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L'Ange De La Vengeance - Abel Ferrara (1981)


Le Zombie venu dailleurs

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L'ange de la vengeance de Abel Ferrara est 1 bon film dérangeant qui nous montre comment une femme peut tomber dans la folie après avoir été violée par plusieurs dégénérés. Violent et malsain, le premier chef-d'oeuvre du big Abel. A voir absolument. 18/20

 

SYNOPSIS :

 

Victime de deux agressions sexuelles dans la même soirée, une jeune couturière muette tue son second violeur puis se transforme en justicière et exécute les hommes qu'elle croise la nuit dans les rues de New York.

 

 

 

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Plus le temps passe, plus les films de Ferrara m'emmerdent, à l'exception de DRILLER KILLER qui déchire tout !

Et L'ANGE DE LA VENGEANCE, malgré ses passages définitivement glaçants, son imagerie blasphématoire et sa violence crue ne parvient pas (plus) à capter toute mon attention sur sa durée. Dommage.

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Quoi, mais c'est tous moisi Driller killer !

.

 

Je n'ai jamais compris pourquoi tout le monde le trouve moisi, je pense sincèrement que c'est un bon film, certes fauché et maladroit, mais qui dégage un je ne sais quoi d'unique et malsain qui en font un film à part... qui a le mérite de ne pas me faire chier comme les autres Ferrara- pas revu NEW YORK 2H DU MAT depuis très longtemps, il faudrait que je le fasse, mais je me suis revu des passages de KING OF NEW YORK il y a peu et c'est franchement limite.... Le "King" qui règne sur la grande pomme avec 3 hommes de main et deux putes, c'est risible.

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Le "King" qui règne sur la grande pomme avec 3 hommes de main et deux putes, c'est risible.

 

MORTEL

Si un jour je crée une boite d'édition de DVD je t'engage pour faire les résumer des films.

 

Si j'étais de surcroît responsable d'une entreprise de ce type possédant un nom qui tend au suicide commercial (genre avec un chat) je t'engagerais DEUX fois !

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  • 3 weeks later...

Thana, une jeune fille muette travaillant dans un atelier de couture, est violée à deux reprises dans la même journée. Une première fois dans une ruelle et la seconde fois par un inconnu qui s’est introduit chez elle. Après avoir tué le cambrioleur, découpé son corps en morceaux et stockés ces derniers dans son réfrigirateur, elle s’enfonce peu à peu dans une spirale meurtrière et se met à pratiquer une vengeance (presque) aveugle.

 

Je fais partie de ceux qui n’ont pas détesté Driller Killer, mais il faut avouer qu’avec Ms 45, Ferrara boxe dans une autre catégorie. Si il nous confirme qu’il sait filmer les bas-fonds de New-York comme personne, son second (troisième) film est aussi beaucoup mieux réalisé et surtout autrement plus efficace. L’ambiance y est glauque et oppressante. La sublime Zoë Tamerlis est parfaite dans le rôle de cette femme traumatisée qui va perdre petit à petit a raison, à l’image des sacs poubelles contenant ce cadavre démembré dont elle se débarrasse progressivement. Le final tout simplement hallucinant… et ces accords de jazz inoubliables...

 

JE VEUX UN DVD UNCUT DE CE FILM.

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Bof bof.......BOF !

Un rape and revenge à l'impact bien ravagé par le temps, à la différence d'un I spit on your grave par exemple, toujours aussi percutant.

Le film de Ferrara s'oublie rapidos.

 

Quant à Driller Killer, le côté arty-junkie-poseur-undergroundo-prout-prout me file dangereusement de l'urticaire.

Un pétard mouillé en ce qui me concerne.

Ou une perçeuse rouillée pour rester dans le ton.

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Je vous trouve franchement sévères avec ce film qui est plutôt convaincant comme tentative d'"exploitation" de la part d'Abel Ferrara.

Alors evidemment tout le côté un bricolé qui faisait le charme tout arty d'un "Driller Killer" a disparu mais en lieu et place, on a droit à une peinture urbaine hostile et nocturne des plus réussies je trouve...

et puis l'interprétation de la cultissime Zoe Tarmelis aka Zoe Lund -l'égérie par excellence- réhausse un ensemble d'une affirmation personnelle intéressante, toute l'imagerie du cinéaste est là.

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