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Florent

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Tout ce qui a été posté par Florent

  1. Florent

    Red State - Kevin Smith (2011)

    et pourtant je suis pas fan de Smith KOvbSKO6SMM
  2. Florent

    Bedevilled - Jang Cheol-so - 2010

    Peut être le plus beau film Coréen que j'ai vu. Belle photo, belle réalisation, acteur parfait, histoire qui touche autant qui fait mal. Moi ce qui me marque c'est comment le film est empreint d'une nostalgie, le générique de fin m'a foutu le bourdon. Voir ces petites filles "innocentes" alors qu'on sait par quoi l'une d'entre elle est passé cela m'a fait limite chialer. Pendant plus d'heure, la pression monte, la perversité des images engendre davantage d'horreur à l'esprit que ce qui nous est montré, et quand la "libération" intervient, perso j'ai éprouvé du soulagement, enfin elle va rendre sa souffrance. Superbe film, LE film de vengeance sans pathos, sans misérabilisme, sans vengeance tarabiscoté à la old Boy , tout est frontal et cela fait très mal. Un film uppercut qui assomme
  3. Nul de la première à la dernière image, le film ne mène nullepart vu qu'à la fin - par - = + et ne serre à rien, le mec qui se sacrifie n'existe jamais à l'écran. Par contre je recommande de voir le générique alternatif... on y voit la culotte de l'actrice POUBELLE
  4. Synopsis : Un groupe de jeunes gens prend la route pour se rendre à un mariage. Sur leur chemin, ils sont fait prisonniers dans une mystérieuse ferme, emplie de monstrueuses créatures. Pendant tout le film je me disais : waou comment je me vais me lâcher sur le thread, dire qu'elle sombre merde.... etc puis j'ai regardé le making of, le court métrage de Ti west dispo sur le dvd, bref j'ai pas envie de défoncer le film car oui c'est pas terrible, c'est même nul mais mon petit avis ne changera rien au fait que Ti West fait des films (plutôt bon comme House of The devil et apparemment comme Innkeepers selon Mad) et je trouve que le type sent l’honnêteté et un amour pour le genre qui rend sa carrière attachante. Le nouveau projet auquel il participe s'appelle ABC of death avec une pléiade de réalisateurs Angela Bettis, Hélène Cattet, Ernesto Díaz Espinoza, Jason Eisener, Bruno Forzani, Adrián García Bogliano, Gadi Harel , Thomas Cappelen Malling, Yoshihiro Nishimura, Banjong Pisanthanakun, Simon Rumley, Tak Sakaguchi, Marcel Sarmiento, Yûji Shimomura, Srdjan Spasojevic, Timo Tjahjanto, Andrew Traucki, Nacho Vigalondo, Jake West, Ti West, Ben Wheatley, Adam Wingard
  5. Brazil 2 is dead THE END version 3.0 pour le net en préparation. Cela faisait un petit moment que j'avais arrêté de l'acheter mais je suis toujours triste à l'arrêt d'une publication. Il y avait des choses pas mal mais des fois le ton ne me convenait pas.
  6. bah perso moi ça m’intéresse je trouve que le film soulève des questions intéressantes sur la société de spectacle. La manière semble également très pertinente, à cheval entre le doc / la télé réalité / le film d'auteur. je suis curieux de voir la chose
  7. Florent

    Calvaire -Fabrice Du Welz - 2005

    ouaih mais j'adore les histoires d'amour... qui finissent mal ... en général mais je vais surement le revoir prochainement pour peut être le réévaluer
  8. Florent

    Highwaymen - Robert Harmon (2003)

    Quelle jolie surprise. Une série B qui démarre (ah ah) super bien pour avoir une grosse panne au milieux qui plombe toute la fin du film. Le personnage de l'inspecteur des accidents ne serre pas à grand chose sauf pour le dernier plan et encore. Pendant tout le début, j'avais la banane. Économie de dialogue (voire pas du tout), photo sublime, des plans de coupe très jolies qui renforcent le contraste nature versus machine. Et dès que nous sommes en ville, idem plan de l’environnement urbain magnifié par une réalisation propre et classe. Ce qui m'ennuie le plus c'est toutes les explications sur les motivations, le passé du tueur,...etc Puis le thème est très sympa, bien avant boulevard de la mort de Tarantino, ce tueur en série rapiécé de métal n'est pas si ridicule que ça. Une bonne série B
  9. Franchement de tous les films Coréens que j'ai pu voir c'est un des meilleurs que j'ai vu. Il y a bien le syndrome Sean penn à un moment chez l'acteur principal qui m'a cassé les couilles mais je vais mettre cela sur le compte de la spécificité culturelle. J'aime beaucoup la capacité du film à désamorcer toutes les séquences obligatoires d'un film de serial killer (le tueur qui avoue tout, la course poursuite) pour créer soit de l'humour ou de la tension... bon après il y a des trucs improbables l'accident de voiture, la fille qui se réfugie à l'épicerie pour retrouver l tueur) mais j'étais bien dans le film et le stress est monté comme il faut. C'est propre, un peu long mais bon c'est Coréen. La simplicité, la rugosité de l'ensemble en fait un film très honnête... après de la à le revoir j'ai un doute.
  10. Florent

    Calvaire -Fabrice Du Welz - 2005

    Oh le coup de massue derrière la nuque ! Que c'est long ! et chiant ! putain moi qui est adoré Vinyan je vais devoir le revoir parce que là c'est pas possible. Je comprend enfin tous les rapprochements avec l'oeuvre de Noé, c'est effrayant et c'est bien dommage car certains plans dans la nature (vers la fin) sont très beaux mais l'ensemble ne mène à rien. J'ai regardé le time code au bout de 30 minutes. C'est insupportable vouloir créer une atmosphère en filmant des choses archi vu puis le style striptease/deschiens/Délivrance n'a jamais fonctionné sur moi. Mais je ne sais pas si c'est voulu mais la première heure est super drôle. Sinon le court métrage su le dvd " c'est merveilleux quant on est amoureux" c'est kif kif. en fait je me rends compte que je n'ai rien à dire, que je n'arrive pas à exprimer et à argumenter l'ennui que le film m'a administré mais c'est ( je pense) parce que le film n'a rien à dire. Désolant, du cinéma qui racole SALE PUTE !
  11. Le film m'a déçu malgré un bon casting sauf le rôle de mickey Rourke qui ne sait à rien à la limite du ridicule... genre vous voyez même avec la gueule défoncé je suis un grand acteur / je peux prendre encore des risque, très gênant (comme De Niro dans machete). Visuellement c'est pas intéressant, on dirait un téléfilm et ne me dites pas que c'est pour le côté réaliste. J'invite ceux qui ont le dvd à regarder l'interview d'Edward Bunker par Didier Allouch qui revient et critique sévèrement le film sur justement le coté trop politiquement correct et la réalité retranscrite par Buscemi. Et je partage pas mal ces points de vue. On ne ressent jamais la tension entre les taulards, la tension d'être enfermé, par contre l'ennui lui est bien retranscrit Voilà c'est fade. Lisez Edward Bunker !!!
  12. Je suis assez partagé. La séquence d'ouverture est traumatisante par un déferlement de violence frontale tétanisante. Et en même temps l'histoire aussi triste soit elle est réchauffé ou du moins il n'y a aucune originalité dans le traitement. On touche même au ridicule avec la séquence dans la décharge. J'ai trouvé finalement ça assez touchant et en même temps assez lisse. Si je devais le comparer à lady vengeance je le préférerais pour son côté basique et plus sincère. La haine n'excuse pas tout et les propos de Kerozene sont justes mais je l'ai pas envisagé de la sorte. On est face à la haine d'une mère, à son désarroi, à son incompréhension... face à certains faits divers actuels je pense que beaucoup seraient capables d'exterminer des salops comme le chauffeur de taxi dans le film qui laisse la petite lorsqu'il apprend qu'elle n'a pas assez d'argent pour le payer. Franchement lui il mérite LA MORT ! après les autres se sont des cadeaux d'anniversaire
  13. Enfin vu et à chaque nouveau film de Proyas depuis Dark City je me demande pourquoi il choisit tel script ou tel truc. Je sais bien qu'il n'arrivera sans doute pas à réitérer Dark City mais à chaque nouveau film j'y crois. Je devrais plutôt apprendre à vivre avec ses nouveaux films. Dans tous les cas, deux choses ont retenu mon attention. 1. c'est la violence des scènes de destruction, ça fait mal et ça se voit à l'écran comme l'a très bien dit Stéphane on est loin des standards Hollywoodien (ce qui m'a rappelé la guerre des mondes de Spielberg où on avait droit à des plans vraiment étonnants) 2. c'est comme même incroyable l'optimisme. Moi je veux bien que des extraterrestres viennent nous sauver mais pourquoi ? pourquoi ils feraient des milliards de km juste pour sauver une espèce (enfin 2 avec les lapins). une chouette (hou hou) musique, une photo soignée (limite trop léché), un décor clodo soigné (mur brut / Mac sur parpaing). voilà pas mal
  14. Florent

    The Reef (2010) Andrew Traucki

    moi je fais parti des gens qui ont été traumatisé par Jaws donc tout les titres avec eaux profondes, eaux troubles, open water, je mouille comme... ah non pas celui là ça fonctionne avec moi, j'avais bien aimé Open Water avec cette belle scène de fin. Très curieux de le voir
  15. Bon bin c'est pas terrible. Je vous trouve (à l'exception de Bill Murray) bien gentil envers ce fast film, vite vu vite oublié et ce n'est pas moi qui m'en plaindrait. Quand Mad écrit un film d'horreur un vrai ! je me dis que je dois aimer les faux car là ce qu'il y a de plus "réussi" c'est les aspects comédie car dès que cela se veut un peu horrifique je me suis fait chier. Et puis le fantasme/ rêve autour du chalet est bien pourri, digne d'un film amateur Creep m'avait laissé un certain plaisir, severance m'a emmerdé, la suite ? non merci.
  16. malgré des personnages attachants (franchement voir un clown déguisait en femme, une machette à la main dégommé des franquistes c'est ultra bandant) et très bien interprété, j'ai pas accroché. Trop formaté, trop balisé, une mise en scène trop dans les standards américains. Oui c'est dur car malgré la folie (que je trouve factice) du projet le film est toujours dans un ton au dessus et la séquence finale avec cette musique pour faire monté la tension, l'émotion merde... tout le film tombe dans une certaine facilité. Je ne parle même pas des raccourcis scénaristiques navrants (le clown vivant dans la forêt qui retrouve le franquiste du début, au lieu de descendre la croix pour trouver une sortie, ils montent), des personnages n'ont aucune existence. Comme pour il était une fois en Amérique le sexisme / machisme du film m'a déplu. sinon le générique est très sympa avec la musique. Sinon le film doit être vu juste pour entendre Francis Cabrel chantait en espagnol.
  17. comment peut on faire un film aussi indigeste ! j'en avais marre avant le générique. C'est nul de bout en bout. C'est du convenu, du déjà vu, Il n'y a que l'idée de la fin qui reste intéressante sinon c'est merdique. Rien à sauver même pas ce "moment de bravoure" , le long plan séquence qui amène la découverte du premier meurtre enfin je ne suis pas sûr que cela soit pas monté de telle manière pour nous faire croire à un plan séquence alors qu'en fait non. Elijah wood doit être la star des pédophiles, un adulte dans un corps d'enfant, il est pas crédible une minute. Parler de mathématique en assenant des conventions d'une platitude affligeante. Du cinéma commercial gerbant qui se veut intelligent, sans originalité, sans âme, Iglesia s'est violé en réalisant ce film.
  18. Bon j'ai cherché un thread et j'ai pas trouvé donc pas tapé si il existe déjà... Synopsis : Aprés des années de prison, Norman Bates est de retour dans le Bates Motel. Lorsque une séduisante jeune femme se réfugie dans le motel pour échapper à un terrible secret, Bates saisit enfin sa chance pour une nouvelle vie... Après un second épisode qui se résume très vite à MEG TILLY et son jeans Rica Lewis lui moulant sa culotte TEX 100% coton d'un blanc immaculé comme des mozzarellas, l'épisode 3 rehausse de fort belle manière la saga avec une mise en scène très soignée, une photo splendide (j'ai pensé à Argento à plusieurs reprises même au niveau du sadisme avec le meurtre dans la cabine téléphonique), le score de Carter Burwell est génial (quelqu'un l'a dispo ?) et je dirais qu'il y a même du Lynch avec la séquence entre Jeff Fahey et la fille dans sa chambre, lui éclairant avec une lampe de chevé. Le scénario est original, voir dans le personnage de Bates, un ange de la mort devenir un ange miséricordieux auprès d'une nonne en proie au doute et au désir de chair fallait le faire ! et puis la fin avec ce regard caméra... glaçant. En résumé une mise en scène inspirée, des acteurs parfaits, une ambiance étrange et envoutante drapé en slasher movies, que du plaisir !
  19. pour une fois que l'on est d'accord avec moi il faut qu'on écorche mon prénom
  20. SASHA GREY + CHELSEA WOLFE = [vimeo]24515353[/vimeo]
  21. je crois qu'elle a déjà son spécialiste des pelouses... ouais elle est facile sinon le film est une petite bombe. Froid, glacial, c'est noir, c'est dur, c'est grand... hum c'est bon !
  22. Dario Argento est une pute. Une vielle pute que l'on regarde avec pitié tant jadis il avait su nous donner plaisir à regarder ses formes généreuses et à nous offrir des grands moments de cinéma. Mais aujourd'hui, j'ai plus trop envie de forniquer avec lui. Dario semble vidé, aux creux de la vague, essayant désespérément de réactiver des symboles de sa gloire passé mais j'avoue que plus je découvre ses films modernes et plus j'ai envie de violer le souvenir des années passées. Malgré son charme italien, Dario ne fait plus bander et ce n'est pas ce film là qui fera changer ma position envers lui. Il ne fait que racoler en évoquant des lointains souvenirs et à chaque film on croit à un retour fracassant qui se solde pas une déception... une de plus. Comment ne pas ricaner face à ce plan ou Asia embrasse un mérou ? ces dialogues insipides et surtout drame parmi les drames, une mise en scène télévisuelle, anodine, sans âme et sans énergie. Heureusement comme souvent avec les vieilles putes, on ferme les yeux sur ces dérapages car elles sont capables de moment de grâce, de séquences abouties (le plan ou Asia se recouvre de peinture et toute la séquence après la mort de Marie qui évoque Hitchcock) Le plus intéressant dans le film est l’ambiguïté avec sa fille, violé à 2 reprises. Le premier est annoncé plus tôt par le tableau de Botticelli, la naissance de Venus, déesse de l'amour... hum un brin douteux comme juxtaposition. Le deuxième en découlera tout l'axe de la fin du film : la transmission du mal. C' était une thématique intéressante surtout joué par une Asia plus inspirée. Car dans la première heure elle est vulgaire comme son père sauf que étrangement ça passe mieux avec elle. Il y a quelque mois à la cinémathèque de Paris, une exposition revenait sur les blondes et les brunes, le film aurait mérité d'être dans la rétrospective tant Asia dépeint avec brio la schizophrénie qui l'habite à travers sa chevelure. Alors soyons humains, prônons l'euthanasie pour les réalisateurs des années 70 (je pense à Monte Hellman, Carpenter, Romero) car ils semblent tous déconnectés de leur cinéma et s'agitent comme des poissons hors de l'eau essayant d’attraper une dernière gorgé d'oxygène.
  23. j'avoue que j'adore El Topo (pervertissement du genre, en l'occurrence le western) mais Fando et Lis (comme la montagne sacrée) il y a des images qui marquent une vie. Au hasard, le serpent qui sort de l'entre jambe d'un bébé en plastique... enfin d'un côté je n'ai vu El Topo qu'une fois Sinon pour les niçois La montagne sacrée passe à la cinémathèque en juin
  24. La réputation du film qui le précède parait un peu usurpée aujourd'hui. Si le prix à Cannes pour Hurt semble mérité, le film n'est pas vraiment transcendant, ni transcendé par son propos et sa réalisation. Il est touchant par instant mais je l'ai déjà oublié un mois après sa découverte... et pourtant qu'est ce qu'on m'a cassé les oreilles avec ce film.
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