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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    [Hk Video]

    Oh oui oh oui oh oui encore, encore ! oh oui comme ça c'esty trop bon, continue, ne t'arrêtes pas, yeeeessssss!!!!
  2. IL FAUT ECOUTER LE TITRE ONE MIC ONE MIC - STILLMATIC
  3. ENFIN ! premier volume le 23 novembre, le second prévue pour début Janvier 2008. site de l'éditeur Kana
  4. IMDB Twitch Trailer le site internet : http://www.teethmovie.com/
  5. Troisième épisode : un film bis à 100% Autant le dire tout de suite, pas d’angoisse, pas trop de suspense mais alors une bonne tranche de n’importe quoi. En commençant par un Michael Moriarty (New York District) complètement en roue libre, hallucinant et halluciné. Acteur de publicité, le personnage de Michael Moriarty se bat pour la défense de son « fils » devant le tribunal. Le juge par bonté n’envoie pas le fiston à la morgue mais…sur une île déserte. Vous parlez d’humanité ? Car au fond malgré un scénario qui va dans tous les sens, traite de tout (la relation de Moriarty avec son ancienne femme, son passage chez une prostitué [excellent moment ou la peur humaine est plus forte que la communication, ou l’ignorance de la maladie peut engendrer des comportement de rejet], des bikers, des jeunes punks, une tentative de viol, un remake de Predator, une comédie, un film de cannibale,…) et n’importe quoi (quasiment les même qu’au dessus , plus Fidel Castro ) ce troisième volet est le plus riche en thématique. Je pense que Larry Cohen voulait sans doute nous montrer le paradoxe du jugement humain à vouloir agir en tant que telle tout en protégeant l’intérêt de tous. Car l’idée de mettre cinq bébés / monstres sur une île sans ressources revient à les tuer mais c’est témoigner de l’incapacité de prendre des décisions face à un phénomène (qui reste inexpliqué par les scientifiques). Larry Cohen traite à travers son film (du moins une petite partie, surtout celle qui se trouve sur l’île) de la condition humaine. Comment agir en tant qu’être humain face à des « êtres » qui ne sont pas (totalement) nos semblables ? La fin, nous informe qu’ils ont développé des moyens de communications liés à la télépathie. J’aurais beaucoup aimé que leur fonctionnement de vie sur l’île soit décris, une sorte de « Guerre du feux » version bébé monstreux. En définitive, La Vengeance des Monstres est une farce. Larry Cohen ne s’y trompe puisqu’il termine son film sur un grand éclat de rire enfin pas seulement… Voilà une petite trilogie qui prône la tolérance, le respect et l’amour…des films profondément humain car marqué par le doute qui vit en chacun de nous.
  6. La jaquette du dvd Deuxième épisode : toujours aussi bon même si …. Ce second volet s’attache moins à trouver les responsables (les coupables) que de suivre le cas d’un nouveau couple donnant naissance à « l’un d’entre eux ». Si les études faites sur divers « spécimens » par une équipe de scientifiques (traversant tous les états des USA à bord de leur camion / salle d’accouchement) montrent qu’il est possible de les étudier mais la fin montre que leurs instincts reprennent le dessus sur toute possibilité d’adaptation à notre civilisation. Le point noir du film comme pour la trilogie est la quasi absence de recherche de la part des scientifiques. Dans les films, il est très difficile d’approcher ces chères têtes chauves sans perdre une partie de votre cou mais la trilogie aurait gagné en crédibilité par un apport scientifique plus conséquent. Cet épisode est envoûtant comme le premier. Même si pas de grandes idées viennent renforcer cette histoire géniale d’enfant mutant. On laisse plus volontiers le doute sur l’origine du mal. Mais le troisième et dernier épisode viendra rappeler à tous les spectateurs un peu tête en l’air que les responsables sont bien les groupes pharmaceutiques. Bref, le second épisode poursuit la veine du premier. Aussi sobre dans les effets spéciaux, que dans une mise en scène toujours alerte d’un Larry Cohen très classe dans ses cadrages. Malheureusement le troisième épisode est loin d’être à l’image de ses petits frères.
  7. Allocine J’avais découvert la trilogie de Larry Cohen par le second épisode en vhs. Aujourd’hui j’ai décidé de me faire la trilogie dans l’ordre, c’est mieux Premier épisode : sublime. Un film qui n’a pas vieilli seul les effets spéciaux pourraient être daté mais vu que l’on ne voit guère l’enfant cela n’est pas préjudiciable. Ce que j’apprécie le plus dans le film c’est la simplicité du scénario, celui d’un quotidien, d’une vie des plus naturelle : se reproduire, fonder une famille. Comment un bonheur familiale sombre dans le chaos, comment un moment magique (une naissance) vire au drame. Comment une Amérique pourrit ses propres enfants. Derrière le film, beaucoup de thématiques viennent se greffer au drame familial. Un sous texte qui vise à alarmer le spectateur sur les dangers des pesticides et des médicaments. Une thématique écologique qui est conforté par la négligence de grand groupe pharmaceutique qui commercialise le produit responsable (dont on ne sait pas véritablement les effets sur la grossesse de la mère mais dont le résultat engendre un petit monstre). Bref faisons des bébés et ayons des grossesses à l’ancienne sans tous ses pédiatres, ses pilules et ses gens si bien informé. L’intérêt du film réside dans sa capacité à cristalliser toutes les préoccupations des parents (vous pouvez demander à Peter Wonkley il pourra en parler mieux que moi ). Le film est très éprouvant pour les nerfs, à la manière d’un Jaws, moins on montre la « bête » plus la peur est grande chez le spectateur. Larry Cohen utilise la caméra subjective pour que le spectateur voie à travers les yeux du bambin. Une vision dédoublée ou comme de la mauvaise 3D. Un effet daté mais pas très dérangeant car utilisé avec parcimonie. La traque du bébé par son père dans les égouts est terriblement dramatique. A ce titre la séquence en effet stroboscopique rouge est sublime et renforce la tension de ce climax. Un climax désamorcé par un père qui prend conscience (enfin, pourrait-on dire) que ce petit bout d’animalité n’est pas seulement un monstre mais bien une part de lui, une part de sa chair et de son sang.
  8. ouaih bah Pour la peine j'irai rien que pour te dire la fin
  9. C’est pas mal Non sérieusement, soit je vois beaucoup trop de (mauvais) film, soit je suis devenu insensible, mais je suis désolé, c'est du déjà vu pour moi. Tout est très bien fait, rythmé, des acteurs impeccables, une quantité de second rôle tous meilleurs les uns que les autres, une mise en scène parfaite... y a rien à dire du point de vue technique mais ça m'a pas touché...un rise & fall de plus qui n'offre aucune originalité à l'exception de l'aspect historique (guerre du Vietnam) et le l'implication de l'armée Américaine dans le trafic de drogue ah oui et que c'est un noir qui règne sur un quartier et une ville. C'est toujours les même erreurs qui entrainent toujours les même conséquences. Un film très intéressant d'un point de vue informatif sur l'histoire mais selon certain écho le film ne suit pas à la lettre la vie de Franck Lucas (on ne fait pas référence à sa fille par exemple) mais peut être que je me trompe. Après tout il s’agit d’un film « inspiré de fait réel ». Voilà un divertissement honnête, qui se voit avec plaisir mais...j'ai pas accroché...
  10. Florent

    Score Asia

    je rejoins l'avis du boss, j'ai dévoré le mag en une nuit et c'est super bon, je retrouve avec plaisir Fathi Beddiar et Julien Séveon. Y a pas mal d'info alors que beaucoup reproche à Score & Co de combler leur vide par des photos 4x3 et bien ils se trompent, là on a droit quantité d'interview très interessantes. C'est pas assez analytique à mon gout mais c'est agréable à lire. Voilà finalement le point noir vient du dvd et de son recadrage Sinon j'attends avec impatience le numéro 2.
  11. Florent

    Score Asia

    Malheureusement je confirme pourtant la jaquette annonce le film en "format respecté 1.85"
  12. Existenz ou Spider avaient le mérite de proposer des choses émotionnellement et intellectuellement. Ce qui n'est pas trop le cas dans Les promesses de l'ombre. A force de tendre vers l'épure, Cronenberg vide son cinéma de tout ce qui le rendait différent et intéressant. Là j'ai eu l'impression d'assister à un spectacle de marionnette, sans âme et sans émotion.
  13. Le premier numéro sort ce mercredi avec un dvd inédit Love Battlefield de Soi Cheang (Dog Bite Dog, Shamo) pour 9,90€ On peut voir (car lire c'est impossible ) ce numéro 1 sur leur site. Alors c'est grande image et petit texte mais il y a certaines choses qui pourraient s'averer interessante (itv de Wakamatsu notamment) Voilà je dis oui ! http://www.asiamag.fr/
  14. JE VEUX UNE SCENE DE DOUCHE !
  15. Je ne sais pas vous mais personnellement avant de voir un film j’essaye de me préserver un maximum de tous commentaires, de toutes critiques avant d’éviter une certaine orientation…bon pour le Cronenberg c’est un peu loupé vu que j’ai lu des infos (notamment l’une des plus importantes) et écouter le masque et la plume ce dimanche sur France Inter (première fois). Donc je n’étais plus vierge face au film…tout ça pour dire que je suis réellement déçu par ce Cronenberg qui me semble (un peu) creux. Le film est vide de tous les éléments, le fluide de l’essence même Cronenberg. Vous allez me dire qu’il y a bien le corps de Mortensen et ses tatouages qui vient approfondir l’aspect thématique de l’œuvre du cinéaste Canadien mais cela et peu à mes yeux. Lors de la sortie de Spider, je me souviens que Mad et d’autre reprochaient au film son approche auteurisante et trop intellectuel. Personnellement je préfère un film trop plein d’idée même un peu tape-à-l’œil qu’un film bourré de cliché, mal rythmé, sans intérêt et désincarné. Car je n ai ressenti aucunes émotions pour les personnages, les acteurs sont froids et inexpressifs. Et je trouve que le film a le cul entre chaises ATTENTION SPOILER ni démantèlement d’un réseau mafieux, ni combat d’une femme pour être mère FIN DE SPOILER il y a un peu de tout cela mais aucun ne prend le pas scénaristiquement. Bref je n’arrive saisir le message du film ou tout cela amène au bout du compte. Alors oui, il n’y a pas forcement de message ou de fin (les films de Van Sant sont là pour le démontrer et encore même si les fins sont ouvertes certains éléments à l’intérieur peuvent permettre au spectateur de faire sa propre conclusion) dans un film mais on a de l’empathie pour les personnages ce qui n’est pas le cas ici. Et la « fameuse » séquence de bain dont tous les critiques se gargarisent n’a rien d’exceptionnel. Froide, violente, sanguinolente mais encore une fois je n’étais pas préoccupé par le sort du personnage. Voilà très déçu…
  16. Florent

    [Carlotta]

    Preview de dvdrama du coffret Teshigahara Une petite merveille en perspective !
  17. L’autre Anderson Et oui il n’y a pas que Pt Anderson cher à Leguman. Il y a un Paul Anderson qui réalise une (petite) carrière dans la série B, bien burné, jouissive, foutrement bien réalisé. Je sais je ne vous apprend rien Au départ j’ai trouvé le film un peu creux (scénaristique) et finalement je me rends compte de certaine qualité thématique. Notamment que cela soit les vétérans (enfin LE Soldier) qui aient la « bonne » méthode face à la technologie. Alors oui le film pourrait être vu comme technophobe car au fond malgré les vaisseaux spatiaux, les diverses avancées technologiques, l’être humain qui maîtrise cette technologie semble revenir à un certain primitivisme alors que la « colonie » vivant sur la planète poubelle, faisant un retour à la « terre », à la simplicité, au partage et à l’entraide est pacifique et vie en harmonie avec son monde en s'adaptant au condition. Dans la conclusion, cette opposition devient obsolète car un nouveau modèle peut intervenir celui de la technologie humaniste. D’un point de vue technique, P. Anderson nous offre un sympathique spectacle, avec un Kurt Russel interprétant une version génétiquement non modifié entre John Rambo et Dutch. Même si Anderson a tendance à abuser des travellings avant, arrière, courbe,… tout cela est rondement mené et on prend un véritable plaisir à suivre l’histoire. Un film de science fiction tout en muscle mais honnête. Ah je ne sais pas pourquoi mais l’attaque finale m’a terriblement fait penser à la guerre en Irak et par rapport au fait que l’on a souvent blâmé les troupes US de leur incapacité à gérer la guérilla urbaine. Cette séquence illustre à merveille le fait que lorsque le « soldat » connaît le terrain, qui a un vécu, un passé (tatoué sur le bras comme son nom ou son grade sur la joue, idée que je trouve excellente !) a déjà gagné sur le plan mental. Voilà une aparté qui n’a aucun lien avec le film mais ça m’a frappé alors je vous en parle docteur. COMME DIASAIT MON PERE : « PREND LE MARTEAU ET COGNE ! »
  18. Florent

    Achipé achopé

    UN CONCERT GRATUIT ?
  19. Vraiment passionnant ! 800 pages d'infos, d'anecdotes, quelques redites mais dans l'ensemble c'est très agréable à lire et je sais enfin pourquoi Roger Avary n'aime plus Tarantino (ce dernier l'a obligé à céder son crédit de co auteur pour que à l'écran Tarantino soit crédité Ecrit et réalisé par...) sinon j'ai commencé ça...j'en suis au volume 2 sur 3 Jiro Tengé, prisonnier de guerre rapatrié, est devenu un agent secret au service des forces américaines d'occupation. Il retrouve une famille dont les liens se sont singulièrement dénaturés. Maudite par sa naissance, sa sœur, la petite Ayako, est le jouet du destin
  20. Florent

    Achipé achopé

    JE TE SLAM LE CUL SUR LA COMMODE ! MYSPACE JE SORS MA TEUB ET JE TE GAVE COMME UNE OIE !!!!
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