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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    Cinerotica

    content de l'apprendre, après trois quatre librairie j'avais l'air d'un petit frustré en manque de fesse surtout qu'une presse que j'ai fait avait des affiches annonçant le titre
  2. Florent

    [Hk Video]

    dvdfr.com maintenant il faut compter EDIT : ah non c'est écrit en haut : 202 mais il faut soustraire ce qui sont comptés deux fois. re edit : il faut retirer les catégorie 3
  3. Florent

    [Hk Video]

    des infos sur le film ? quoi j'ai la fleme de chercher
  4. je ne saurais trop vous conseiller le dossier consacré au cinéma de genre Français de ces 10 dernières années dans le mensuel Chronicart (#48). Un dossier qui défonce tout le monde (à l'exception d'Aja) Petit florilège pour les radins Titre de l'article : Quelle horreur le cinéma français Christophe Gans :" Après des joujous de vidéoclub Necronomicon et Crying Freeman) son écrasant Pacte de loups calme les plus bouillants de ses fans. Depuis, Gans n'a fait que bégayer un cinéma sans aspérités (le gros paté Silent Hill), très nouveau riche, d'ou émerge aucune ame de metteur en scène." Laugier : " Après St Ange écrasé par l'influence du maître [Gans], son Martyrs confirme que laugier est plein de bonne foi et d'envie. objectif maintenant, pour le chouchou : devenir cinéaste. Valette : " son Maléfique, entre Fort Boyard et Jean Paul Sartre, aurait, dit-on soulevé l'admiration de Friekin. Il faut dire que cette série Z, si grandiloquente dans sa modestie, si géniale dans sa nullité, demeure bien sympathique". Gens : " le "kikitoutdur" de la fratrie. Headline : un seul film qui en fait le Francis Lalanne des anciens rédacteurs de la revue. Son côté fayot s'appliquant sagement à décalquer des plans d'Argento, la ringardise invraisemblable de son film dont esperer secrètement un Brocéliande 2". Du Welz " Le Tobe Hooper des Ardennes, qui mele bon sens paysan et surréalismes blafard. Le plus antipathique et le plus prétentieux de tous". Dupontel : " son fond punk post Baby Blood et son burlesque archi blaireau en font pourtant, assurément, la pire chose qui soit arrivée au cinéma français" ...etc,..., etc,... plus je lis cet article plus je suis attaché aux films qu'ils (Vincent Malausa & Guillaume Loison) cassent même si je ne suis pas autant attachés à certains, ça me plait assez le versant horrifique du cinéma français, une sorte de grain de beauté paraissant disgracieux à certains et charmant pour d'autres. Finalement on en a de la chance d'avoir un cinéma Français aussi "subversif".
  5. Vu au Week end de la peur à St Maxime en VOSTA Le film était LA sensation du week end avec Machine Girl (que je n'ai malheureusement pas vu mais le dvd arrive selon certaines sources). C'est sur que le film peut paraître long et répétitif, c'est ce que j'ai pensé à certains moment en regardant ma montre. Mais j'en voudrais des tas avec une telle inventivité. Si le film est too much, on se prend à attendre chaque nouveau plan du réalisateur dans son délire visuel violent/sado-masochiste/gore. Entre une femmes aux jambes de crocodile, à l' homme munit d'un penis à faire palir Rocco, à cette chienne/femme munit de lames à la place des jambes et des avant bras. Toutes les minutes, une nouvelle idée vient redonner de l'entrain à cette histoire de flic combattant des être modifiés par une sorte de "cancer" ressemblant à un parasite inerte mais qui a le pouvoir de régénérer les parties du corps coupés par des armes de destruction massive. Cutter, tronçonneuse, monstre (ressemblant un peu à celui de Deadly Spawn), tout est possible. Ainsi le méchant du film, dont son front vient d'être découper horizontalement au niveau du nez retrouve un cerveau géant et des yeux crachant des sortes de pointe. Le film est un peu long mais cela en devient tellement trippant qu'on l'excuse facilement. les effets spéciaux sont impressionnants, très réalistes. La réalisation joue sur la tendance je bouge la caméra mais cela va tellement avec l'ensemble que je n'ai pas trouvé ça choquant. Un film inoubliable dans sa capacité à donner des images jamais vu ailleurs. Bref, le film est complètement fou, très drôles (volontairement, notamment les spots de tv sur le suicide,...), réalisé sous acide, on en ressort avec le cerveau retourné.
  6. Florent

    Rovdyr - Patrik Syversen - 2008

    Vu au week de la peur à St Maxime en VOSTA Bon vous avez quasiment tout dit, pour résumer : a. la musique, , les chansons norvégiennes des années 70, ça démoulent les caribous. b. la réalisation est super maîtrisé même si quelques petits "truc" viennent un peu gâcher (genre je bouge ma caméra pour exprimer la confusion,...), le film bénéficie de certains plan magnifique. c. le film n'est pas original dans son ensemble sauf lorsque qu'un des chasseurs (éventrant une de ses victimes à proximité des rescapés cachés en contrebas d'une butte), décide ne pas les attaquer mais les laisser mariner dans leurs peurs. d. les acteurs sont très bons, je trouve, la grande qualité du film est de nous donner des personnages réalistes, des inconnus sur lesquels on peut projeté nos angoisses. e. des effets spéciaux vraiment bons, la cheville bousillé au fusil de chasse Que dire de plus, on est dans un genre tellement codifié et balisés par des dizaines de films précédents que le film qui arrivera à nous donner le petit plus n'est pas encore né. Pour ma part j'ai pris un certain plaisir. C'est court, c'est sec, violent, sanglant, réaliste, efficace. Un des meilleurs films de la sélection.
  7. vu hier au Week end de la peur à Saint Maxime....en VO non sous titré Les ressemblances évoquées par Nick avec buffy sont très nettes, déjà le titre, on remplace Monster par Vampire et roule ma poule. Cependant toute la partie la plus calqué sur la série de Whedon est la plus appréciable, complètement en roue libre (côté acteur parce que réalisation c'est pas ça, à l'exception du flashback du vieil quincaillier que j'ai trouvé très joli, le reste est filmé platement, très codifié série TV) avec des effets spéciaux bien typé années 80, un monstre en latex qui ressemble à un personnage de Stars Wars) des dialogues sympa. Reste que le film joue petit bras dû surement à un faible financement. Un film moyen, la première partie est loooooongue, sauvé in extrémis par Englund. Voilà en le considérant comme un dtv, le film se hisse dans la catégorie des films BPP (Bières Potes Pizzas ou pour ceux qui n'ont pas d'amis Pute(s))
  8. super encourageant comme review... et dire que je le vois demain
  9. bonus Interview des frères Hughes (11’ - VOST) le 01 octobre
  10. triste pour Le chat, le travail de Bandini sur les jaquette était très beau (comme d'habitude), dommage
  11. Florent

    Recapitulatif des anniversaires

    Joyeux anniversaire les mecs
  12. Florent

    Le Chat qui Fume

    Non, moi aussi je l'ai acheté. Mais je l'ai pas encore regardé. bibi aussi l'acheté, je l'ai vu et j'ai beaucoup aimé, la copie est magnifique..à l'image du film.
  13. Jenny est maîtresse d'école. Son petit ami et elle quittent Londres pour passer un week-end romantique au bord d'un lac. La tranquillité du lieu est perturbée par une bande d'adolescents bruyants et agressifs qui s'installent avec leur Rottweiler juste à côté d'eux. A bout de nerfs, ces derniers leur demandent de baisser le son de leur radio. Grosse erreur ! Qui ose dire quoi que ce soit aujourd'hui à une bande de jeunes qui se conduit mal ? Qu'arrive-t-il à ceux qui osent ? Quel poids ont les adultes sur ces jeunes ? Les parents n'auraient-ils pas juste les enfants qu'ils méritent ? Ils n'ont plus peur de se montrer, Ils sont (aussi) méchants oCXRsAA54Do sortie le 08 octobre 2008
  14. Florent

    Inju (barbet Schroder 2008)

    viewtopic.php?f=10&t=11793&p=122345&hilit=inju#p122345
  15. pareil sauf que j'en attendais plus...un peu déçu. Une seconde vision me permettrait de le réévaluer.
  16. Florent

    Achipé achopé

    je suis l'actualité hiphop et pourtant j''étais même pas au courant...c'est une des figures les plus importantes de la west coast, et le Mr Refrain de la fin 90 début 00 putain j'ai tous ces albums, même si ils sont de qualités moyenne, je le voyais bien veillir et devenir une sorte de chanteur de blues gangster
  17. je ne dis pas qu'il a crée une mode mais qu'il est le point de départ.
  18. pour ceux qui se demande quel est le groupe du Coming Next du Grand Journal il s'agit des Late of the Pier - Heartbeat l'album vient de sortir en France, 18 mois après l'angleterre. wKdbuNlQhtk
  19. j'entends par historique qu'il est à l'origine d'un basculement au niveau de l'image "vérité" ou d'une image vraie...le project Blair Witch annonce la télé réalité pour la télé, et surtout la génération youtube que l'on vit en 2008, avec des films comme Redacted, Cloverfield, REC, Diary of the day, The Hamiltons, et j'en oublis d'autres, la caméra vidéo et son format génère d'autres sources d'images, d'autres codes. Et pour cela le film marque une étape dans le cinéma.
  20. c'était une simple précision, parce que on a trop souvent résumer la west coast aux putes, cadillac, dogg alors qu'il y a une scène indé très productive qui essaye de sortir des stéréotyopes.
  21. je tiens à préciser que ce n'est du west coast genre bitch, cadillac & co c'est un project dans la mouvance des Cypress Hill, vu que les mecs font partie du crew Soul Assassins. C'est noir, très bon mais très noir.
  22. bwInjLLZZJw certains penseront que c'est une punition mais bibi aime
  23. je rejoins le camps des avis positifs. A chaque vision, je ressens toujours cette même peur. Peur du noir, des bruits, bref des trucs classiques mais pour avoir fait du camping entre l'âge de 3 et 10 ans je peux vous assurer que dormir seul dans une tente canadienne ça traumatise un enfant surtout dérangé comme je le suis J'aime tout, même la vf, le film est d'une simplicité et d'une efficacité qu'il mérite bien plus que les railleries. Le dernier plan m'a laissé sur le cul de longues heures après la fin du générique. Un film historique.
  24. première diffusion France le 27 septembre prochain au week end de la peur à St Maxime..j'y serai
  25. Bon je vais apporter ma petite pierre à l’édifice, à la (dé)charge contre ou pour, sans aucun doute un film important dans le cinéma français de genre. Pour la majorité du public français, il ne se préoccupera pas du film mais il ne fait aucun doute que le film aura une belle carrière internationale. Un tour du monde salvateur qui permettra sans doute à nous français de prendre un peu de recul. Plongé dans le buzz médiatique depuis le festival de Cannes, Martyrs est – avant d’être un film sauvage et intense doué d’une vision de cinéaste – une formidable proposition. Un bol d’air dans un paysage cinématographique scindé entre comédie et film policier. Je vais être franc, j’ai envie de défendre le film comme j’ai pu défendre (peut être pas ici) Frontières. Pas parce qu’il est Français, non. Les films sont imparfaits mais ils sont des témoignages intéressants de notre société française entre social et religieux, les films recèlent cette même envie de dépasser les frontières de notre corps, de notre souffrance pour accéder à un état de grâce. Echappé à la banlieue ou échappé à notre enveloppe, la réponse finale est la même : le doute, l’emprisonnement, aucune issue. Deux films pessimistes La première partie…jusqu’au coup de cutter fatidique, le film m’a impressionné. Littéralement scotché devant la réalisation, les actrices, le parti prit car il faut avoir des couilles de montrer aussi sèchement la mort. Le côté brut de Martyrs l’éloigne de tous les saw, hostel & co. Ici il n’est pas question de mise en scène macabre, ici il est question de la souffrance qui ronge, celle qui bouffe vos entrailles, celle qui vous donne accès à un autre état de conscience. Malgré l’aspect linéaire du scénario, je l’ai trouvé bien plus malin qu’il n’y parait, le film peut paraître « facile » mais le jeu entre interieur / exterieur est très intéressant. Montré le dedans (le monstre, capteur de la peur) des psychoses, des blessures, et le dehors les traces, les failles d’une psyché borderline. Une mise en abyme en continue, les flashbacks ne brisent pas le rythme du film, au contraire ils sont source d’une nouvelle énergie. Chaque personnage féminin a sa partie, sa route vers sa vérité. J’aurais aimé que le film s’arrête avec le plan lumineux ce qui aurait parfaitement contrasté avec le début. Malheureusement cette dernière ligne de dialogue comme le discours de Mademoiselle apparaît comme risible. Dommage, le film aurait gagné à être totalitaire. Muet comme presque toute la deuxième partie où on suit le calvaire d’Anna. Voilà un film imparfait certes mais un tel cri : violent, sanglant, sauvage dans notre cinéma sclérosé. Moi je dis oui, peut être pas un grand oui mais j’ai été interloqué, captivé, halluciné par Martyrs, et rien que pour ça, merci Pascal Laugier.
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