Florent

Un message pour dire aux habitants de la PACA que la salle Le Volume à Nice diffuse ce soir à partir de 20h ce documentaire sur Henry Padovani. Entrée libre ! Synopsis : Le destin d’Henry Padovani, un jeune corse de 24 ans débarqué à Londres en décembre 1976, acteur et témoin d’une période où naissait un nouveau courant alternatif et révolutionnaire, le mouvement Punk. Musicien et guitariste, il a traversé les années 80 comme une météorite tombée de nulle part, du groupe "The Police" qu’il fonde avec Stewart Copeland en janvier 77 jusqu’à leurs retrouvailles sur scène 30 ans plus tard devant 80 000 personnes au Stade de France, des Clash aux Sex Pistols, des Who aux Pretenders, de REM qu’il signe à Zucchero qu’il manage. Avec tous, Henry a partagé un peu de leur musique et beaucoup de leur vie. -lyPS0BhSNk

j'ai pas compris ta remarque kevo ?

je ne sais pas si elle connaissait avant le film d'Akerman qui dure 3 heures sur une femme dans son appartement (Jeanne Dielman) mais dans diverses itv c'est le directeur photo qui lui aurait montré le film... ou alors l'inverse merde je ne sais plus... plus le temps passe plus je garde un bon souvenir de ce petit film d'une réalisatrice qui reste ancré à ses convictions et qui ne répond pas au sirènes d'Hollywood comme d'autre

vu. classique dans la trame et le déroulement, j'ai regardé ma montre au bout de 20mn. Aucune surprise, pas d'originalité. J'avais l'impression d'avoir déjà vu le film. C'est d'un consensuel... assez triste de la part d'un mec ayant fait The Fountain, Requiem for a dream et Pi car The Wrestler annonçait déjà le retour dans le rang de ce grand réal. Car si ses sujets (et ses projets, un remake de Robocop ?) sont pour moi de plus en plus chiants sa mise en scène est juste sublime, techniquement c'est incroyable. justement FX ou pas pour toutes les séquences avec miroir. Je me pose la question car sans c'est la classe, avec merci le responsable des effets spéciaux. Bon après heureusement qu'il y a une séquence de masturbation très hot... ce cul ! on en croquerait ! et la fin... d'un classicisme déception.

c'est tellement nul que cela devient fascinant ! c'est tellement chiant que j'ai été hypnotisé de bout en bout, j'ai regardé par montre seulement à 10 mn de la fin. A chaque séquence, on se dit qu'il va se passer quelque chose et non. Rien. Avec Sofia c'est toujours la même histoire, c'est du vide, du futile, sa filmo est une sorte de journal intime filmé / fantasmé, essayant de revivre des moments comme d'en changer la finalité. C'est une réalisatrice intéressante à suivre tant ses projets ne racontent que sa condition de fille de, femme de, réalisatrice de... je me dis qu'elle a pas conscience de son cinéma tellement cela semble s'inspirer de sa vie. Beau et envoutant

excellente initiative du blog / fanzine Peeping Tom, la lecture de l'ouvrage Hollywood Babylone de Kenneth Anger épisode 1 : http://fanzinepeepingtom.blogspot.com/2010/12/hollywood-babylone-episode-1.html

Un trésor de la télévision enfin en DVD ! Et si les pauvres, las de leur misère et de notre indifférence, se fédéraient en hordes barbares ? Dans notre futur immédiat, les déclassés et les déshérités de notre société rançonnent les automobilistes. Ils forment des groupes paramilitaires afin de conquérir les villes… Ils se structurent en parti politique et deviennent graduellement un état dans l’Etat… Sous une fausse identité, un policier limogé infiltre le mouvement. C'est une nouveauté Bach Films. kikoné kikavu ?

pas de thread sur la version 2010 ? sinon Wafa http://tele.premiere.fr/News-Videos/VIDEO-Koh-Lanta-2010-La-seance-photos-sexy-que-regrette-Wafa/%28gid%29/2475377

critique de la Brune et Moi dans le numéro du mois de décembre des Cahiers du Cinéma p.86

arrrgggghhhhh !!! Heureusement que j'ai arreté d'acheter le dvd Mad tous les mois... "Prix du meilleur inédit video" au 14ième festival du film fantastique de Gérardmer 07 en compétition cette année il y avait : Franchement The Wig est comme même mieux...

Pour avoir discuter avec une personne de Malavida, celle-ci m'a dit qu'ils sont partis du master qu'avait diffusé Canal + lors du passage TV (enfin si il a eu lieu ? j'ai pas canal ) et que c'était de toute beauté

Quelle déception ! Alors que j'adore Bad Boy Bubby, je me suis lancé dans ce film plein d'optimisme... et bien j'ai vite déchanté. Tout ça pour ça... une femme qui n'arrive pas à communiquer avec son mari / ou qui se fait trop dominer par son mari décide de lui dire ses 4 vérités. point à la ligne. Pourtant la musique, la mise en scène distille un climat très vite angoissant mais le sujet n'arrive jamais à décoller, on suit car il rythme bien mais je suis resté sur ma fin. Anecdotique.

à Lyon par exemple ?

j'ai pas du tout aimé, un film de branleur. Je n'ai jamais ressenti quoique soit à part de l'ennui. Pas d'empathie, pas de claustrophobie : rien le pire c'est la musique et les zooms du genre vous voyez que c'est un moment intense hein vous voyez ! le seul moment bien c'est l'échange avec le terroriste à propos du 11/09. Moi j'dis bien fait pour ça gueule ! Sale kainry ! Un film qui montre qu'avec une bonne histoire mais sans talent on fait pas grand chose.

Beaucoup on entendu parler du fanzine (quasiment un pro zine avec le dos carré collé, l'impression couleur de qualité) par intermédiaire de Serbian film vs SMHIFF et bien sachez que le nouveau numéro ( le 4ième) est disponible à Nice dans ma modeste échoppe (THE END). Plus d'infos sur le blog de Tom Peeping http://fanzinepeepingtom.blogspot.com/ Envoyez le bousin ! C'est passionnant ! à venir un hors série sur Paul Schrader

c'est toi qui a fait la pub ?

il est déjà dispo...à Nice

après l'excellent Messiah of evil, la nouvelle fournée d'Artus films arrive le 4 novembre : au programme une collection dinosaure : L'Ile inconnue - 1948 La Planète des dinosaures - 1978 + du français Si j'avais 1000 ans - 1983 et pour décembre Blanche-Neige, le Prince Noir et les 7 nains - 1951 Le Pirate des Mers du Sud - 1954 Chapeau Artus ! kikoné sinon ?

perso je préférais avant avec l'album produit entre autre par Jay Dee aka J Dilla "Like water for Chocolate". Sa nouvelle direction sent trop l'envie de mettre des biftons de côté, du genre maintenant que j'ai de la crédibilité mais pas des chiffres de vente suffisant je flirte avec ce qui fonctionne aux billboards (Kanye avant, les Neptunes, next ?) Bon après j'aime bien... Common c'est la classe ! KTGxPiEg7iM sinon j'écoute ça et c'est toujours aussi bon...le grand écart musical ! _lTIjROylL8

En meme temps, le chateau de l'araignée c'est 1957.... je voulais surtout pointer du doigt ses adaptations de Shakespeare....

Appelé en pleine nuit à soigner un jeune gangster pour une blessure à la main, un médecin alcoolique décèle une affection plus grave, la tuberculose. Il tente de soigner le jeune homme qui ne veut rien entendre, et malgré les disputes et les menaces, il se prend d'amitié pour lui. Le chassé-croisé des deux hommes que tout oppose trouvera une issue tragique dans les milieux violents de la pègre japonaise. Depuis le début octobre, la cinémathèque de Nice propose une intégrale Kurosawa. Et si j'avoue que Ran ou autre Château de l'araignée m'ont déçu voire ennuyé, ses films des années 50 sont d'une beauté et d'une intelligence sidérante. C'est touchant sans être mièvre, c'est méchant sans violence (le docteur assène des propos d'une noirceur et d'un désenchantement qui cache bien sûr un grand coeur. La vedette du film c'est Toshiro Mifune, même si le titre du film pourrait laisser penser que non. Entre mode de vie à l'ancienne et le passage à une nouvelle société, Kurosawa évoque avec brio une époque charnière et décisive du Japon à travers une galerie de personnages des bas fonds, des "petites" gens, des parasites qui sont autant le poumon, le second souffle que de la vermine, de la pourriture stagnant et enlisant les proches autour d'eux. Voilà à découvrir pour se rendre à l'évidence que Kurosawa était un grand réalisateur (asiatique) intemporel grâce à des sujets peut être bateau mais d'une profondeur et d'une humanité réjouissante.

La meilleur comédie que j'ai vu depuis longtemps surtout dans la seconde partie. Je ne suis pas un inconditionnelle de PCW, mais j'avais bien aimé Thirst (même si j'ai roupillé un petit quart d'heure). Là c'est l'ennui profond, c'est joli même si certain "effet" de mise en scène sont nuls et ne servent à rien (l'image de la cellule qui s'ouvre sur une nouvelle image); C'est pompeux (la photo, la musique), franchement tout ça pour ça, je ne comprend même pas le "message" du film si ce n'est que PCW aime bien le petit jésus (chemin de croix, rédemption,...etc) La mise en place est longue... scène de dialogue : - pourquoi tu veux un flingue comme ça - parce que je veux qu'il soit joli... si tout les scènes de prison sont là pour créer de l'empathie pour elle, moi ça n'a pas fonctionné, en plus je ne trouve pas jolie l'actrice. Mais rien que pour la fin d'une perversité (le micro) avec les parents qui attendent leur tour pour se venger, c'est super drôle. Wook est définitivement surestimé à mes yeux, si techniquement il est impressionnant, je reste étranger à l'émotion de ses films.

sPX33Paq-KM

bon j'ai vu les 2 premier épisodes sur Arte et même en VF, c'est de la bombe et pour tous les fans de Malcom, sachez qu'enfin la série sort en dvd (zone 1) avec version française

je suis pas un grand de Kon j'aime avant tout l'intelligence de ces projets et la mise en scène sans faille pour Millenium Actress c'est bluffant au niveau du scénario, de toutes les lignes narratives qui s'en mêlent, c'est impressionnant, c'est d'une fluidité et d'une beauté même si j'ai quelque réserve au niveau de la crédibilité...une fillette qui devient actrice dont la quête de retrouver un homme sera le moteur des films dans lesquels elle jouera...au niveau de la mise en abime on peu pas faire plus. et Paranoia agent si il y a des épisodes moins intéressant celui autour du jeux de rôle notamment qui case la crédibilité, certains épisodes sont géniaux (ETC...) le problème pour moi c'est qu'on a la solution (en partie) à la moitié de la série...après c'est du (bon) remplissage avant un épisode final décevant sur les conclusions donnés.