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Prison on fire de Ringo Lam (1987)


Dragonball

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+ 1 pour "Full Contact" je l'avais vu sur grand écran, et quel pied mes aieux!

 

Sinon "School on fire" m'avais un peu deçu (car en plus très peu de scènes se passent dans l'école qui n'est même pas en feu!). Pour "Prison" je ne savais pas qu'il était classé Cat3, mais ça n'en fait pas moins un excellent film.

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+ 1 pour "Full Contact" je l'avais vu sur grand écran, et quel pied mes aieux!

 

Sinon "School on fire" m'avais un peu deçu (car en plus très peu de scènes se passent dans l'école qui n'est même pas en feu!). Pour "Prison" je ne savais pas qu'il était classé Cat3, mais ça n'en fait pas moins un excellent film.

Même si la prison, là aussi, n'est pas en feu !

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  • 1 month later...

Ringo Lam est un des réalisateurs hongkongais des 80-90's les plus intéressant (tout juste après Tsui Hark et John Woo) de par sa violence brute de coffrage et sans concessions.

 

Le tétralogie des On Fire est sans doute la phase la plus marquante de sa carrière (ma préférence va pour School On Fire car plus brutal et plus nihiliste).

 

Full Contact est aussi un incontournable mais un peu à part dans sa filmographie. Plus débridé, plus vulgaire et blindé de mauvais goût.

 

Même ses films mineurs sont excellents (Victim, The Suspects, The Adventurers,). Et n'oublions pas qu'il a signé l'un des derniers gros polars pré-rétrocession, à savoir l'énormissime Full Alert. Bref, c'est le réalisateur hongkongais qui manque le plus à l'ancienne colonie (même si Replicant et In Hell sont relativement sympathiques).

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même si Replicant et In Hell sont relativement sympathiques.

 

Tout a fait (enfin pour Replicant, pas vu l'autre) mais il est vrai que c'est loin loin de ce qu'il a fait à HK

 

Full Alert c'est énorme mais ma préférence va a Full Contact que je trouve parfait

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  • 4 weeks later...

Bon, ça chie dans la colle. Le DVD de School on Fire semble avoir été reporté à plus tard.

 

Il n'est plus sur le listing de YesAsia et, d'après une news du site asiandvdguide.com, n'est pas dans la liste des premiers titres Fortune Star édités par Joy Sales.

 

En attendant, les specs des premiers titres sont plutôt rassurantes : format respecté, 16/9e, mono d'origine, sous-titres anglais corrigés.

 

source : http://www.asiandvdguide.com

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  • 1 year later...

Un film au crescendo hallucinant. Alors que la moitié du film se déroule dans un ton tantôt « comique » (enfin on esquisse quelque sourires face aux trucs habituels avec pas de mal de gags aux toilettes), tantôt sévèrement violent à coup de tatanes. J’ai été estomaqué par cette fin ou Chow Yun Fat devient complètement fou, la violence ne cesse quasiment plus, et ce moment ou au ralenti il recrache ce morceau de chair, avec cette éjaculation de sang, c’est super beau et très tétanisant.

 

Au-delà de l’intérêt (prison, violence carcérale, triade & co) j’ai beaucoup aimé le traitement claustrophobe de Hong Kong par la juxtaposition à certain moment du film entre des images de barbelé, de barreaux avec des prises de vues des buildings. La lecture peut s’avérer primaire mais l’effet est indéniablement réussi. Déjà rien que le titre avec la ville incrusté témoigne du véritable travail de Lam dans le film qui est pour moi la volonté de montrer à quel point l’ancienne colonie britannique vivait quasiment en vase clôt, comment la situation précaire des plus modestes étaient gangrené par les triades (drogues, prostitutions,…). Ceci renforce l’idée même que les personnages hors de la prison sont comme même prisonnier de leur territoire exigu.

 

Une idée que le volume 2 renforce allègement car Chow Yun Fat s’évade, cavale comme un fou, boit du sang de serpent, mais retourne inlassablement vers la prison. Au fond une idée qui annonce l’angoisse d’être un étranger dans son pays par la rétrocession à la Chine.

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  • 11 years later...

Enfin vu le premier volet (ayant enfin déniché le coffret HK à prix correct)

 

Un bon moment. Assez classique, peut être plus "sage" que ce à quoi je m'attendais, mais bien foutu, un petit côté à l'ancienne dans cette histoire de taulards, d'amitié qui se crée, et les figures classiques du genre (rivalité, gangs, méchants matons, ...). Le tandem Chow Yun Fat et Tony Leung fonctionne à merveille, le film prend son temps mais arrive à nous rendre attachant ce petit monde, évitant même assez adroitement certains aspects un peu manichéens qu'on peut craindre dans la première demi-heure. Pas un classique immanquable, mais un solide essai du HK des 80's, un bon Ringo Lam, un bon petit film !

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