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The fountain - Darren Aronofsky (2006)


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  • 1 month later...
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Le film a semble-t-il été très mal accueillit à Venise où il a été hué..

 

Source: http://www.worstpreviews.com/headline.php?id=827&count=0

 

It may have been six years in the making, commanding a budget of £18m and even featuring his fiancée Rachel Weisz in the starring role. But the director Darren Aronofsky's long-awaited new film The Fountain was nevertheless roundly booed when it previewed at the Venice Film Festival.

 

The reception will prove particularly hard to take for Weisz, who, since she won an Oscar for her role in The Constant Gardener, has become one of Hollywood's hottest properties. However, she was putting a brave face on it when she told reporters: "I think it's wonderful that this film is so different. I would love to work with Darren again."

 

But those in the audience were left perplexed by her latest film's sweeping ambition, racing across history and 600 years in to the future as one man, played by Hugh Jackman, goes in search of a cure for the cancer that threatens to kill his wife - Weisz's role.

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  • 1 month later...
  • 4 weeks later...
  • 4 weeks later...
:rlv: visiblement !

 

Ah parce que c'est un critère.

Non.

C'est trop tôt.

Revenons dans 10 ans.

 

Dans un magasin de chaussures si la vendeuse vous fait essayer 1000 paires combien vont vous plaire vraiment?

On devrait faire essayer 1000 paires de pompes à tous les critiques, avant de prendre leur avis.

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  • 2 weeks later...

Z'êtes d'humeur ou z'êtes pas d'humeur ?

Parce que votre situation personnelle actuelle va forcément influer sur votre perception du film. Il y a 6 mois j'aurais peut-être fait un rejet total, là j'ai adoré.

 

Alors déjà contrairement à ce qui a été dit à droite à gauche le film est limpide, en tout cas j'ai trouvé. [spoilerS] Pour moi il n'y a qu'une histoire réelle, celle qui se déroule dans le présent. L'histoire au temps des conquistadors n'est que la mise en image du roman d'Izzi, et les passages "futuristes" sont fantasmés par Thomas à la suite de ses conversations avec sa femme sur les mythes maya [spoilerS]

 

Après ... pffff ...

 

Après on peut parler de la technique, dire que même si il est flagrant que le réalisateur a dû revoir ses ambitions sérieusement à la baisse après que son budget ait été divisé par trois, le film offre tout de même des séquences à tomber par terre tellement elles sont sublimes.

On peut aussi dire que les deux acteurs principaux sont bouleversants, que Hugh Jackman étonne, que Rachel Weisz est décidemment trop belle pour être vraie, et que c'est vraiment une chance que Brad Pitt se soit cassé du projet parce qu'il n'y aurait pas eu sa place.

On peut évoquer la musique sublimissime, trop envahissante selon certains. Mes couilles, elle fait partie intégrante du film, comme les effets sonores d'ailleurs. Priez pour aller le voir dans une salle avec une acoustique correcte, comme ça a été mon cas. C'est une sacrée expérience.

Et puis bon, on peut parler de l'histoire, finalement si simple, juste une histoire d'amour absolu entre une femme qui a accepté l'idée de sa mort et un homme qui ne veut pas l'admettre.

 

Mais au final on s'en fout de tout ça, comme on s'en fout de savoir combien de pinceaux a utilisé un peintre pour faire son chef-d'oeuvre, ou si un poète a écrit son recueil avec un Bic ou un Mont-Blanc.

On regarde et c'est tout.

 

Faut le voir en salles celui-là, par contre, pas en DivX pourri !

Modifié par Invité
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je ne sais pas trop quoi en penser, beaucoup aimé pas forcement tout compris (au niveau des enjeux, l'histoire en elle meme se suit plutot bien), score magnifique, mise en scène bien plus posé que requiem for a dream (un peu decu sur ce coup) mais tout aussi juste, surpris par le rythme du film plus posé aussi voir mou et/ou repetitif,

j'ai vraiment envie de le revoir pour avoir un avis plus franc, mais yabon en tout cas.

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SPOILERS -----SPOILERS-----SPOILERS----

 

Le film m'a fait penser à un énième ersatz d'une énième love story complètement gnangnan mais (magie du cinéma) qui se laisse véritablement apprécier si on plonge dans le film. Si l'émotion est présente aprés quelques plans inhérents à ce genre d'histoire c'est que quelque part le réal est bon.

Les scénes du passé violentes graphiquement et celles du futur new age finissent de tisser cette love story extensible sur plusieurs siècles.

Malgré toutes ces images dépaysantes (passé pluvieux, présent enneigé et futur lumineux, j'ai ressenti une impression permanente d'étouffement, une sorte de claustrophobie ambiante ) Voulu de la part de l'auteur ?

Le budget aurait évidemment gagné à être plus conséquent.

Bref, un bien beau film.

J'attends le 2 avec impatience

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Heureuse surprise, mon cinéma le passait en VO...ça m'a permis d'apprendre que les Espagnols parlaient anglais. Ce qui en soit beaucoup plus drôle qu'un Mel Gibson tournant un film en araméen.

 

 

Le film en lui même oscille entre le fascinant et le grotesque SPOHugh Jachman se transforme en plante verte ILER. C'est très orienté sur les images, au point que l'histoire passe un peu à la trappe. Il y a d'ailleurs beaucoup de répétitions pour bien faire comprendre au spectateur ce qui se raccroche à quoi.

 

J'en suis pas sorti plus chamboulé que ça, mais surtout intrigué quand au propos du film. Et un peu frustré que The Fountain ne se soit pas déroulé intégralement au temps des conquistadores.

 

 

Hugh Jackman est excellent.

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Les deux grands films de cette année 2006 ont en commun de raconter une histoire d’amour impossible dans l’espace (et le) temps.

Miami Vice et The Fountain sont soutenu, outre une magnifique réalisation, par un fil scénaristique très fin et précieux. Un fil d’amour tissé entre des êtres dont la vie et le destin semble inéluctablement les séparés.

The Fountain a été un choc bouleversant. Au-delà de l’aspect trip new age métaphysique mystique, les questions amoureuses développées n’en sortent que plus belles. Mon côté fleur bleue comme pour Miami Vice fut touché par la délicatesse de l’interprétation par le soin du réalisateur à toujours tenir son film, son fil narratif et offrir une fantastique histoire d’amour.

Cela fait plaisir de voir des films (The Prestige, Les infiltrés) qui proposent au spectateur une narration un peu plus complexe. Et peu importe si certains éléments restent obscurs, la magie de The Fountain est de nous transporter dans un autre monde. Le film nous demande autant de présence et de concentration que de « laissez aller » et d’absence. Darren Aronofsky demande à notre esprit de s’élver, d’oublier la pesanteur de notre monde. Un monde qui est l’extacte replique du notre mais vu à travers le prisme du suréalisme, du fantastique, du rêve…certain diront (les critiques lu sont toutes assassines envers le film) la niaiserie, la stupidité, la facilité, la mieverie…

 

En ce qui me concerne The Fountain a ouvert une petite porte vers un monde où le spirituel flirte avec la magie, où l’amour rime avec toujours.

 

Un des grands films de l’année

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Quel film dit donc

J'en suis ressortis bouleversés.

Rien a rajouter a ce qui a pus être dit avant, c'est limpide, beau et intelligent.

 

Ca fait plaisir d'avoir un film qui titille notre cortex tout autant que nos sens.

 

Visuellement c'est splendide, le score de Mansell (toujours accompagné du Kronos Quartet) est effectivement ÉNORME !!

 

A noter que le générique de fin laisse apparaitre un nombre impressionnant de français ainsi qu'une quinzaine d'entreprise de SFPX (surement pour réduire les couts)

 

Quel film mes amis !!!

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Vu jeudi soir, et j'ai laisse decanter un peu avant d'en parler (tout en faisant tourner en boucle la formidable BO, que je me suis empresse d'aller acheter apres visionnage du film).

 

Donc, le chef d'oeuvre espere (par moi-meme) depuis l'annonce du projet se revele finalement etre un...pur chef d'oeuvre (ouf !) et probablement (a mes yeux en tout cas) le film de l'annee 2006.

 

Un film dont le propos est beaucoup plus limpide que ce que certains commentaires lus ici ou ailleurs laissaient presager.

De meme que la fameuse construction passe/present/avenir du recit, ([spoilerS]qui en plus s'avere fausse de mon point de vue on a surtout une situation relle et deux situations fantasmees par chacun des protagonistes[/spoilerS]) pas si casse gueule que cela.

Mais il est vrai que le pitch, la bande annonce ou meme les photos d'exploitation laissaient augurer d'un film epique et rageur.

 

En fait non, Aronofsky nous livre ici plutot une sorte de fable, un film sur l'amour mais aussi sur la vie et donc la mort ([spoilerS]et apprendre a faire le deuil de l'etre aime, accepter la mort en tant qu'etape du cycle de la vie[/spoilerS]).

Un propos simple certes, rebattu par ailleurs, qui evoque le Solaris de Tarkovski ou le 2001 de Kubrick, mais presente ici avec une parfaite maitrise de la forme et du fond, le tout magnifiquement mis en images et illustre musicalement par une BO splendide (Mansell dirige le Kronos Quartet et Mogwai, ce qui donne un ensemble a la Godspeed/Silver Mount Zion absolument parfait).

 

Rachel Weisz y est encore plus belle que d'habitude, car splendidement filmee par son compagnon, tandis que Hugh Jackman livre une prestation tres emouvante (et apres sa bonne composition dans "The Prestige", je vais commencer a croire qu'il peut etre un tres bon acteur).

 

Alors oui, je comprends que ca puisse paraitre trop clinquant, digne d'un "clippeur" pour certains, leger dans le propos et trop extravagant/pompeux dans sa mise en scene.

Mais c'est incroyablement beau, j'ai ete tres receptif a ce film concis, precis et surtout maitrise par son realisateur (rien a enlever, rien a ajouter a son film) a tel point que ca force le respect.

 

Oui, pour moi, Aronofsky est un genie. Et merci a lui pour ce film merveilleux.

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Un gros film de pouffiasse.

Sans doute la plus grosse nouillerie, terrible fumisterie que j'ai vu ces dix dernières années.

Admirable de connerie.

00

 

J'ai l'air de rigoler, mais j'étais quand même fumasse à la sortie d'avoir laissé 10 euros pour voir cette daube... et c'est un sentiment que je ressens rarement, même pour les pires navets.

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