup de questions passionnantes, mise en scène avec talent par un Sekula qui ne réitère pas la claustrophobie du premier mais créer une tension crescendo lié par l’angoissant choc des réalités et de leurs effondrements. Très déçu en ce qui concerne le cannibalisme qui au fond traite d’un véritablement problème que le premier volet n’aborder pas ou pas de cette manière puisque seule la personne déficiente mentalement uriner dans un coin. A aucun moment on se préoccupe de cela, des besoins vitaux et c’est véritablement dommage car l’empathie pour les personnages s’en trouverait accrue. Une saga que je trouve passionnante et je vais incessamment sous peu me faire le zéro qui est actuellement en promo à la FNAC.
  22. Cube est sans conteste une ouvre cinématographique importante. Fort d’un style et d’une réalisation soignée, le film de Vincenzo Natali pose quantité de question (malheureusement il n’y aura pas beaucoup de réponse à celle-ci, du moins dans ce premier volet) qui s’avère être d’ordre différents. Mathématiques, philosophiques et humaines, des thématiques fortes à l’image d’un film qui se veut une grande question ou plutôt une équation de 90 minutes. Un point d’interrogation qui laissera sans doute certains de marbre mais pour ma part plus je vois le film plus je reste interloqué par tant d’ingéniosité et d’intelligence. Que représente le cube ? Est ce un projet militaire ? Politique ? Télévisuel ? Est ce le purgatoire ? Est ce la réalité ou le virtuel ? Sont-ils déjà tous mort ? Est ce un rêve ou un cauchemar ? Le premier volet réserve son lot de piège imaginatif, violent et sanglant. Un parcours du combattant pour aller vers la sortie ? Je vous laisse le soin de découvrir le film si vous n’avez toujours pas découvert ce petit bijou dramatique ? De science fiction ? De fantastique ? Le collector de Metropolitan contient un court métrage, Elevated, qui joue sur les peurs primaires et qui donne son lot de frissons. Une jeune femme prend l’ascenseur. Un homme rentre. Ce dernier vêtu de vêtement abîmé et vétuste commence à respirer de plus en plus fort des râlements qui laissent croire à la jeune femme qu’il pourrait avoir envie de la violer. Puis un troisième homme débarque dans l’ascenseur couvert de sang… On retrouve outre un des acteurs de Cube, quelques fondements thématiques utilisés plus tard, le cloisonnement, la perte de sang froid, la folie,… En plus d’être bien réalisé, ce court métrage est bien flippant car terriblement connecte avec certaines de nos peurs. Il est intéressant de constater que Cube est apparu sur les écrans en 1998, au même moment que Matrix, la série animée Japonaise Serial Experiment Lain et l’explosion d’Internet. Des œuvres indispensables pour comprendre ou tenter de toucher du doigt le concept de réalité virtuelle. Passionnant !
  23. Florent

    Achipé achopé

    je vous en aviez déjà parler il me semble voilà un extrait d'un futur projet de Bishop Lamont, homme de l'ombre d'Aftermath, ghostwriter pour Monsieur Dre et sa clique, ce dernier lui produit ce "petit" son qui sent bon le low ride Bishop Lamont
  24. ah ! je me sens moins seul...j'ai jamais reussi à lire un Tintin en entier, pourtant il y en avait chez mon doc, chez mon dentiste, chez ma psy quand j'étais petit j'avoue par contre que le dessin animé je regardais... avec mon bol de Banania
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