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Operation casseurs - Umberto Lenzi - 1976


Basculo Cui Cui

Messages recommandés

 

 

je suis en train de le mater, le film est presenté par MICHEL DRUCKER

 

avant le film, ya des pubs pour la fiat uno, de la biere, du gin, des dessins animés de MORDILLO, encore des pubs pour du whisky, pour le chocolat nestlé dessert , une exellente pub martini bianco

 

 

 

 

 

Plus connu sous le nom de " SOS Jaguar operation casseurs " , ce film montrant la bataille d'un commissaire pour sauver Naples du marasme criminogene dans lequel elle baignait dans les annees 70 est l'un des meilleurs polars italiens de la grande epoque , certainement le meilleur Lenzi , que seul egale " La rancon de la peur " avec l'impitoyable Tomas Milian ... A noter que la musique de fin est une des plus belles chansons de tout le cinema bis ...

 

KIKAVU ?

Modifié par Invité
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le film (exellent) est fini et ya des pubs , drakkar noir, tv oceanic, rasoir braun, et une presentation d'extraits de films par michel drucker (le manipulateur avec james coburn, les seducteurs avec lino ventura, ugo tognazzi, gene wilder, roger moore....)

 

franchement ? michel drucker c'est un mec bien ! (enfin sa niece ! )

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Ce film est un des plus mauvais Lenzi. Hormis la scène du funiculaire avec la tete rapée, il n'y a rien. et pour cause, il n'y a aucun scénario. Comme dans la plupart des polizieschi certes qui se contentait d'un vague argument de départ à base de vengeance et de flic anti-pourri ultra-violent. Mais ici, c'est le vide. Les poursuites en accéléré sont ridicules (genre Lenzi a ccéléré le mouvement en espérant que personne ne voit iren : raté!), l'action y est certes violente mais sans queue ni tete. Seul le générique de début avec son excellent score sauve les meubles.

Sinon, Merli monte en voiture, descend en voiture. Monte des escaliers, descend des escaliers, fout des baffes, donne des coups de capot de voitures. il monte en funiculaire. descend du funiculaire. bref, il gesticule dans tous les sens pour faire oublier le vide intersidéral de l'histoire (! il y a en fait trois idées qui s'entrechoquent). Navrant. Et pas de nénés!

 

Mais c'est vrai que celui-là est un monceau d'incompétence. Même Big Racket , qui possède un scénario qu'on peut coller sur un timbre poste sale, possède un visuel plus complet, une certaine audace visuelle qui lui confère un certain charme. Ici, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent. J'ai même l'impression que Merli était en train de s'y auto-parodier.

Le pire, c'est que je l'ai trouvé super-chiant et sans rien d'original, même dans le coup de capot . C'est pas aussi nul que Cobra (parce qu'il y a un semblant d'action) mais ça reste au ras du bitume.

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franchement ? michel drucker c'est un mec bien ! (enfin sa niece ! )

il a présenté aussi le massacre des morts-vivants

et le ruffian par exemple...

parmi les autres présentateurs des films "proserpine" (première édition)

il y a eu mourousi pour :

...

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Heu Drucker il a aussi presenté "Maciste contre les mongols", mais surtout:

 

 

LES DEUX FILLEULS DU PARRAIN AVEC FRANCO ET CICCIO

 

Je ne me sépare jamais de ma vhs, surtout quand Drucker nous explique que c'est un film pour enfant et plus tard sur la vhs, on a le droit à 3-4 pubs de binouzes.

 

 

Sinon Yves Mourousi a aussi fait la présentation de "Rome Violente" avec Maurizio Merli, c'est à se pisser dessus.

 

Donc heu... Rome Violente réalisé par Franco Martinnelli heu... qui avait aussi réalisé des contes erotiques de Boccace que vous connaissez sans doute. Bon bah, le titre c'est "Rome Violente" mais ça pourrait aussi bien être "Paris Violent", "New-York violent". Ce film pose la question de la justice personnelle et heu... se demande si parfois il faut prendre son arme pour se défendre et heu... Bon bah, on va terminer là dessus, mes fiches s'arrêtent là.

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Pas d'accord avec Superwonderscope. je considère même Opération Casseurs comme le meilleur Merli.

Effectivement, Merli ouvre et ferme des portes, monte et descend des funiculaires, saute, hurle, joue à la marelle, mange des biscottes, oui il gesticule et heureusement parce qu'il aurait un balai dans le cul pendant 90 minutes, là ça deviendrait pénible.

Normal de le voir un peu trop en mouvement puisque c'est la star du film maintenant, niveau scénar, je suis bien d'accord, on est proche du vide inter-stellaire mais ce n'est vraiment pas pour l'intrigue qu'il faut apprécier ce film mais plutôt pour tout le reste : l'excellente musique de Micalizzi, surtout le titre des "Bull-dogs" pendant le générique, l'action quasi non-stop (personnellement, je les trouve pas ridicules pour une lire les "poursuites accélérées", elles sont même très bien intégrées et ne décridibilisent pas le film comme c'est le cas dans pas mal de kung-fu de l'époque ou d'autres polars plus bas-de-gamme) les dialogues putassiers absolument jouissifs et les méthodes de faf appliquées par la flicaille napolitaine, discutables mais fort drôles.

D'ailleurs, j'aimerais bien avoir ton avis sur le Rome Violente de Girolami , bien "pire" que celui-là

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Chuis pas convaincu par ton approche. Je me suis drolement emmerdé devant ce machin sans queue ni tête, hélas. la zique de Micalizzi, en effet, elle y est très bien. Par contre, Merli, je suis imperméable. Entre le discours puant que ce type de film délivrait (je préfère largement le Milano Trema de Martino qui posaot de vraies questions sur un scénario solidement construit),on a le droit ici à un cinéma de consommation courante comme il en sortait par vingtaines en Italie par année. Qui se contente d ejouer sur la "star" du moment. Qui ne sait pas jouer autre chose que les brutes épaisses incorruptibles. en même temps, on ne lui demande pas autre chose. c'est bien aussi ce qui m'embete.

 

Et techniquement parlant, c'est vraiment du bas de gamme par rapport à ce que Lenzi a pu faire auparavant. Je déteste franchement MIlano Odia de par ses idées nauséeuses et ses caricatures détestables, mais il y avait autre chose que Napoli Violenta. Un vrai punch, une espèce d'urgence, totaleent absente ici. napli Violenta se contente de servir un plat réchauffé maintes fois gouté. Tu y enlèves n'importe quelle scène de blabla ou de pousuite, le film ne perd rien dans sa construction, tellement elle est faite de bric et de broc.

 

Mais il est vrai aussi que même si Merli était populaire, sa filmographie représente pour moi pour la plupart le fond du panier du poliziesco avec le recul.

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C'est certain qu'à choisir entre Milano trema et Napoli violenta, je préfère comme toi le Martino, beaucoup plus classe et subtil.

Lenzi, c'est une autre école, plus gauche (le comble pour un anar de droite comme lui) et rentre-dans-le-lard. Après, l'égoût et les couleuvres. On adhère ou pas au système expéditif "merliesque", qui ne s'embarasse pas de simagrées au moins.

Personnellement, j'adore (et adhère).

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Ce film est un des plus mauvais Lenzi. Hormis la scène du funiculaire avec la tete rapée, il n'y a rien. et pour cause, il n'y a aucun scénario.

bref, il gesticule dans tous les sens pour faire oublier le vide intersidéral de l'histoire (! il y a en fait trois idées qui s'entrechoquent). Navrant. Et pas de nénés!

 

Entièrement d'accord avec Superwonderscope!

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  • 8 months later...

là encore, on fait le même procès de Lenzi avec des arguments dignes des Saisons ("idées naudéeuses",etc)comme je m'étonne un peu d'en lire sur un Forum censé réunir des amateurs de cinema-bis. Ce qui ne veut pas dire tout aimer (bien que l'indulgence est souvent plus qu'utile, je le reconnais). Les arguments m'étonnent un peu plus. Reprocher à Lenzi des intentions fachos est un peu facile, et en plus, le reproche peut être fait à beaucoup de polars ritals, et pas seulement (certains "cannibales"?); mais Lenzi est avant tout un opportuniste (et ça n'a rien de péjoratif), profite d'un filon qui marche commercialement. Il fournit ce qu'on lui demande: ce type de films remportait un certain succès et il a fait comme les autres. et plutôt bien: ce film-là est dans la bonne moyenne, collant à l'actualité de l'époque et traduisant le sentiment d'insécurité, exploité par ailleurs par les médias. Lenzi nous donne ce qu'on attend de ce genre de films (en tout cas, ce que moi j'en attends), de la violence, des méchants très méchants et un mec (auquel le public peut s'identifier et à ravers lequel il peut se défouler) qui rend la justice dont ce même public se sent dépossédé. Alors oui, c'est caricatural, le discours (s'il y en a vaiment un) est expéditif et un peu racoleur. Mais comme on est là pour ça, ça tombe plutôt bien.

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