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Point limite zero - Richard Sarafian - 1971


Basculo Cui Cui

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La grande qualité du film est de ne jamais tombé dans le « trop ».

C'est vrai qu'avec les deux folles méchantes habillées de rose , on ne tombe jamais dans la caricature. mais heureusement, le héros leur botte les fesses donc la virilité est sauve!

C'est là ou (en partie) je ne suis pas trop d'accord sur le côté intemporel, c'est bien un film de son époque (visuel, références sociales, arguments narratifs, vision de la société américaine)

 

A noter aussi que la structure narrative fut reprise dans TYhelma et Louise.

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Ah merde je viens de prendre le Z1 avant hier

 

c'est pas bien boss sachant que pour le premier titre édité dans la collection (Duel de Spielberg) j'avais mis tous les titres et leurs dates

 

Duel

 

 

tu aurai du creer un thread comme celui ci :

 

viewtopic.php?f=24&t=11510

 

ce serait moins passé inapercu

 

 

 

Oui bin j'ai merdé !

D'un coté il m'a couté que 4€ et il y a surement plus de bonus et une jaquette plus belle !

 

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C'est là ou (en partie) je ne suis pas trop d'accord sur le côté intemporel, c'est bien un film de son époque (visuel, références sociales, arguments narratifs, vision de la société américaine)

 

 

Je trouve (comme dans Macadam à deux voies) la "quête" des personnages intemporelle puisque vaine et motivé non pas par un but mais par l'envie d'être dans un "mouvement" en l'occurrence la vitesse (une fuite en avant, être mobile c'est évité d'affronter les problèmes de sa vie et de la société. Les personnages des deux films précités sont hors du temps). Je pense que les road movies ou comme Into the wild sont des films qui garde(ront) tous leurs impacts, et ce malgré les années, parce que chaque spectateur perçoit ses propres questionnement face au monde, à sa place dans celui-ci à travers des personnages qui sont plus comme des mirroirs, que comme des identités à part entière. Bref enfin voilà c'était juste pour approfondir un peu ma vision du film

 

Par contre je ne me souviens par des folles …dans Macadam, il y a bien un cowboy homo qui caresse Warren Oates mais dans Vanishing ça m’a pas frappé .

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  • 2 months later...
  • 5 years later...

En voulant mettre en ligne mon dernier machinima, hommage au magnifique POINT LIMITE ZERO et aux films de caisses des seventies, j'apprends à l'instant la mort de Richard Sarafian, la poisse, RIP à ce grand monsieur

 

http://cinema.nouvelobs.com/articles/27671-deces-de-richard-sarafian-le-realisateur-de-point-limite-zero

 

Modifié par Invité
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Passé un peu, même beaucoup, inaperçu. En même temps, après ce coup de génie, c'est un peu le désert sans mauvais jeu de mot. Ai essayé le Fantôme de Cat Dancing, mais mis à part le fait, que la narration est très lente, que Burt est un posé et que ce western dégage ambiance un peu particulière, ce ne fut de loin pas la claque kowalskienne. Pour le reste, aucun autre essai. Presque honteux pour l'auteur d'un des films qui m'a le plus marqué.

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Cat Dancing, c'est effectivement pas top.

Mais tente Le convoi sauvage (a.k.a. Man in the Wilderness) : un western âpre bardé d'images zarbes qui louche du côté du survival avec Richard Harris qui semble préparer son rôle à venir d'Un homme nommé cheval et John Huston en enfoiré dur-à-cuire.

 

Perso, je rêve de pouvoir mettre la main sur son Lolly Madonna XXX qui semble ne même pas exister en Z1...

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Cat Dancing, c'est effectivement pas top.

Mais tente Le convoi sauvage (a.k.a. Man in the Wilderness) : un western âpre bardé d'images zarbes qui louche du côté du survival avec Richard Harris qui semble préparer son rôle à venir d'Un homme nommé cheval et John Huston en enfoiré dur-à-cuire.

 

Les deux films font partie du même coffret, Le Fantôme m'avait calmé, mais du coup, vais y jeter un oeil.

 

Y a une subtilité tournage / sortie pour Harris et son rôle dans Un homme nommé cheval ? Convoi sauvage 1971, Un homme nommé cheval 1970

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  • 5 years later...
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