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Espace Detente - Bruno Solo, Yvan Le Bolloc'h (2005)


TortueRocket

Messages recommandés

 

L'histoire : l'entreprise Geugene Electronique part a la conquete des Etats-Unis!

 

Ca c'est une bonne surprise! J'ai maté ce truc sur la foie d'une ligne dans le dernier Score qui disait que les 30 premieres minutes etaient bonnes mais en fait tout est bon! Je me suis vraiment poilé devant la xantia rouge laquée, les soirées romantiques au buffalo grill, les posters de johnny, les cadres qui pétent un cable, les syndicalistes débiles et corrompu. Un vrai film sur la vraie France, on est pas dans Amelie Poulain la, et bien trash avec ca! Ca parle camping car, ca degueule sur des clebards, ca boit, c'est mauvais joueur, ca bouffe des knackis-purée... c'est booooon, aaaah vivement la suite!

 

XXX

 

Je précise bien que je n'aimais pas les sketchs de M6 : le film a une dimension toute autre, comme du De Iglesia franchouillard!

 

 

miam

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Tiens j'en profite pour poster la critique de Zecreep :

 

Impossible de ne pas ressortir perplexe de la projection d’Espace détente. Mais comment a-t-on pu tomber aussi bas ? L’idée même du film tient d’un concept marketing douteux. Etirer des épisodes télé de cinq minutes sur une heure trente de long métrage relève du défi imbécile et du concept poussif. Greffer un scénario sur du néant relève de l’impossible, et ce n’est pas l’omniprésence de Bruno Solo et de Yvan Lebollo’ch au générique, deux des comiques les moins drôles de la télévision française, qui pouvait y changer grand-chose. Le résultat est un calvaire pour le spectateur normalement constitué. Le film met à mal notre intelligence en nous infligeant les pires tortures. Des tortures ordurières. En vrac, on doit subir des personnages caricaturaux et beaufs interprétés par des comédiens qui sur jouent, une mise en scène ringarde soulignée par une musique digne d’un Gérard Blanchard au sommet de sa forme dans les années 80... Le film sombre dans les abîmes de la nullité, des profondeurs qu’on n’avait pas visitées depuis très longtemps, surtout à l’échelle d’une production qui se veut ambitieuse. Quelle détente ! On ressort avec la migraine et l’envie de ne plus remettre les pieds de sa vie au cinéma. Prenez des vacances, faites du sport, lisez un bon roman, mais par pitié, évitez le ridicule, car s’il ne tue pas, il nuit aux neurones !

 

Ecoute Zecreep, tu n'as rien compris au film, il n'etait pas fait pour toi

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Une méga bouze !

 

Le type même du film qui mise tout sur la notoriété dont il s'inspire !

C'est du total portnawak (parfois j'adore ça, mais parfois je déteste, et bon, là, j'ai détésté ! ).

Les personnages sont agaçant au possible (mention particulière à Thierry Frenon et à un Bruno solo horripilant !), les gags tombent souvent à plat et le tout est ultra lourding !

Les quelques moments sympas du film sont à mettre à l'actif d'Ivan Lebollock qui campe un super beauf comme on les aime, macho, vulgaire, et completement débile. Mais bon, ça ne sauve cependant pas le film du naufrage !

 

A noter aussi que la méga bonnasse de Caméra café est encore plus bonne dans le film (j'en avais des sueurs froide ! ) , ce qui me fait dire que Superfly a du bien l'apprécier !

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