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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Epoustouflant. Magnifique. Excellent. Intense. Renversant. Impeccable. Implacable. Sublime. Magique. Electrique. Inoubliable.
  2. avec : Emmanuelle Béart, Paul Belhmer, Rufus Sewell, Julie Dreyfus. Septembre 2008
  3. Florent

    Achipé achopé

    MICK BOOGIE + BUSTA + JDILLA = http://www.mickboogie.com/ la tape est FREE !
  4. Florent

    Achipé achopé

    01 Baba Says Cool for Thought 02 Free Chilly f. Sarah Green & Gemstones 03 Go Go Gadget Flow 04 The Coolest 05 Superstar f. Matthew Santos 06 Paris, Tokyo 07 Hi-Definition f. Snoop Dogg & Pooh Bear 08 Gold Watch 09 Hip-Hop Saved My Life f. Nikki Jean 10 Intruder Alert f. Sarah Green 11 Streets on Fire 12 Little Weapon f. Bishop G & Nikki Jean 13 Gotta Eat 14 Dumb It Down f. Gemstones & Graham Burris 15 Hello/Goodbye (Uncool) f. UNKLE 16 The Die f. Gemstones 17 Put You on Game 18 Fighters f. Matthew Santos 19 Go Baby f. Gemstones pour ceux qui veulent découvrir une petite compli d'extrait du nouvel album de Lupe un petit snippets Lupe Fiasco
  5. Jamais Vu pour les amoureux quelque petite vidéo/trailer pour la saison 5 “Let McNulty Be McNulty” by James McNulty “One Step at a Time” by Reginald Cousins [bubbles] “Play or Get Played” by Omar Little “Give The People What They Want” by Thomas Carcetti “It’s All About the Crown” by Marlo Stanfield papier du New Yorker sur la série et son créateur : The Wire - The New Yorker
  6. Florent

    Achipé achopé

    J'aime beaucoup la juxtaposition de la pochette et de ta signature sinon entendre Heart of City de Jay Z dans American Gangster m'a fait pleurer comme un ptit chien alors spécial Jay Z pour moi 1.Numb/Encore - Linkin Park & Jay-z (Hear the expanded version with 50 Cent, Eminem & Dr. Dre) - (Collision Course) 2. 99 Luft Problems - Jay-Z & Nena 3. What More Can I Say - Jay-Z and the Beatles (The Grey Album) 4. Say It Dec. 4th - Jay-Z & Weezer (The Black and Blue Album) 5. Encore - Jay-Z & The Beatles (The Grey Album) 6. What More Can I Singe? - Jay-Z and Pavement (The Slack Album) 7. Unforgiven Moment of Clarity - Jay-Z & Metallica (The Double Black Album) 8. Allure in the Garage - Jay-Z & Weezer (The Black and Blue Album) 9. Dirt Off Your Shoulder/Lying From You - Jay-Z & Linkin Park (Collision Course) 10. In The Mouth, An Encore - Jay-Z & Pavement (The Slack Album) 11. 99 Problems But True - Jay-Z & Metallica (The Double Black Album) ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ des petites bombes 12.Jay-Z - Change Clothes (DJ Kno Remix) 13.Jay-Z - 99 Problems (DJ Kno Remix) 14.Jay-Z - Intermission (DJ Kno Remix) 15.Jay-Z - My 1st (DJ Kno Remix) Enjoy ! copain(s)
  7. Florent

    Family Guy (Série)

    sans doute la seule manière pour que je découvre l'univers Star Wars
  8. il vient de sortir en Corée du Sud non mais vu que (tous ?) leur dvd sont souvent sous titré en anglais peut être que...wait & see. Je ne comprends pas qu'aucun distributeur Français n'aie pris le risque de sortir le film même pour une sortie technique
  9. TRAILER J'aime beaucoup la photo du film, les couleurs sont magnifiques. KIKAVU?
  10. Trop la classe ! pour faire monter (encore plus) le buzz il y a des mini trailer personnalisé sur le site. c'est à dire qu'il y a un mini Robocop, Boyz in the hood, Ghostbuster, Rush Hour ! http://www.bekindmovie.com/ LE SITE EST Merci Michel !
  11. Florent

    La tecktonik (ta mère)

    POUR APPRENDRE A DANSER POUR TOI NIKO
  12. Voilà la seule actrice que je déteste pourquoi ? pour ne pas (re)connaitre Michael Madsen. c'est vrai en plus. Ils se sont rencontré à Cannes et alors que Madsen faisait des Jouliette you are beautiful, terrific elle ne savait pas même si c'était un fan ou autre chose Grosse française !
  13. POUR MOVIEREV UN PETIT REMIX QUE J'ADORE DE TWO HEARTS Two hearts Twelve Remix clic droit enregistrer sous
  14. Sidney Lumet nous offre une fois de plus un film d’une très grande classe. Un film d’espionnage sans armes, sans gadget, sans violence, un film ancrée dans la réalité du quotidien. Un film qui démontre avec brio que l’espionnage de James Bond (si besoin y été) est de la fantaisie car avant tout l’espionnage c’est de la bureaucratie. Ici point question de jolie fille, point de blague et d’humour. Nous sommes pourtant en Angleterre et comme le temps, l’histoire (issue d’un livre de John Le Carre) est sombre, terriblement sombre. Il est intéressant de constater certains éléments récurrents et qui apparaissent dans ses films notamment les plus récents, en l’occurrence 7h 58 ce samedi là. SPOILER Dans Deadly Affair, l’épouse de Charles Dobbs couche avec d’autre homme et notamment un ami très proche avec qui il a travaillé durant la guerre. Il ne s’agit pas ici de frère de sang mais des frères de guerre et pourtant le résultat est assez similaire FIN SPOILER Très bien dialogué, avec des phrases d’une beauté époustouflante (Simone Signoret parlant de son corps comme d’un champs de bataille pour soldat traduit toutes les souffrances de sa déportation dans un camps de concentration durant la seconde guerre mondiale). Le film peut paraître un peu trop théâtral mais le dénouement et d’une beauté. L’amour de Lumet pour le théâtre transparaît donc aussi bien dans les dialogues que dans la séquence qui révèle l’identité de liaison / espion russe au sein d’une salle de théâtre (me demandez pas quelle pièce il joue je n’en ai aucune idée, probablement du Shakespeare, mais il serait intéressant de savoir). Lumet injecte à cette histoire d’espionnage tout son style. Un rythme lent, une enquête détaillée, l’exploration d’une mécanique (à plusieurs reprises les personnages parlent au sujet de leurs hypothèses que « les faits s’emboîtent). On ressent tout l’amour de Sidney Lumet pour ces « machines » policières, juridique ou familiale. Comment un drame se fait ou se défait. Malheureusement tous ses films n’ont pas la même intensité dramatique et je dois avouer que ce film m’a moins remué que Le Verdict par exemple ou Equus. Pour autant, The Deadly Affair est un film ancien qui conserve malgré les années tout son charme, sa classe, signe d’avoir été fait par un très grand cinéaste.
  15. Florent

    Achipé achopé

    Le nouvel album de Rim K (113) sort le 26 novembre le clip dispo sur myspace L'espoir des favelas ENCORE DES TAGLINES A GOGO J'ARRIVE DES QUARTIERS MAUDITS EN AUDI...ON S'ENFUIRA EN MODENA très déçu que Nice n'apparaisse pas dans ce paysage des cités par contre spéciale kassededi à Allan "merguezfrites" Theo, lyon a la chance d'apparaitre dans le clip
  16. UNE BOMBE ! CRAIG BREWER VIENT DE CREER LA DIRTYSOUTHEXPLOITATION ! J'AI CHIALE A PLUSIEURS REPRISES ! C'EST TROP BEAU ! JE VEUX AVOIR DES DENTS EN OR BLANC !
  17. LARRY COHEN + FRED WILLIAMSON + JAMES BROWN = CHEF D’OEUVRE Après avoir découvert Cleopatra Jones, je découvre Black Caesar et je suis encore sous le choc. Le Parrain d’Harlem est un des meilleurs Blaxpoitation que j’ai vu. Réaliste, filmé avec talent et classe. Une interprétation, une musique, un rythme… J’ai largement préféré ce film à American Gangster. Film ambitieux, Larry Cohen nous offre un joyau. Un film au final terrible. Un film qui ancre son action en trois dates, le jour ou sa vie bascule, le moment où il culmine sur Harlem, le Bronx,…et le jour de sa mort. Comme beaucoup de rise & fall, le film de Cohen suit certains « code » mais se démarque par un traitement émotionnel plus important notamment grâce à un Fred Williamson dans son meilleur rôle, envoûté et envoûtant. Pauvre petit enfant noir qui a voulu être un homme heureux, qui à voulu toucher les mêmes étoiles que les blancs, meurt « brûlé » par les siens. La dernière demi heure est magnifique. Entre la musique de James Brown, et la tragédie qui se noue devant nous…et cette terrible séquence avec la boite à reluire devant la bannière étoilée, j’ai été complètement émerveillé. Voilà il y aurait énormément de chose à dire. Un diamant noir de la Blaxpoitation mais surtout un film inoubliable. Un chef d’œuvre cinématographique.
  18. J’ai eu très peur. Peur de voir mon premier mauvais Blaxpoitation. Car faut le dire les premières séquences sont très caricaturales (tous les blancs dans le film sont des flics et plusieurs allusion à l’Allemagne nazi sont faites). Alors je ne dis pas que la situation entre les blancs et les noirs ne mérite pas ce traitement mais là je me suis dit que si le film navigué sur le blanc, raciste et vendeur de mort contre l’image des noirs s’intégrant à la société, se sortant de la drogue, etc…cela allé vers la caricature totale (même si comme toutes caricatures, il y a une part de vraie). Et puis le postulat, après avoir vu une dizaine de Blaxpoitation commence à m’user un peu. Et finalement, le film arrive à décoller ou du moins à m’intéresser. Schéma classique avec son lots de scènes (dans le quartier, chez une femme afro américaine tout droit sortie de son sud natal, la boite soul, la soul music, le chic des tenues, le kung fu, des hommes et des femmes engagés…) des clichés ? Non ! Des réalités poussées à l’extrême mais après tout lorsqu’on regarde un film de Blax on s’attend à voir certaines figures. Et la mise en scène de Jack Starrett offre une autre dimension à ce film. Des cadrages originaux, des séquences (la course poursuite, la casse) bien rythmé, son travail, honnête, embellit cette production qui possède quelque moments originaux. Notamment celui de l’attaque de Doodlebug (Antonio Vargas), une séquence qui m’a rappelé le début de Heat de Michael Mann. Le règlement de compte aux camions bennes est super original, et le ATTENTION SPOILER sort tragique de l’associé de Mommy, tout de blanc vêtu criblé de balle est intéressant esthétiquement. FIN SPOILER L’atout majeur du film est la plastique de Tamara Dobson. Une femme qui manie sa langue comme son uzi. Blague & style tel sont les maîtres mot de cette femme forte, emblème de l’afro américaine qui a réussi à s’extraire hors du ghetto et qui a gravie les échelons de la société jusqu’au sommet (sa plaque d’immatriculation et son badge – sorte de passe droit – sont là pour en témoigner) être un agent spécial du gouvernement. Je serais tenter de dire que « comme d’habitude » on sort du film ravi, avec le sourire d’avoir vu non pas (seulement) un film divertissant mais également un fabuleux témoignage sociologique, sorte de photographie, d’une société en pleine mutation.
  19. Florent

    [Hk Video]

    en attendant de l'avoir entre les mains, je le vois sur cette image en esperant une meilleure résolution pour patienter jusqu'au 4 décembre
  20. Un nouvel éditeur qui annonce la couleur sur un site rudimentaire (encore en construction) mais le planning laisse reveur : réédition du Il était une fois le Western Européen de Jean François Giré. Shaw Brothers, Une histoire du cinéma Asiatique de Julien Sévéon. Une Collection CinExploitation : 1. Dans l'enfer des Cinémas de Quartier de Christophe Lemaire. 2. Blaxpoitatation, 70's Soul Fever de Julien Sévéon. 3. Bikers, Motos, Cuir & Violence de Fathi Beddiar. 4. Roger Corman, Le pape de l'exploitation collectif. 5. Pink Eiga, Le cinéma érotique Japonais, Sexe subervif ! encore inconnu. plus d'info sur http://www.bazaar-and-co.com/ Du lourd !
  21. Avec tout le tapage que l'on fait autour du film je m'attendais à avoir un choc. Et comme a chaque fois que l'on passe son temps à attendre quelque chose qu'y n'arrive pas on est petit à petit déçu...ce fut le cas jusqu'à ce final. Final qui m'a permis de me rendre compte que Lumet ne nous raconte qu'une "banale" vie de flic. Pas n'importe lequel, un vrai, un intègre, une pure, une vierge. La ou j’aurai vu un peu plus de sentiment, Lumet nous offre sécheresse, à l’image de son film qui est très brut, la mise en scène est magnifique. Un très bon film. Al Pacino fait son Tomas Milian
  22. Florent

    Achipé achopé

    LE TALIBAN DU HIPHOP A LA VOIX DE VIERGE REVIENT FREEWAY !!! Lights Get Low Feat Rick Ross qui fait le double It's over Still Got Love
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