Tire encore si tu peux / Se sei vivo spara- G. Questi- 1966

C'est dingue, je crois que ça fait des mois que je n'ai pas lu une de tes critiques et que je puisse dire que je suis d'accord avec toi

Alors entre un QUARTIER DE FEMMES minabillissime dans lequel tu arrives à trouver des éléments "décadents" et ce chef d'oeuvre magnifique du western italien que tu oses salir de la sorte, je me dis que tout ne va pas bien dans ta petite tête et que tu devrais arrêter d'écouter Superwonderscope - la preuve, tu en arrives même à dire du mal de Castellari sur d'autres thread

Tout ça pour dire qu'il ne faut pas écouter Draven, ce film est une perle !!!

et ce chef d'oeuvre magnifique du western italien que tu oses salir de la sorte, je me dis que tout ne va pas bien dans ta petite tête et que tu devrais arrêter d'écouter Superwonderscope !!!

bé pourquoi tu dis ça? j'adore ce western!

Arréte de regarder des D'amato, Eric! ça te ronge la tête et tu ne sais plus reconnaitre le bon cinema!

Excellent film, même si Milian est plutot sobre ici...

et ce chef d'oeuvre magnifique du western italien que tu oses salir de la sorte, je me dis que tout ne va pas bien dans ta petite tête et que tu devrais arrêter d'écouter Superwonderscope !!!

 

 

bé pourquoi tu dis ça? j'adore ce western!

L'exception qui confirme la règle

On rigole on rigole bien sûr, contrairement à Draven, il y a des films qu'on apprécie tous les deux: SUPERSONIC MAN, PSYCHOTRONIC MAN, VICIOUS LIPS.... des classiques quoi

ni sombre, ni apocalyptique, ni crepusculaire et encore moins surréaliste et surtout violent comme on le lit un peu partout..

oui mais oin va surtout dire que ta compréhension des termes énoncés ci-dessus ne sont PAS DU TOUT les mêmes que nous autres

Juste un honnete western gothico-gay distrayant bourré de rferences mais ni sombre, ni apocalyptique, ni crepusculaire et encore moins surréaliste et surtout violent comme on le lit un peu partout..

Argggg vous êtes dur.

pas vu mais vous me faites hésiter, du coup si je le vois je vais le regarder en me demandant qui a raison......

Un chef-d'œuvre qui te brise en mille morceaux emportés par le vent de la violence.

Trouvé hier à un prix défiant toute concurence et aussitot regardé.

C'est en effet un trés bon western. Il m'a beaucoup fait penser à un autre film de Questi "la mort a pondu un oeuf", tant dans son montage, que sa musique, que les personnages. Ou plutot l'utilisation scenaristique faite avec eux.

Il a un coté decalé, comme par exemple l'utilisation du flashback, et surtout les elements fantastiques.

Je pense qu'il merite même plusieurs visions pour l'apprecier totalement, et en italien parceque les changements de version perpetuels c'est lourd et que la version italienne semble différente.

pas encore visionné..... on verra bien...

Eric, dans quelle version as-tu vu ce film , y avait-il les scènes de sclap et d'autopsie ?

Pour avoir vu ce film en version intégrale (BU) et coupée (dvd espagnol) je puis vous assurer que les différents montages du film altèrent le plaisir qu'on a à la vision de ce western à part. La version intégrale est à recommander, le reste est tout de même haché, un peu comme le dernier face à face.

Dans un registre western à consonnance gay, je ne saurais que trop recommander El puro la rançon est pour toi, même si le dvd Basch est tout simplement dégeulasse (vf only et très amateur).

Bon film, mais je trouve que les flamboyances gothiques sont essentiellement concentrées dans la première demi-heure. Après, ça retombe un peu, ce qui est dommage. Si tout le film avait tenu le rythme, on aurait eu un chef-d'oeuvre. Je pense qu'une partie de sa réputation tient à ses gros ennuis avec la censure italienne.

ZTb-8xFArsk

Enfin vu ce titre culte (si tant est que le terme signifie encore quelque chose) et vraiment conquis pour ma part.

L'interprétation peut, certes, parfois sembler un peu hasardeuse (notamment au niveau des deux acolytes de Milian : les indiens les moins crédibles de l'Histoire du cinéma) mais alors, quelle ambiance ! Quel univers ! Quels personnages !

L'ensemble n'atteint peut-être pas les sommets de baroque promis (faut dire que de l'eau a depuis coulé sous les ponts : ça devait forcément être différent de découvrir ça en 1966) mais ça fait du bien de suivre un film vraiment différent, qui désoriente et dont on ne devine pas tout une demi-heure à l'avance.

Sans compter son lot de séquences salées qui font toujours leur effet (

)...

Et Tomas Milian ( ) m'a donné envie de revoir On m'appelle Providence !