Aller au contenu

Florent

Members
  • Compteur de contenus

    3 220
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Florent

  1. et qui sait, peut être un jour avec Mad
  2. Florent

    Electroma - Daft Punk (2006)

    après avoir découvert leur live (Alive 2007) je me suis jetté dessus et je n'ai pas été déçu.
  3. un son entre Jay Z et Timbo produit par ce dernier pour la prochaine tape de dj clue, en réalité je pense qu'il s'agit de la tracks qui devait être sur l'album faute de temps Jay-Z - Ain’t I (prod. Timbaland)
  4. Florent

    Transformers - Michael Bay (2007)

    je ne sais pas vous mais ça serait chouette d'avoir la bo tout en entier, instrumentale et chanté en tout cas moi je serai TRES content d'avoir ça, pas vous ?
  5. Je viens juste de le découvrir et j'ai encore les yeux mouillés et les joues salées par un formidable conte humain. Merveilleux !
  6. Le film accompagnera le Mad de Février.
  7. Florent

    Recapitulatif des anniversaires

    Biaaaaaatchhhhhh !!!! Happy Birthday !
  8. le film ne mérite pas que je me prenne la tête ...et puis j'ai assez donné avec le Dakar
  9. Vu lundi. Le caissier nous a souhaité à moi et à mon amie : "Bonne Boucherie !" Au début j'avais très envie d'être énervé envers le film mais au fond je trouve que c'est tellement difficile de faire un film de genre (correct) en France que la critique serait trop facile et peu constructive. Je n'ai sans doute pas vu le film avec le regard qu'il fallait (enfin au début car après je peux dire que j'ai su apprécier quelque moment) pour percevoir ce film comme il le méritait. Il y aurait beaucoup de choses négatives à dire et beaucoup d'entre vous les ont dites, c'est également le cas pour les choses positives. Car il y a (comme dans quasiment tous les films) quelque chose de bien. Si ! si même dans Frontières. A la fin de la séance je me suis dit que le film allait sans doute bien marché à l'international. Et je pense que le public Français aimant le cinéma de genre en attendait un peu trop...et que nous étions sans doute trop exigeant envers ce film Français. Car c'est comme même chouette quand France on est réussi à faire un film de cet acabit là. Alors on aime ou pas mais le film a le mérite d'exister et c'est déjà positif. Je serai curieux de savoir combien de films Français interdit au moins de 16 sont sortis en salle ces dernières années ? (Haute tension, Calvaire,) Et comme dit Haribo un peu plus haut ou à la page précédente dans quelques années on le reverra avec le sourire comme un bon gros bis qui tache, qui fait (un peu) mal. Et malgré un discours politique parfois maladroit, réserve son lot de trogne (Samuel Le Bihan inénarrable une puissance comique en bouseux), de sexe (enfin d'érotisme car ça manque de foufoune et de nichons) d'hémoglobine, de dialogue culte... Bref un film culte en puissance enfin peut être pas
  10. JKcIGPQST9s Il y a des cultes qui sont mérités. Macadam à deux voies fait partie de ses cultes endurcies par une quasi invisibilité. Depuis la reprise au cinéma (merci Carlotta) et grâce à ce dvd (merci bis), chacun peut découvrir ce monument cinématographique. Une certaine idée de la contre culture, une certaine idée de l’Amérique de la fin des sixties et de l’avènement du Nouvel Hollywood des seventies, une certaine idée de l’hédonisme Un film tout de suite qui m’est cher. Une vision m’aura suffit pour être séduit par 98 minutes époustouflantes. Malgré un scénario minimaliste, chaque plan est source évocatrice d’un monde en pleine mutation. Comme Vanishing point, mais d’une manière encore plus épurée je trouve, le film accède à un questionnement philosophique universel tout en étant un formidable état des lieux d'un pays. Une destinée qui défile à travers le pare brise d’une Amérique alors en crise politique (Vitnam) en quête d’identité (le personnage GTO mythomane) , en quête de sens. Voilà un film tellement parfait que je n’arrive pas à exprimer cette sensation d’être face à l’un des chefs d’œuvres du cinéma. Plus qu’un film, une œuvre d’art. Sans doute la fin la plus merveilleuse du cinéma, une fin qui vous laisse seul dans le silence d’un générique de fin, seul avec votre conscience et vos propres questions. Peter il arrive désolé du retard
  11. Je partage pas mal l’avis de Prodigy sur le film. Cela reste un bon Tim Burton, on ressent la continuité de son œuvre mais à cause des moments chantés je décrochai émotionnellement. Au fond la fin qui devait être tragique est juste triste, je me suis dit « pas de cul le con » alors que j’aurai du chialer comme devant les 4 899 256 de téléfilms de la 6 l’après midi…là rien. Alors soit le choc de Cloverfield me rend tous les autres films fades soit je suis devenu insensible à Depp et Burton. Voilà sinon tout le monde à du déjà dire les choses positives du film (réalisation, acteur, musique) Wow ! quel début avec les orgues j’étais dans le coup dès le début ! Puis plus du tout lors de la première chanson. C’est vraiment étrange car ce qui est fortement attachant dans l’étrange Noël de Monsieur Jack ou les Noces funèbres, qui renforce la féerie macabre de Burton, perd (selon moi) de son charme avec des acteurs en chair et en os. Voilà à revoir loin du tumulte médiatique qui crée comme souvent chez moi des attentes (trop grandes) pour des résultats souvent bon mais qui me déçoivent.
  12. TIM LUCAS (Videowatchdog)SUR SON BLOG Putain encore 8 jours pour me refaire le meilleur film de 2008 !
  13. Merci beaucoup ! EDIT : au vu des premières minutes, cette pastille audiovisuelle n'apporte rien si on a lu toute la presse mais encore merci Steb d'avoir entendu mes prières
  14. tu as bien résumé la magie du cinéma et si tu veux encore rire fais moi signe
  15. ah si quelqu'un peut enregistrer sur dvd le making of de No country for old men (inédit) demain sur Paris Premiere à 09h10 je serais super content ...et reconnaissant
  16. Cloverfield est le blockbuster le plus important depuis Independance Day. Sur la même ligne mais à l’opposée du film de Roland Emmerich, Cloverfield témoigne des doutes, des peurs des craintes, du déclin – non pas de l’empire américain – mais de sa puissance psychologique. Cloverfield représente la brèche du moral américain. C’est une évidence mais Cloverfield est pour moi le meilleur film post 11 septembre que j’ai eu la chance de voir. Le film de Reeves est la symétrie parfaite de celui d’Emmerich. Là ou le héros (noir) d’ID4 est présenté dans ce que Hollywood proposait au monde entier comme vérité cinématographique d’un pays en pleine puissance, le classique American Way of life (petite maison, un chien, une femme aimante, un homme qui aime son pays…) Cloverfield s’attache à montrer l’élite (blanche) en fuite et cerné par la peur. Le « héros » de Cloverfield n’en est pas un – pas seulement par les faits qui vont se passer – mais par son choix de quitter la mère patrie pour le Japon. Une fuite vers l’Ouest comme au bon vieux temps des westerns. Les états unis sont vus comme une terre brûlé, terrain de jeux à une bête issue de l’inconscient collectif. Peu importe le monstre (pur argument marketing), le film est un témoignage avant tout d’homme et de femme quasi inconnus et qui le resteront. Des moments de vies intenses face à l’inconnu et à l’inattendu. Car personnellement je m’en fous du monstre (au delà des enjeux artistiques) ce que je voulais voir (en partie dans le film) c’est comment on élimine le problème. Un problème qui fait des petits, d’où le sentiment oppressant qui règne durant le film car la menace est omniprésente, furtive (comme les bombardiers impuissants de l’armée américaine),…des adjectifs qui rappellent…le terrorisme. D’un point de vue artistique, on peut dire que Cloverfield offre une véritable proposition de cinéma. Alors on aime ou non mais cela a le mérite de sortir des sentiers battus d’un cadre bien trop formaliste de la représentation au cinéma. Car le schéma du scénario aussi « déjà vu » qu’un Collateral de Michael Mann, offre en un cours laps de temps des moments intimes de quelques personnes. Le tour de force du film réside (enfin j’ai été super réceptif) à nous offrir des « caricatures » mais qui ont le mérite d’être attachantes, et ce en quelques secondes. Et puis merde de toute façon personne lira ma review alors bordel de merde un putain de bon film qui m’a scotché plus d’une fois (notamment lorsqu’il croit avoir tuer la bête) Number one !
  17. c'était pas les allemands (ou les anglais) qui avaient sortie une édition collector de Reservoir Dogs du même style ? sinon les teutons y kiffent l'essence
  18. JE REVIENS D'UNE AVANT PREMIERE C'EST LE MEILLEUR CONFESSION INTIMES QUE J'AI VU UN DES FILMS DE l'ANNEE ! DANS MON TOP 2008 MAGNIFIQUE ! UN GRAND FILM ! 1h15 DE PUR BONHEUR !
  19. qui veut le "love theme" du film ? cadeau ! (oui je suis dans ma période b.o) Breakfast Club-Love Theme
  20. Florent

    Melrose Place (1992)

    Une série culte ! limite je revais à des partouzes générales, des orgies aquatiques. Je trouve la série bien perverse, ils couchent tous, ils s'échangent c'est limite des tournantes dans la série...ils connaissent tous le gout de leur zizi moi je dis écontons le générique Melrose place - générique
  21. Florent

    The Goonies - Richard Donner (1985)

    VOUS VOULEZ LE TITRE DE CINDY LAUPER POUR LE FILM ? NON ! ET BIEN CADEAU ! Cindy Lauper - Good Enough
  22. c'est marrant mais il y a quelque jours j'ai mis une video avec Malibu ( ya plus ) dans les vidéos à la con
  23. par le réalisateur de Cry Wolf et avec l'héroine de All the Boys Love Mandy Lane http://www.neverbackdownthemovie.com/ trailer inside (excellente qualité) ou TmDzyS6LRto
  24. Après « the Ring » et « the Grudge » Je met cette accroche (qui se trouve sur le magnifique boîtier en métal) car pour certains cette unique phrase les fera fuir ou au contraire seront intéressés à découvrir un énième traitement des fantômes Made in Asia. A mon habitude, j’ai fourré la galette sans avoir lu une ligne du pitch, ni savoir qui était le réalisateur (à mon crédit faut dire qu’aucune mention sur le boitier ne fait mention du nom du réalisateur). 10 chapitres et un prologue composent ce (court) film de 76 mn, des scénettes qui se déroulent à rebours (à la manière de Memento). Une manière plutôt astucieuse de conserver un petit peu de suspense dans un genre narratif bien trop formaté pour l’habitué. Au début j’avais l’impression de voir un cadavre exquis mais petit à petit on se rend compte du lien (familiale ou amicale) qui unit toutes les victimes par cette « ombre mystérieuse ». Sans vouloir trop en faire et trop en dire, j’ai été électrisé (littéralement) par certaines séquences. La réussite du film tient à son image, floue, sale, avec un grain pas possible mais cela renforce le rendu naturel, une véracité qui confine l’histoire à un quotidien banal et familier. L’ambition du film n’est sûrement pas de trouver un nouveau créneau dans l’exploitation des fantômes mais de traiter, d'experimenter par l’image le traitement de diverses peurs. Notamment celle du noir (pas l’être humain ) ou de la présence inconnu chez soi. Personnellement j’ai toujours eu peur du noir, traumatisé par l’émission Mystère et Goshtbusters, ce film m’a bien parler, par moment je ressentais un véritable malaise en partie du à une dilatation (non pas de mon…enfin ! ) du temps. Certaines scènes s’étirent sur une ou deux minutes, entouré par les grincements dents stressants annonçant la présence du fantôme. Après je pense que certains se feront chier devant cette bobine pour ma part j’ai beaucoup apprécie la (non ?) qualité artistique du film. Et puis cette idée de contagion de la mort comme un virus est très intéressante, le contact humain, étant vu comme source de mort mais en même temps l’isolement n’est pas la solution. A vrai dire il n’y en a pas, le fantôme vient chercher des âmes et il va bien se gaver. à noter pour ceux qui voudront découvrir le film, il est actuellement à 6,99€ sur Pixmania
×
×
  • Créer...