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Les carrières prometteuses les plus décevantes ?


DPG

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Tiens, petite idée qui m'est venue en étant sur le topic de Gans.

 

En soi, je ne parle pas spécialement de sa carrière, qui vaut ce qu'elle vaut, mais que je trouve homogène et d'un niveau global qui se tient.

Mais je trouvais juste triste (surtout pour lui) qu'il n'ait finalement fait que 4 longs en plus de 20 ans, ce qui est qd même peu ! (surtout qd ton 2e film a fait 5millions d'entrées !). Alors je sais qu'il a bossé sur plein de trucs qui ont pas abouti, qu'il a sans doute ses exigences, ses envies, qu'il veut peut être pas tourner juste pour tourner, comme un Siri qui se retrouve à faire un remake de Fernandel avec Dubosc ou autres... Mais bon, je trouvais ça peu...

 

Mais du coup, le sujet du topic serait plutôt de voir quels réals selon vous avaient des débuts de carrière prometteurs (disons qd même deux trois films, pas un seul), mais qui ont ensuite déçu, déçu, déçu... Je ne parle pas non plus d'effondrement de fin de carrière type Argento ou De Palma, ni de mecs qui ont eu une période mortelle et qui ont sombré ou disparu (genre John Woo), mais de mecs qui ont suscité une attente, des espérances, en début de carrière, avant qu'au bout d'un moment on se dise que bon, ben finalement, pas trop hein...

 

Bon, je commence, premier(s) nom qui me vient en tête : Les frères Hugues !

 

Ca part très fort avec "Menace 2 Society" à 21 ans ! Ça enchaine bien avec un "Dead Presidents" top également ! Petite parenthèse récréative avec "American Pimp", pourquoi pas. Puis "From Hell", un peu décevant, même si tout n'est pas raté... Puis ça s'enlise, ça s'éternise, tout ça pour un "Livre d'Eli" et un polar que tout le monde a oublié. Au final, Menace 2 Society a 25 ans, et bon, on peut pas dire qu'ils se soient spécialement installés ds le paysage ciné mondial....

 

Je pense aussi à David Twohy. Ca commence avec des séries B sympas. Puis finalement, aujourd'hui, le mec a plus de 60 ans et on a l'impression qu'il a fait que la trilogie "Pitch Black / Riddick" quoi, alors que je pense qu'il en avait un peu plus sous le pied...

 

On pourrait parler d'Alex Proyas, mais au final, même "The Crow", je pense que la moitié des gens trouve ça irregardable...

 

Sinon plus près de nous, on peut qd même trouver la carrière de Kassovitz décevante... Disons qu'à l'époque d'Assassin(s), je me disais que 20 ans plus tard, le mec aurait fait un peu plus de trucs marquants quoi...

 

Dans un autre registre, la carrière de Kevin Reynolds pourrait avoir une meilleure gueule je pense... Amenabar, c'est encore tôt pour parler d'échec, et sa filmo a une bonne tenue globale, mais on peut pas dire qu'il enchaine les projets à la vitesse de l'éclair...

 

A vous !

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Spielberg ...

Le mec que des chefs d’œuvres et bam depuis 15 et Minority Report ...

 

Arrête-moi si tu peux, Le Terminal, La Guerre des mondes (ok celui là top), Munich (top aussi), Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, Les Aventures de Tintin : Le Secret de La Licorne, Cheval de guerre, Lincoln, Le Pont des espions, Le Bon Gros Géant ... le gadin quoi

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J'ai un peu de mal à adhérer au fait qu'une carrière peu fournie soit décevante. Je préfère une carrière de 4 bons films qu'une de 50 dont il faut écarter pudiquement les trois quarts.

 

Sinon j'ai du mal à accrocher à ce que fait Peter Jackson depuis le Retour du Roi (voir depuis après Fantômes contre Fantômes) et aimerais bien le revoir revenir à des trucs un peu fun.

Modifié par Invité
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De voir évoqués les frangins Hughes me fait, du coup, penser à leur contemporain John Singleton.

 

Lui aussi avait démarré très fort avec Boyz n the Hood, film emblématique de son temps. Avant de décevoir avec Poetic Justice et Higher Learning.

Puis se diriger vers un cinoche mainstream où se côtoie le sympa comme le moins bon (Shaft, 2 Fast 2 Furious, Four Brothers).

Et bifurquer depuis quelques années vers la télé...

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J'ai, dans le genre, toujours aussi trouvé étonnante la dégringolade de certains réalisateurs venus des antipodes (même si, dans leur cas, le passage à Hollywood explique, peut-être, bien des choses).

 

Russell Mulcahy, Simon Wincer, Geoff Murphy, Lee Tamahori, Alex Proyas (et j'en oublie sans doute) qui ont, tous, signé des premières oeuvres marquantes et originales.

Avant d'ensuite, tous, dériver vers quelque chose d'étonnement convenu, entre titres quelconques, suites inutiles et DTV anecdotiques dont aucun, de près ou de loin, n'a jamais approché la force de leurs essais de jeunesse.

Curieux...

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Étrangement (?), le premier auquel j'ai pensé c'est Aja : sa carrière n'est pas terminée certes, mais y'a quand même un virage très rude juste après son Hills Have Eyes.

Sinon je citerais Bernard Rose, Lucky Mckee, Eli Roth, Rob Zombie, Eric Valette, Jaumet Collet-Serra, David Slade, Victor Salva (reste à voir son Jeepers Creepers 3), Marina de Van, Nacho Cerda...

 

Pas mal de réalisateurs mettent beaucoup d’énergie dans leurs premiers films, et s'effondrent un peu sur eux-mêmes par la suite, vieillissent très mal, ne supportent pas (comme signalé plus haut) le passage à Hollywood dans le cas de réalisateurs non américains. Après je vois qu'on cite Spielberg ou McTiernan mais ils ont quand même un bon paquet de grands films à leur actif : vieillir et ne plus faire les choses correctement (ou tomber dans le self-conscious) c'est plus courant que l'inverse. Et là je pense à des mecs comme Welles, Huston ou Kurosawa qui ont magnifiquement étirés leur filmo, mais ça devient vraiment rare...

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Lee Tamahori. Après Once Were Warriors, il a été assimilé par le système.

 

Et par les trottoirs !

 

Ah mais WHAT

ee Tamahori, le réalisateur du James Bond "Meurs un autre jour", a été arrêté le mois dernier à Los Angeles pour racolage et prostitution alors qu'il était travesti en femme.

 

MISE A JOUR - Lee Tamahori a accepté ce 22 février de plaider coupable d'effraction en échange de l'abandon des poursuites pour racolage et prostitution. Le réalisateur a été condamné à trois ans de mise à l'épreuve et devra effectuer des travaux d'intérêt général à Hollywood, dans le cadre de l'embellissement du quartier. Avec AFP

 

Situation embarrassante pour le cinéaste néo-zélandais Lee Tamahori, pris en flagrant délit de racolage à Hollywood. Le réalisateur du dernier opus de la saga 007, âgé de 55 ans, a été arrêté le 8 janvier dernier, habillé en travesti, alors qu'il proposait des relations sexuelles contre de l'argent à un policier en civil. Le parquet avait déjà enregistré deux plaintes contre le cinéaste, arrêté sur le boulevard de Santa Monica à Los Angeles, pour les mêmes délits.

 

Le réalisateur doit être formellement inculpé le 24 février prochain devant un tribunal de Los Angeles. Il est actuellement libre après avoir acquitté une caution de 2 000 dollars, selon le bureau du procureur. Son avocat Mark Geragos, habitué à régler les litiges des célébrités, n'a pas souhaité s'exprimer. Si Lee Tamahori est condamné, il encoure une peine de six mois de prison ainsi que 1 000 dollars d'amende.

 

(c'était il y a presque 10 ans)

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Lodge Kerrigan. 3 films marquants Clean, shaven, Claire Dolan et surtout Keane (un de mes films de chevet). Un film invisible Rebecca H: return to the dogs (apparemment pour de bonnes raisons ) et un film disparu pour cause de négatif endommagé In god's hands. Depuis il cachetonne à la TV. I faut quand même que je regarde la série Girlfriend experience vu qu'il a réalisé la moitié des épisodes et qu'il paraît que c'est très bien

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