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Wolves of Wall Street de David DeCoteau (2002)


Dragonball

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"Wolves of Wall Street"

 

 

 

 

Un jeune homme ambitieux intégre une prestigieuse agence de courtage à Wall Street, dans laquelle tout les courtiers semblent être particulièrement liés entre eux.

 

 

Sacré David, encore un film qu'il a du tourner avec très peu de moyens !

 

En effet, au vu du titre, on pourrait s'attendre à un film fantastique mélant habilement jeune loup de la finance et grosses bébêtes poilues. A vrai dire, même si le film marche sur les trace de Wolf (et lui pique d'ailleurs au passage une de ses meilleurs scènes ! ), DeCoteau reste très vague à ce niveau.

C'est simple, il n'y a quasiment aucun SFX dans ce film !

Donc, pas de transformations, pas de gore ou d'effet particulier, DeCoteau ayant choisit (enfin, c'était probablement, comme je l'ai dis, une contrainte budgétaire !) de ne strictement rien montré, procédant juste par le biais de quelques allusions et de gros plans répétés sur la pleine lune !

 

Mais bon, ce n'est pas trop grâve car le film nous offre en contrepartie un festival de mâchoires carrées et de mecs en boxer éclairé de partout par des lumières bleuetés du plus bel effet. DeCoteau devraient vraiment penser à tourner des pubs Calvin Klein

 

Bien que tout ces minets passent leurs temps à reluquer avec conviction toute les filles qui passent à leur portée, on a du mal à croire qu'ils ne s'accordent pas régulièrement des petites pauses entre eux !

 

Eric Roberts, mentor de tous ces jeunes loups, est excellent, très classe et passe tout le film à surjouer comme un malade son personnage de playboy de la haute finance, vivant uniquent pour le frique.

 

 

 

Bref, un DeCoteau très sympathique, ou, même si l'élément fantastique est ici mis assez en retrait, on retrouve le style inimitable du maitre !

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