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American Crime Story : The assassination of Gianni Versace


DPG

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American Crime Story est une série d'anthologie, construite en saisons indépendantes. Chaque volume fait référence à de différents évènements dramatiques, étant d'origine naturelle, ou encore d'origine criminelle.

 

Après une saison 1 sur OJ SIMPSON, on a eu la S2 sur le meurtre de Gianni Versace.

 

J'ai commencé à mater (3 épisodes), et c'est pas mal. J'aime bien l'ambiance du Miami 90's, les couleurs, les néons, énorme boulot sur la déco, les costumes. L'histoire fonctionne avec bp de flashbacks, les persos sont intéressants, on va voir où ça mène, mais ça part pas mal !

 

Par contre, le gros WTF c'est le cast intégralement hispanique pour jouer des italiens ! Autant sur Ramirez en Versace, ça ne gène pas, mais Penelope Cruz et son accent spanish à couper au couteau, ça le fait moyen en Donatella...

 

Bref, à suivre !

 

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J'avais mate 4 episodes de celle sur OJ, et franchement, c'est grotesque cette serie. On dirait limite du cartoon tellement les acteurs sont mauvais, mais sans le cote excessif de la real qui pourrait faire passer le tout (a la Oliver stone? ou Bay?). J'imagine que la saison 2 est pareille.

Quand au casting, comme disent certains thailandais te vendant une copie Pif gadget a la place d'une rolex : Same same but different.

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  • 3 weeks later...

Fini hier, et c'était pas folichon...

 

En fait, ça ne parle quasiment que du tueur (Andrew Cunnanan), à travers un paquet de flashbacks sur tout ce qu'il a pu faire avant. C'est pas fondamentalement mal foutu, mais bon, on en a pas grand chose à foutre... A la limite, je sauve l'épisode 8, sur sa jeunesse, avec un père encore plus frappé que lui, petit magouilleur genre "Le loup de Wall Street du pauvre", tout aussi mytho que son fils... Mais sinon, rien de bien fou à se mettre sous la dent, c'est propre, carré, j'aurais tout oublié dans 3 jours !

 

Ah et sinon, énorme crise de rires qd j'ai vu que Ricky Martin avait nommé à je sais pas quel Emmy Awards pour ça !!!! On doit le voir 5 mn en mettant bout à bout toutes ses apparitions ds la série et il tire toujours la même gueule !!!! A ce compte là, autant nommer Gunther pour "Friends" ou Clint Eastwood dans "Casper" !

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Ah moi au contraire je met clairement ça dans ce que j'ai vu de mieux cette année

C'est pas du tout une série sur Versace, qui doit avoir une demi-heure de présence à l'écran, mais une saga funèbre, pop et malaisante sur une sorte d'American Psycho gay dont on vit la chronologie à l'envers, et mettant en lumière toute l'homophobie qui bouffe la société américaine de l'intérieur. Vu la structure, ça occasionne quelques redites mais ça reste un angle surprenant. Pour le peu qu'elle apparaît, Judith Light est fabuleuse et Darren Criss est vertigineux. Y'a quand même des épisodes d'une tristesse et d'une maestria incroyable, et la b.o est

Malgré le fait qu'il enchaîne, je trouve que le boulot de Murphy s'améliore de séries en séries (et c'est pas le fabuleux Pose qui contredira ça)

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  • 4 months later...

La s2 étant depuis peu dispo sur Netflix, j'en ai profité et plussoie chaque mot du mess précédent.

Je ne suis pourtant vraiment pas client de ce que fait généralement Ryan Murphy mais trouve, en l'occurrence, son style parfait pour le récit. Instaurant une ambiance à la fois glauque et kitsch. Jusqu'à en faire cette odyssée, en fin de compte, surtout incroyablement triste.

Quant à Darren Criss, que je ne connaissais pas, il est juste bluffant dans un rôle pourtant pas évident : parvenant, sous ses allures de geek effacé à susciter un vrai inconfort.

Le seul bémol tient peut-être en une durée un peu trop longue qui délaye par endroits plus que de raison et oblige, effectivement, à une certaine redite - six épisodes resserrés au lieu des neuf existants et c'eut été idéal.

 

Question, sinon, concernant la bio du vrai Cunanan :

il est fait état, sur sa page Wiki, d'abus qu'il aurait subi de la part de son père. Ce qui n'est étonnement pas ici mis en avant. À peine y est-il fait allusion dans une scène de l'ép8. Une raison pour ça ? Murphy n'ayant pourtant jamais été particulièrement frileux sur aucun sujet, on a du mal à imaginer une auto-censure...

 

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Alors la scène auquel tu dois penser (lorsque le père d'Andrew vient lui parler avant de se coucher) est clairement dans un sous-entendu mais...c'est quand même assez clair malgré tout et je trouve que ça suffit amplement plutôt de d'insister avec une scène méga-glauque (où on aurait accusé Murphy d'être racoleur...)

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Certes. Mais c'est presque étonnant de la part d'un Murphy qui ne nous a pas forcément habitués à tant de réserve.

Sinon, curieux de voir ce que pourra donner une s3 qui, si j'ai bien compris, prendra pour toile de fond la Nouvelle-Orléans aux prises avec l'ouragan Katrina - traitement dont on peut déjà parier qu'il n'aura que peu à voir avec celui du Treme de David Simon.

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