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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    Smileys

    à la base c'est Prodigy qu'il l'a utilisé pour la première fois pour la bouffe zone bis l'été dernier lorsque Sophie Petoncule avait annoncé sa venue voilà petite précision historico érotico pepito
  2. nouvel extrait de son nouvel album Sebastien Tellier-Divine
  3. je ne sais même pas comment on peut perdre son temps à regarder des films comme ça
  4. Florent

    Recapitulatif des anniversaires

    Pareil ! pas mieux. le compte est bon ! joyeux anniversaire !
  5. HIER J'AI VU UN RENARD A COTE DE CHEZ MOI QUASIMENT EN PLEINE VILLE J'ETAIS TROP CONTENT J'AI ARRETE LA VOITURE ON S'EST REGARDE PUIS IL EST PARTI L'ENCULE LA PROCHAINE FOIS QUE JE LE VOIS JE LUI BRISE LES PATTES
  6. la bo de James Newton Howard ici enjoy.
  7. pour ceux qui voudrait voir l'épisode 3 il est ici
  8. nouveau single, nouveau clip vidéo : Scream bon bin bof
  9. BURALO VIENS ICI QUE JE TE FOUETTE LES FESSES pour être plus sérieux
  10. mon anus recommence à piquer et à saigner pourquoi tu n'as pas attendu sale con !
  11. diffusé le samedi 19 et 26 janvier et le 2 février. Et selon les critiques lues (notamment dans les Inrocks) cette mini série est excellente...verdict samedi. les sites Internet http://edemarsan.free.fr/oubliees/ http://www.lesoubliees.fr
  12. la série est diffusé sur nrj12 demain à 20h45
  13. voilà juste pour dire que Timbaland, 50 cent et d'autres sont meles à une affaire de steroids source nytimes
  14. son prochain album est sorti ou va bientot sortir, + 60 dates de concert...belle mort en effet sinon un clip fabuleux, soyez patient ! 2MYB0yPmCzk
  15. J'ADORE LE DERNIER DANIEL DARC AKA LE SURVIVANT http://www.myspace.com/danieldarc teaser de l'album sur Les Inrocks
  16. ça va te changer de voir un bon film
  17. Florent

    Gone Baby Gone - Ben Affleck (2007)

    J'AVAIS BIEN COMPRIS c'est pas ma faute si vous aimez des films tout pourris bourrés d'incohérences et de n'importe quoi
  18. QUI VOUS AIMEZ EN RAP C FRAN SINON LA MEILLEUR VIDEO VU DEPUIS LONGTEMPS Naive New Beaters
  19. Innocence est un film exigeant. Tant par le fond que par la forme, Lucile Hadzihalilovic réalise une œuvre terriblement étrange. Etrange par ce qu’elle montre, par ce qu’elle dit mais surtout par ce qu’elle ne montrent pas et ce qu’elle ne dit pas. Laissant au spectateur à des douloureuses pensées. Car je vais pas me cacher mais voir des petites filles élevés dans un pensionnat qui sont mise en scène pour un public restant dans l’ombre, on a très vite l’envie de faire des raccourcis (inutiles) avec certains faits passés. Pour autant à aucun moment on ne tombe dans une voie sans issue. La réalisatrice fait de son film une chose totalement neutre, quasiment dénué de sentiment, très opaque. Un univers entièrement féminin qui ne soulève jamais totalement le voile. Par contre des allusions, les rubans notamment dans la séquence du départ. Car au moment ou les jeunes filles les plus âgées quittent l’établissement, elles laissent derrière elles ces fameux rubans qui les différencient. Métaphore d’un corps qui se transforme, le ruban symbolise la hiérarchie au sein des filles quasi livrées à elles mêmes. Mais tous ses petits rubans entassés dans la boite ressemblent à s’y méprendre à une rose qui ressemble au sexe de la femme. L’idée directrice, analogie de la chrysalide, est d’accompagner des jeunes demoiselles dans leurs phases de métamorphose. Un cycle qui prend son temps, comme le film, qui demande patience, comme pour le spectateur. La réalisation fait très conte de fée. Aucun mouvement d’appareil tout est structuré comme des cases d’une bande dessinées. Le film a une imagerie magnifique, entre épure et explosion. Avec des couleurs tantôt feutrées, tantôt vives, le contraste est saisissant dès le début du film. En définitif je ne saurais dire si j’aimais ou pas. Le manque de précision fait que le film reste dans un entre deux. Personnellement dès la première séquence (le jaillissement d’eau) j’ai été en apesanteur et même si durant le film je suis redescendu par moment j’en ressors comme dans les vapes. Un sentiment étrange comme le film.
  20. Florent

    Gone Baby Gone - Ben Affleck (2007)

    moi j'ai vu la fin comme moralisatrice c'est pas pour autant que je pense avoir raison la question n'est même pas là. on y voit ce que l'on veut mais le discours de Ed Harris lorsqu'il fabrique des preuves parce que le mec qu'il veut coffrer c'est un enfoiré...Patrick qui dit que finalement si il pouvait il ne buterait pas le pédophile parce que seul Dieu peut accordé vie et mort sur cette terre (ce n'est pas ce qui est dit mais un truc qui se rapproche)...le personnage de Morgan Freeman qui supplie Patrick de pas appeler la police pour le bien etre de la petite fille car au fond sa mère c'est une pute de drogué...ajouté à cela la copine de Patrick qui lui "si tu rends la gosse à sa mère je te quitte car cela irait contre mes convictions" bla bla bla bla ...c'est pathétique Affleck laisse le doute sur tout oui et non, car pour moi le fait d'aborder les questions c'est déjà donné un élement de réponse...et la fin donne pour moi la réponse à toutes les questions mais encore une fois chacun y voit ce qui veut.
  21. le vieille noire est drole rien que par sa presence, le coup des baffes j'étais mort de rire le coup du plastic avec le marteau, le chat et le doigt,lorsque le général meurt dans l'escalier...voilà j'avais la grande banane...et peut être que j'ai le rire facile mais j'ai bien aimé l'humour de Tom Hanks également. ah quel moment lorsque le noir mate la femme au "superbe" gros cul, lorsque ils sont dans le restaurant et qu'il traite la compagne du moustachu ?...par exemple j'ai trouvé Superbad/supergrave super vulgaire même si j'aime bien... l'humour ce concentre autour des parties génitales et à la longue je trouvé que cela s'essouflé à la fin. Sinon peut être que j'avais oublié à quel point j'aime les frères Coen. sinon le film original est sorti en z2 vostf ? je n'ai vu qu'un zone 1 ou zone 2 uk
  22. Florent

    Gone Baby Gone - Ben Affleck (2007)

    ah bah je suis pas tout à fait d'accord car le fait d'entendre les sentiments aussi clairement c'est l'expression d'une opinion et pour le coup c'est super moralisateur. Pour continuer dans la comparaison avec Mystic River, à aucun moment on a droit à ce genre de paroles, "qu'est ce j'aurais du faire ?, ai-je bien fait?", ...et pourtant plusieurs situations auraient pu amener ce genre de parole (SPOILERle meurtre de Dave à la finSPOILER). Eastwood adopte une position totalement neutre alors qu'à Affleck nous acène les états d'âmes des personnages ce qui crée un point de vue moralisateur sur la situation. en plus la copine de Patrick qui lui fait du chantage amoureux c'est le summum
  23. Depuis The Big Lebowski, j’avais un peu de mal avec les frères Coen et leurs films volontairement plus « commercial », plus comique. Les sujets ne m’interpellaient pas, je n’avais aucun désir envers eux. Des films que je considérais comme sans intérêt et qui ne méritaient pas d’être vu. Et bien après avoir découvert ce Ladykillers, mon opinion va s’en doute changer, car j’ai passé une heure trente de plaisir, de rire tout cela emballé avec poésie et talent. Les frères Coen nous offre un film au dialogue ficelé avec brio, à l’humour aussi bien corporel (la vielle dame noire tout droit sortie d’un dessin animée de Tom & Jerry, le général de l’ancienne Indochine, le débile, le noir hiphop, l’accessoiriste artificier, tous ont un pouvoir physique avant d’avoir des répliques tordantes… ). Des personnages caricaturaux mais qui fonctionnent immédiatement dans l’imaginaire du spectateur d’où cette impression d’être en terrain connue. Mais la ou certaine production se situe dans la redite, les frères Coen ajoute leur marque de fabrique par une dose d’humour noir (la fin). Un excellent moment. Voilà en attendant No Country for Old Men (qui est pour moi l’événement de la rentrée 2008) je vous engage si ce n’est déjà fait de découvrir ce petit bijou. Un film simple mais au plasir immense (en partie du aux frères Coen). A noter, pour ceux qui ont du mal à patienter leur dernier film, le numéro de janvier de la revue Positif consacre un dossier sur les bonhommes.
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