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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    KAT DELUNA !

    OUBLIEZ RIHANNA LA PUTE QUI POMPE ICI ET LA DECOUVREZ UNE NOUVEAUTE QUI SENT LA CHALEUR DE LA REPUBLIQUE DOMINICAINE! SON DUO AVEC OMARION EST UNE TUERIE ! son Myspace JE LA TROUVE BRULANTE JE DIS ATTENTION ! Whine up feat. Elephant Man et LA TUERIE Cut off time
  2. J’ai lu ici et là que ce film de Milius était nauséeux dû à un anticommunisme primaire et qu’à sa sortie, la critique Française étaient tombé sur le film. Et bien pour ma part j’ai trouvé le film vraiment très bon, n’en déplaise à toutes les critiques qui sont sans doute née avec l’utopie du front populaire…car Staline c’est comme même le champion du Monde de l’extermination, hein Le film est cinématographiquement parlant réussi et s’incorpore parfaitement à l’œuvre de Milius. Car dans ce film, Milius ne fait que creuser le même sillon. Comment on édifie des mythes. A ce titre la scène d’ouverture est très parlante après la statue de Roosevelt, on suit le cours d’histoire et alors que le professeur raconte l’histoire de Gengis Kan, il s’aperçoit de l’arrivé des Communistes par les airs et tentant de rentrer en contact avec les militaires il se fait tuer sans sommation. Cette scène traduit la volonté de créer dans un premier temps un parallèle avec la future histoire qu’il va nous compter, c’est-à-dire des jeunes femmes et hommes qui vont devenir des héros, les libérateurs des USA, alors qu’ils n’y étaient pas destiné. Les personnages de Milius ont tous en commun de devenir des « surhommes » dans l’adversité et par la force des choses. Mais aussi de nous dire que Milius fait table rase du passé, et que ces protagonistes vont créer une nouvelle page de l’histoire (et le monument commémoratif à la fin ferme la boucle du processus des légendes). Le plus intéressant dans ce film pour moi, c’est la première fois que l’on suit une guerre sur le sol des Etats-Unis. Le plus souvent les films de guerre se résument à l’armée américaine qui vient casser du Vietnamien, de l’Afghan, des Japonais,… je me doutes bien que dans l’histoire (du cinéma) on doit trouver d’autre traces mais c’est tellement rare de voir ce postulat. Surtout que lorsque Milius s’intéressent à montrer l’endoctrinement des Américains par les communistes à travers un « lavage de cerveau », j’y ai vu par un moyen retord une dénonciation des fondements des USA mais la je doute que cela soit volontaire. Le film n’est pas parfait hélas. Il n’est pas selon moi assez vicieux. A de nombreuses reprises, je pensais voir un traître (le fermier, Powers Boothe pilote d’avion), un lâche (on l’aura en la personne du fils du Maire), un collaborationniste. En ce sens, je trouve le film un tout petit peu manichéen et il ne montre pas assez que dans chaque guerre certains ne font pas toujours le bon choix. Les personnages de Milius, à de rares exceptions, sont tous droits et vertueux (ils ne pensent jamais à baiser les demoiselles qui sont avec eux). Bon y aurait encore beaucoup de chose à dire, mais l’essentiel est là ! L’aube rouge est un bon film de guerre ! NA ! John Milius is GOD
  3. la bande annonce est dispo sur le site d'EUROPA http://www.europacorp.com/
  4. Long after the end of the world, two diplomats must defuse a volatile international dilemma. A post-apocalyptic comedy about friendship and duty. http://www.ambassadorsday.com/ TRAILER
  5. Florent

    Sang Plomb - Alex Orr - 2007

    http://www.bloodcar.com/ QUI C'EST ?
  6. Florent

    The Kingdom - Peter Berg (2007)

    UN FUTUR CHEF D'OEUVRE ! COMME LE GENERIQUE ET LES 9 PREMIERES MINUTES DISPO SUR ALLOCINE ! Les 9 premières minutes de Kingdom
  7. Florent

    [Synapse Films]

    deep ils sont fiables ? si oui je tente, si non je passe mon tour
  8. http://www.mulberrystreetmovie.com/
  9. Florent

    [Synapse Films]

    TOUT LE CATALOGUE DE SYNAPSE EST A PAS CHER SUR DEEPDISCOUNT !!! MEME LES NOUVEAUTES !!! deepdiscount
  10. j'ai la fleme de faire un thread pour le 2...j'attends que Peter le fasse du moins le site web est ouvert http://www.hellboymovie.com/
  11. trailer je suis tout refroidi
  12. Florent

    Knocked Up - Judd Apatow (2007)

    MAGISTRAL, SUBLIME, CHEF D'OEUVRE DE LA COMEDIE je n'ai jamais eu autant le sourire, je n'ai jamais autant rie depuis Waynes World 2 (mais j'étais jeune). C'est intelligent, vulgaire mais pas choquant, il y a 3 milliard de références et de citations... on en ressort tout heureux. J'aurais aimé que le film se poursuive encore et encore, et encore, et encore... Katherine Heigl est juste COMME LE DIT MOVIEREV, C'EST A VOIR ABSOLUMENT ! EDIT : on voit le vagin en plastique de Katherine
  13. Florent

    Bobby - Emilio Estevez (2006)

    oh la belle claque que je me suis prise hier soir à la Cinémathèque de Nice Vraiment un très bon film. Le climax final est excellent, avec ce sentiment que cela doit arriver mais quand... un futur classique ! J'ai pas trop aimé l'interprétation de Stone qui fait des grimaces pour interpreter une coiffeuse et Demi Moore est pas mal. Plein de chouette acteurs et actrices pour film qui se brise à la fin comme les rêves d'une Amérique à jadis perdu dans la corruption, la mafia, les lobbys,...etc mais putain qu'est ce que ça donne des bons films après
  14. Allocine Un joli petit film sur le passage à l’âge adulte de manière brutale. Comment des garçons, des ados et une demoiselle basculent dans le drame. Le film ne prend pas position, il relate les événements, il ne prend jamais partie pour les « bons » ou le « méchant ». Une attitude qui ne soulage pas le spectateur qui reste face à sa propre conscience et à la question : « qu’est ce que j’aurais fait si j’avais été à sa place ? ». Un film juste digne, jamais pathos, une mélancolie se dégage qui prend au ventre, qui vous rend terriblement triste, renforcé par une musique sublime composé par Tomandandy avec d’autres morceaux : The sound of settling par Cab of cutie, Pot kettle black par Wilco, Still the one par Orleans, Tremble par Five point plan, Poison par Lost goals. Les acteurs sont parfaits, crédibles et touchants, ils symbolisent avec beaucoup de retenu tous les enjeux qui se cachent derrière leurs comportements (fierté, questionnement sur leur sexualité,…). Un fait important du film, c’est la quasi absence et l’invisibilité des adultes et des parents. C’est seulement lorsque les choses dépassent les jeunes que ces figures refont leur apparitions. Alors, est ce la faute des parents ? Le film se garde bien de designer des coupables ou des responsables. Mais cela est très frappant lorsqu’on voit le film, les parents ne jouent aucun rôle, aucun modèle à suivre. Bien au contraire, pour un des adolescents, le fait que son père soit homosexuel lui pose problème quant à sa vie au sein de l’école et face à ses amis. Pour un autre, le suicide de son père est un trauma dont le rappel sera à l’origine du passage à l’acte. Un film naturaliste, tourné dans un coin perdu des Etats Unis ou du Canada, j’en sais rien à vrai dire mais un cadre idyllique (bambi qui traverse la rivière avec sa maman, des oiseaux qui batifolent, des canards qui jouent à cache à cache, …). Une rivière calme pour un « accident » qui les liera à jamais. L’ambiguïté du lieu prête vraiment à ce retour à la brutalité. Comme si au fond, au lieu de discuter, de dire au gros ces quatre vérités ou de lui casser la gueule sur la terre ferme, ils se réfugient derrière la violence et l’humiliation dans un lieu (sur une barque) ou son poids sera un désavantage. Un film tragique qui laisse une impression vraiment bizarre lorsque le film se clôt sur Rory Culkin (le frère de), son regard perdu, que l'on saura traumatisé à vie, finalement bien plus que par les brimades de George. ATTENTION SPOILER et les dernières images avec le commentaire en voix off de George qui au fond n'est qu'un garçon voulant avoir des amis, une vie classique, mais un peu gêné par son obésité, par sa dyslexie. Sinon j’oubliais, l’autre point important, c’est Carly Schroeder Elle a eu 17 ans aujourd'hui. Je pense que Movierev appréciera...même si elle est pas chauve
  15. Allocine Cockfighter est une excellente découverte pour ma part. un film d’homme dans lequel on retrouve l’esprit d’un Peckinpah pour ses héros charismatique. A de nombreuses reprises j’ai pensé à Junior Bonner. Même figure du mythe américain, héros bigger than life, machisme à outrance mais à l’aspect bonne enfant, la même volonté des (anti) héros à ne pas se coller à un modèle. Une idée géniale du scénario est le mutisme de Franck (Warren Oates), qui ne parle quasiment pas sauf en flashback et à la fin. Malgré tout il intervient par l’intermédiaire d’une voix off. Mais pourquoi ? Ayant perdu son coq qui lui aurait permis d’avoir (sans doute) LA médaille qui le fuit depuis toujours, Franck décide de se la fermer tant qu’il ne gagnera pas cette victoire. Une idée tellement belle, une idée qui n’est réalisable qu’en indépendant, et grâce à Monsieur Corman. Vous imaginez Monte Hellman allant chez la Paramount ou la Fox en disant que son personnage principal est quasi muet. Hallucinant ! Mais chaque chose à un prix, en l’occurrence pour Franck se sera l’amour. Dynamique, rythmé, Cockfighter est un excellent film plein de sentiment avec un regard nostalgique et triste envers un monde qui s’efface et se perd. Un monde dans lequel une poignée de main équivaut à une signature en bas d’un contrat. Un point intéressant, lors du braquage lors d’un tournoi organisé dans une chambre d’hôtels, les braqueurs portent chacun des masques, certains d’entre eux représentent les présidents américains. Une idée peut être à l’origine du gang des présidents dans Point Break de Bigelow ? Un très joli film, idée originale, mise en scène impeccable et très classe de Monte Hellman. Une oeuvre à découvrir.
  16. Florent

    Scum - Alan Clarke (1979)

    je crois qu'il y a coffret zone 1 EDIT : plus d'info sur PLAY
  17. C'est bien ce que je dis, on est plus du tout dans ce registre. (plu, pas plusse). L'épsode de Zombie est vraiment brutal et violent. pardon j'ai lu trop rapidement par rapport à mon cerveau qui va doucement
  18. Allocine Un film âpre, violent, rugueux. En faite, vous pouvez prendre tous les adjectifs et les champs lexicaux de la dureté et le film peut largement les endossés sans difficultés. Scum est une œuvre claustrophobique, pas seulement par le fait que l’action du film se déroule intégralement dans un univers carcéral, mais émotionnel. Seul la douleur est présente dans le film. Tous les sentiments sont annihilés, réduit à la plus simple expression, celle des mots couchés sur le papier d’un courrier, bien entendu censuré. Les détenus ne sont que des chiffres qui s’additionnent ou se soustraient, dans un univers froid et clinique. Le manque d’émotions est établi par une hiérarchie qui se veut ferme. A toute épreuve et en toute circonstance : bagarre, règlement de compte, viol, rien ne trouble les matons ou la direction. Même pas le suicide d’un jeune garçon, violé dans la journée, sous les yeux d’un responsable du centre. Le film de Clarke n’offre jamais de « prise » pour que le spectateur s’attache à un des personnages. A l’exception du végétarien qui marche nu pied, tous les personnages sont soit trop faible pour (ré)agir, soit des brutes qui veulent dominer ce petit univers. Le film commence par l’arrivée de Carlin, qui rentre dans ce nouveau centre après avoir frappé un gardien. En toute logique celui-ci, sorte de Dawson par son apparence, fait figure de (anti)héros de l’histoire. Mais Clarke n’offre rien d’autre que des vies accidentées qui rentrent en collision. Alors que le spectateur aurait pu croire en ce personnage, en cette figure de révolté, comme un moyen pour faire changer la vie au quotidien. La réalité est bien plus terre à terre puisque Carlin redistribue simplement les cartes de la hiérarchie au sein de ses codétenus. La fin du film est à l’image de l’œuvre, brève et sèche. Le spectateur, à peine remis d’avoir vécue un bloc de vie aussi violent que peut l’être un de ces centres de redressement. Scum est une grosse éjac’ faciale remplie de haine que se prend le spectateur, médusé, hagard par tant de violence et d’inhumanité. Un film no future, sans fioriture, sans musique et sans vie.
  19. Florent

    I Am Omega - Griff Furst (2007)

    mais d'un coté j'aime bien, c'est tout nul mais ce côté "off", bis et opportuniste me fait penser à l'ancien temps (que je n'ai pas vécu), à toutes ces vieilles productions, fac similé des Aliens, Predator, etc...
  20. AFM sa page internet sur le site des producteurs The Asylum bande annonce dispo le 20 novembre en zone 1. Spécification : *Widescreen Presentation *5.1 Surround Sound *Filmmakers Commentary *Deleted Scenes *Bloopers
  21. oh putain ça c'est de l'avis tranché ! mais dire que cette franchise est pourrie depuis le début t'y va un peu fort et quand tu parles de "violence fun" cela va en contradiction avec la volonté de Rob (dixit l'interview dans Mad ce mois-ci). Il y a énormement de bonne chose mais le Carpenter est un chef d'oeuvre, le Zombie, une belle tentative de relancer le mythe.
  22. Florent

    Mad Movies

    un numéro super light quasi sans interet à l'exception de Bier, Lemaire...et le Rob Zombie, vite lu, vite rangé le "dossier" sur la saga Halloween sent du cul tellement ça sent le remplissage enfin par le vide, des textes qui se battent avec des photos en 4x3...
  23. 100% BONTEMPI, PALMIER, VA NU PIED, SABLE FIN, STRING CASH DANS LA POCHE, BASSE DANS LA TETE !
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