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Double Détente - Walter "GOD" Hill (1988)


Basculo Cui Cui

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PAREIL VA TE BATTRE LE ZGEG A L'AIR DANS UNE SALLE CARRELéE HUMIDE AVEC LES COUILLES QUI CLAQUENT A CHAQUE COUP ENVOYé, AVEC DANS LA TETE QUE TU PEUX TE FAIRE ECRASER UNE BURNE SUR UN CARREAU BLANC A TOUT MOMENT. VIGGO IL A LA MECHANTE CLASSE DANS CE FILM.

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VU HIER EN BUVANT DE LA SMIRNOFF ICE...

 

LA MEILLEUR SCENE DE SAUNA PAS COMME CELLE DE L'AUTRE TAFIOLE CANADIENNE ET SON FILM DE PD DU CUL !

 

WALTER HILL CA BOUFFE LES COUILLES !

PEUT-ETRE, MAIS VIGGO IL SE BAT AVEC LA BITE A L'AIR, RESPECT MON GARS !!!

schwarzi il se bat avec une corde dans le cul donc surement ça doit le gratter méchamment alors que Viggo il doit même pas sentir sa bite tellement elle est petite

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VU HIER EN BUVANT DE LA SMIRNOFF ICE...

 

LA MEILLEUR SCENE DE SAUNA PAS COMME CELLE DE L'AUTRE TAFIOLE CANADIENNE ET SON FILM DE PD DU CUL !

 

WALTER HILL CA BOUFFE LES COUILLES !

PEUT-ETRE, MAIS VIGGO IL SE BAT AVEC LA BITE A L'AIR, RESPECT MON GARS !!!

schwarzi il se bat avec une corde dans le cul donc surement ça doit le gratter méchamment alors que Viggo il doit même pas sentir sa bite tellement elle est petite

 

OUAIS MAIS C EST CONNU LES BODYBUILDERS ILS ONT UNE QUEUE DE RAT ALORS QUE VIGGO IL A DU SANG DE DANOIS DONC UNE BITE DE PUR SANG ET DE VIKING. JE RESPECTE L AUTRICHIEN MAIS ON VOIT PAS SA BITE CLAQUER SUR SON BIDE.

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  • 2 months later...

Je me suis acheté le DVD il n'y a pas très longtemps, histoire de me replonger dans ma pré-ado ... c'est un buddy movie classique mais sans fausse note. Hill a le style sec et accrocheur, un grand sens de l'efficacité. Le film est totalement à cette image. Agréable. Un bon souvenir revisité avec plaisir.

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  • 5 months later...
  • 1 year later...
  • 2 weeks later...
  • 1 year later...

Revu hier avec un ami également fan des buddy movies de cette époque.

 

Que dire ? Ce film, c'est pas seulement c'est aussi évidence !

 

Bon ok, par moments, le rythme redescend un peu... Mais voir un tandem américano-soviétique autour de Schwarzy et de Beluchi, ça envoie du pâté. Y a de la punchline bien finaude comme je les aime, du doublage caviar, des bruitages hérités de la super nintendo, un côté assez noir sans que ça dénature l'humour, Ed O'Ross qui campe bien le mafieux géorgien, du bon gunfight à l'ancienne, et une sacrée bonne ambiance 80's que j'affectionne.

 

Ah, ouais, le combat cul nu dans la neige aussi. Le pétage de jambe de bois.

 

Et puis tout le soviétisme bas-de-front dont je suis assez friand ('capitalisme...", "ça, méthode plus économique", "un beau jour, toi réveiller avec testicule de toi dans verre d'eau posé sur table de nuit") qui m'a toujours fait bien marrer... sans que ce soit dans l'antirusse primaire chère aux films US. Au contraire même, on y souligne certaines contradictions du système de l'ouest, sans oublier que l'amitié entre des hommes de blocs aussi antagonistes est possible. Même en utilisant des clichés gros comme une maison, on peut très bien ne pas faire un film de propagande.

 

Et c'est pour tout ça que j'adore ce film

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Voilà, je me joins au concert de louanges. Rien à rajouter à ce qui a été dit au dessus, si ce n'est que je vénère James Belushi depuis ce film, surtout sa technique d'approche avec les femmes :

 

James Belushi : "Ca va poupée ?" (l'oeil lubrique)

La nana : "Va te branler"

James Belushi : "Ok"

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J'ai un gros problème avec ce goret de Belushi dans le film. Il cumule toutes les tares du sidekick tête à claques. Aucun charisme et des gags déjà vu ailleurs ne veut tu en voilà:

 

"messieurs vos armes"

"jamais la police ne rend les armes"

...armement du chien

"tenez voila mon arme"

 

 

c'est limite plus drôle à lire qu'à écouter ce dialogue. Heureusement il y a Schwarzy! On va dire que c’est la bouteille à moitié pleine !

 

la petite info: Schwarzy était là quand Daniel Beretta a passé l'audition pour le doublage VF et il a entendu beretta imitant l'accent russe avec sa voix grave, Schwarzy a crié "It's Him! he got the job !"

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perso, j'ai toujours eu une petite deception avec ce film.

 

vu en salles à l'epoque (enfin, sur le bateau de nuit qui relie la france à la corse), j'avais trouvé ca sympa mais tres loin de son potentiel.

 

schwarzy est parfait mais le mechant (et ce qu'il fout pendant le film) est trop anecdoctique.

 

et belushi, que j'aime normallement, est d'une ringardise... il fait que piailler!!! (alors que le poster du film dit que c'est le flic le plus cinglé de la ville)...

 

une chouette serie B(revue le mois dernier) mais bon, ca blaste que dalle (putain, COMMANDO rules!!!)

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perso, j'ai toujours eu une petite deception avec ce film.

 

vu en salles à l'epoque (enfin, sur le bateau de nuit qui relie la france à la corse), j'avais trouvé ca sympa mais tres loin de son potentiel.

 

schwarzy est parfait mais le mechant (et ce qu'il fout pendant le film) est trop anecdoctique.

 

et belushi, que j'aime normallement, est d'une ringardise... il fait que piailler!!! (alors que le poster du film dit que c'est le flic le plus cinglé de la ville)...

 

une chouette serie B(revue le mois dernier) mais bon, ca blaste que dalle (putain, COMMANDO rules!!!)

 

Ben voilà, tu as tout dit et mieux que moi.

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  • 3 months later...

Ca reste sympa à revoir (la nostalgie ressentie y joue pour beaucoup) mais pas gégé quand même.

Un script prétexte en pilotage automatique, Hill qui décalque son 48 hrs (jusque dans

la poursuite de bus et la confrontation finale

) et James Belushi qui est l'un des sidekicks les plus insupportables de l'Histoire du ciné.

 

Reste Schwarzie, impérial. C'est pas énorme. Mais ça peut suffire un soir d'ennui...

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  • 3 months later...

Revu il y a peu et j’ai trouvé ça moyen

 

Déjà, c’est un buddy movie, et j’en suis fort peu friand.

 

Après, je reconnais quand même quelques qualités au film :

 

- Une scène d’ouverture excellente (sans doute le meilleur passage du film ) bien que trop courte (frustrant ! ).

 

- Des seconds couteaux savoureux (Laurence Fishburne, Gina Gershon, Pruitt Taylor Vince, Brion James, Sven-Ole Thorsen, …)

 

- Schwarzie en policier soviétique. Replacé dans le contexte, c’est un rôle couillu. On parle quand même de l’un des fers de lance du cinéma d’action reaganien interprétant … un personnage communiste. Quelque part, on peut aussi considérer que Red Heat poursuit le travail de dédiabolisation initié trois ans plus tôt par Rocky 4 (on notera que la morale des deux films est identique) et témoigne de l’imminence de la chute du rideau de fer (Double détente sera d’ailleurs le premier tournage américain autorisé sur la Place Rouge). Une valeur historique indéniable

 

Un Hill mineur malgré tout et un film pas transcendant en ce qui me concerne.

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  • 7 years later...

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