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Le Mans 66 - 2019 James Mangold


Bast

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maxybmxQuTE

Da pitch Wikipedia:

Au début des années 1960, la Ford Motor Company connait des problèmes financiers. Henry Ford II met alors la pression à ses employés pour trouver des solutions. Lee Iacocca suggère alors de relancer la marque dans l'univers de la compétition automobile. Il est alors envisagé que Ford rachète Ferrari. Mais la rencontre avec Enzo Ferrari tourne au fiasco et c'est finalement Fiat qui signe l'accord. Le « Commendatore » est même très insultant envers la marque américaine et son patron, Henry Ford II. Ce dernier, piqué au vif, en fait une affaire personnelle. Ford décide alors de faire appel à Carroll Shelby, le seul américain vainqueur des 24 Heures du Mans (en 1959). Il est chargé de construire une voiture capable d'anéantir la suprématie de Ferrari pour les 24 Heures du Mans 1966. Carroll Shelby va ainsi développer la Ford GT40 Mk II avec l'aide de Ken Miles, un pilote au caractère bien trempé qui ne plait pas trop au sein de Ford.

 

Bon, moi les ouatures, j'en ai rien a carer, donc c'est franchement en trainant les pieds que j'ai accompagné le fiston alors que lui était comme un fou.

AU final, j'ai passé un très bon moment.

Damon et Bale sont vraiment très bon et leur relation fait que finalement, le sujet devient intéressant, même pour moi.

L'histoire est très romancé et semble t'il que ça ne respecte pas vraiment la vraie histoire sur pleins de détails mais franchement trés sympa. Petite larmiche qui pointait a la fin, c'est dire.

Le point trés fort du film, c'est les courses, c'est filmé a ras du sol, toujours trés lisible et superbes images.

Ca rend très bien l'horrible difficulté de cette course. Les pilotes du Mans ont des couilles (ou des ovaires) de 12 kilos !!!

J'avais l'impression de voir les poursuites de Mad Max 1

Bref, je ne le reverrais pas mais je recommande

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  • 1 month later...

Vu hier sur le tard en salles.

 

Un chouette moment. Les 2h30 passent comme une lettre à la Poste (vraiment, j'insiste, je crois que ça faisait des années qu'un film aussi long m'avait pas paru aussi court en salles !), le tandem Bale / Damon fonctionne à merveille. Le déroulement est très classique, mais tout est soigné, bien foutu, le moindre second rôle est à sa place, les courses sont cools, bref, du beau boulot. Au début, j'ai eu un peu peur d'avoir droit à un truc 100% ricain à la gloire de Ford en mode "on va se les faire ces ritals", heureusement, il n'en est rien. Si Mangold fait l'éloge des travailleurs de Ford, les mécaniciens, pilotes, etc... le film n'est pas tendre avec les cadres dirigeants, dont la plupart sont lâches, calculateurs, menteurs, des marchands de tapis sans aucune passion pour l'automobile, au contraire d'un Enzo Ferrari, droit dans ses bottes et vrai passionné de course auto ! Bref, un chouette moment, petite pierre de plus dans la filmo de Mangold qui, sans faire trop parler de lui, confirme qu'il reste une valeur sure hollywoodienne, et un des réals américains les plus intéressants de ces 20 dernières années.

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