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I'm a Cyborg, but that's OK - Park Chan Wook - 2006


guncrazy

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  • 5 months later...
  • 1 month later...
  • 2 weeks later...

"Cyborg Girl," the new film by director Park Chan-wook, is a cheerful melodrama starring two of Korea's heartthrobs, Rain and Im Su-jeong.

 

The film, which will be released on December 7, is an unusual story for a director most known for his cruel revenge trilogy, that ended with "Sympathy for Lady Vengeance." It is also the first time one of his films has received a general admission rating 12.

 

The film is a love story about two patients in a mental hospital ― a girl who will not eat, insisting she's a Cyborg, and a boy addicted to robbery.

The JoongAng Ilbo recently met with Mr. Park, who was working on computer graphics during last minute post-production.

 

Q. In a statement about "Cyborg Girl" you said that after working with young actors, you wanted to be young again. Do you not consider yourself young?

 

A. I was only saying that I didn't work with actors like Choi Min-shik [the main character in Park's award-winning "Oldboy"]. It doesn't mean that I am old. I've never done a coming of age film before. But you couldn't really call the characters young spirits, because they are confined, instead of moving around places like Cheongdam-dong. Once I began working with them, they were young only on the surface. Ji-hun (Rain) is a workaholic, like a middle-aged father. Su-jeong also talks very slowly; she's not a party girl. It's probably because they started working at a young age, but they were very different from my generation at their age. I had hoped to taste their spring of youth.

 

Q. You said that in the past, "all my films are about salvation." Your new film seems to show people who appear abnormal on the outside, but have a strong sense of their own identity. Are you suggesting that identification is a way to salvation?

 

A. It's either sympathy or identification. It doesn't mean that you look down on that person. You just feel a sense of pity for someone. Maybe that is love. The girl in the film believes she can't have sympathy because she's a militant Cyborg. So she wants the boy to steal her sympathy. They are patients in a mental hospital where the doctors are supposed to determine the meaning of salvation. Instead the film is saying, "Let's find a way to live first." There are frequent mentions of the phrase "purpose of existence." It implies that if you live without starving to death, that's also salvation.

 

Q. When you chose a mental hospital as the film's backdrop, we expected a clinical setting. Yet in the trailer, the colors and style were very lush. It reminded me of the heroine's line from "Sympathy for Lady Vengeance," in which she said "I like anything pretty."

 

A. That's what Geum-ja thinks. Style in a film functions only to support the story and characters. Style is more than what you find in a wealthy estate or palace. Even if the film is set is a military barracks, you can play around with the patterns of its wall coverings.

 

Q. The film was rated 12. Did you fulfil your wish to show your film to your daughter who goes to elementary school?

 

A. I wanted her to get some benefit, because as a director's child, she suffers when her father leaves home for months. She'll probably get a different feel from other audience members when she sees my completed film, as she saw me writing the script and saw her parents talking over the casting. We watch classic films together by Ozu Yasujiro, Jacques Demy and Sergio Leone. But I found that she watches films like "Pirates of the Caribbean" with her friends.

 

Q. What kind of movie is your next film "Bat," which stars Song Gang-ho as a vampire?

 

I wanted to make a classic. I always thought something unfamiliar and bizarre was the most important factor in my films, but I want to gradually build emotions one by one even though it accompanies cliches. The film has a lot of violence but the real basis is romance.

 

Q. You are also producing Bong Jun-ho's next film, "Snow Train."

 

A. I don't have a huge ambition to be a producer. I hope that talented directors like Bong will soon be commissioned by major international and sent abroad quickly so that I can sleep comfortably.

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  • 2 months later...
  • 1 month later...

Je suis un cyborg : Une comédie complètement barrée,... !!!!

 

 

Un film de barges, dans un univers de barges....

 

Park Chan-Wook démonte tous les codes, qui avait fait la saveur de ses films antérieurs (et notamment le sublime "Old boy") pour aboutir à une comédie complétement déjantée,... avec quelques fulgurances "gore" (par petites touches),..?. et une galerie de personnages, dont aucun ne semble complétement normal...

 

Sur scène, le réal avait prévenu du côté déroutant de son oeuvre,.... mais les vrais fans (dont je fais partie),.. ne peuvent qu'adhérer à un tel feu d'artifice d'émotions, et de folies visuelles, en, tous genres...

 

Le film fera date,... il fera parlé (sans nul doute ), il en divisera plus d'un (c'est certain)....

Une nouvelle étape dans le cinéma asiatique !!!!

 

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ceux qui me connaissent savent à quel point je deteste le style PCW. Je ne m'etalerai pas pour ne pas entrer dans un enieme débat, mais toujours est il que les films de PCW m'ont au mieux laissé de marbre (meme si j'avoue que Lady Vengeance a des fulgurances qui me tiennent à coeur).

C'est donc à reculons que je suis allé voir ce I'm a cyborg. Et j'ai adoré..... Il y a des longueurs vraiment chiantes (la fin en particulier), mais ce film m'a beaucoup touché (mais pas boulversé, mais il n'y avait pas matiere). C'est beau, c'est poetique, c'est naif, c'est léger et extremement grave à la fois. Pas sur que les fans de PCW s'y retrouvent entierement.

(à noter une tres belle musique à la Danny Elfam style qui colle bien à une imagerie Burtonienne que l'on retrouve dans le film)

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  • 3 months later...

Et bien je vais faire mon rabat-joie et je le dis haut et fort :

 

CE FILM EST D'UN CHIANT J'AURAI PREFERE MATTE L'EMISSION DE PASCAL SEVRAN!!!

 

 

100 minutes qui en paraissent 300 pour cette aventures d'Amélie Poulain chez les neuneus qui prouvent que PCW ferait mieux de retourner filmer des mecs qui s'éclatent le nez à coups de marteau!

Pénible...

Allan Theo et Guillaume Tell confirmeront.

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  • 4 months later...

Aïe aïe. C'est quand même pas la panacée. Je me suis fait chier 80% du film. C'est décousu et sûrement voulu comme tel, mais il n'y pas pas grand chose auquel il est facile de se rattacher, et malheureusement la sauce comique ne prend pas. Un ratage donc pour PCW, même si c'est un peu moins violent pour les fans que son segment de "Three Extremes". Reste que visuellement c'est agréable à l'oeil, que le générique de début est sympa et que le score est comme toujours de toute beauté.

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  • 2 weeks later...
au hasard des chiffres, le film fait à dimanche soir une moyenne de 438 entrées par copie, soit environ 12 entrées en moyenne par séance... c'est peu. je toruve aussi que la campagne de communication a brillé par son absence... y croyaient-ils vraiment?

 

Apparemment non, le film ayant été refusé en amont pour des festivals tendrait à penser que WS n'avait pas vraiment envie de montrer trop le film avant sa sortie en catimini.

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Vu hier soir, dans une salle du Publicis qui etait aussi confortable qu'elle sonnait creux (helas... ).

 

Et, sans avoir adore le film (j'avoue avoir honteusement pique du nez deux ou trois fois au debut), j'en sors vraiment ravi.

Un film leger, qui detonne avec la filmo du realisateur, foisonnant d'idees visuelles et narratives (peut-etre trop d'ailleurs) mais qui demontre en tout cas la force artistique de Park Chan-Wook, et surtout son aplomb de proposer un tel film "casse gueule". Peut-etre est-ce du a sa recente reussite critique et commerciale, mais en tout cas il en faut dans le pantalon pour s'offrir une telle parenthese dans une carriere.

 

Donc, pas d'exces de perversite, pas de noirceur du recit, juste une bleuette sympathique et visuellement inventive.

Film simple mais pas simpliste, "I'm a cyborg..." est une histoire d'amour naive et loufoque qui evoque le Fisher King de Gilliam et les travaux de Gondry. De l'audace donc dans la mise en scene, ce que certains appeleront tres vite "des tics de clippeurs" et c'est sur que ca ne plaira pas a tout le monde.

Quoiqu'il en soit, le film est touchant et mignon, bancal car abusant parfois trop de ses effets (le trop grande nombre de personnages secondaires et de saynetes qui se succedent !!), mais au final on en ressort avec le sourire.

 

Petite pause poetique au milieu d'une filmographie vengeresse et perverse, mais aussi laboratoire d'experimentations pour son realisateur, ce "I'm a cyborg..." est aussi enigmatique et intrigant que son titre, mais gagnera probablement a etre revu plusieurs fois.

 

Ah, et l'actrice qui joue la "tyrolienne" est

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