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Gravity - Alfonso Cuaron - 2013


Prodigy

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Ben moi ce sera le

 

Vraiment un film qui m'a foutu une grande claque dans la gueule, en immersion totale. La musique est sensationnelle et l'ambiance de l'espace est bien rendue (j'y suis jamais allé notez-bien mais ça pourrait coller à ce que j'imagine).

 

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Du coup, entre temps le film est sorti en 4DX et c'est la meilleur experience que j'ai eu dans cette salle jusqu'a present. Tous les elements se dechainent, les sentiments de flottements, la force centrifuge, les eclairs de lumiere, la fumee au premier rang, meme un truc aussi simple que quand Bullock devisse un ecrou et que ca vibre sous ton siege, c'est parfaitement synchro avec le type d'experience que cherche a generer le film. Et ce final ! Ca valait largement les 12 euros que ca m'a coute.

 

Ah vi tiens, c'est quoi exactement le panel d'effets qu'on trouve en 4Dx ??

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Du coup, entre temps le film est sorti en 4DX et c'est la meilleur experience que j'ai eu dans cette salle jusqu'a present. Tous les elements se dechainent, les sentiments de flottements, la force centrifuge, les eclairs de lumiere, la fumee au premier rang, meme un truc aussi simple que quand Bullock devisse un ecrou et que ca vibre sous ton siege, c'est parfaitement synchro avec le type d'experience que cherche a generer le film. Et ce final ! Ca valait largement les 12 euros que ca m'a coute.

 

Ah vi tiens, c'est quoi exactement le panel d'effets qu'on trouve en 4Dx ??

 

C'est bien illustre ici :

http://www.cinemacity.cz/en/4DXefekty

 

En pratique pour Gravity :

c'est la plupart du temps utilise pour les premieres sequences autour de la navette, la sensation d'apesenteur super bien rendue, et les differents chocs (avec les debris, ou quand Bullock se fait tracter par Clooney). Les sieges vibrent aussi, ce qui est utilise quand Bullock devisse des ecrous ou quand elle fait sa rentree dans l'atmosphere. Il y a des effets de courant d'air et un parfum de plastique brule dans la sequence ou l'ISS prend feu; des petits jets d'eau et des rapides jets d'air comprime; de la fumee devant l'ecran dans la sequence finale ou sa capsule rentre dans l'atmosphere; des effets de lumieres stroboscopiques que je n'ai percu que lors de l'apparation du titre au debut et a la fin du film.

 

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Pour moi ça n'est ni un claquage de beignet ni une pesance. Néanmoins ça reste un excellent film.

L'impression de vide est là, les scènes de bordel sont impressionnantes car le son ou plutôt l'absence de son y joue un grand rôle. Voir toutes ces explosions sans boules de feu et sans bruits renforce l'impression de claustrophobie dans l'espace.

Cuaron fait des merveille avec sa caméra et c'est sans doute ça qui est le plus réussi dans le film.

Les acteurs font leur job sans plus. Le côté cool de Clooney est de trop je pense.

Et ce sont les personnages qui m'ont chiffonné. J'en avait rien à carrer de leurs histoires personnelles.

Celle de Bullock sert au film et au sujet sous jacent mais personnellement j'ai trouvé ça too much. Comme certaines scènes

(le retour à la position fœtale, le retour à la vie dans Soyouz...)

 

Sandra reste mimi mais la chirurgie esthétique lui a mis un coup dans le museau

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Je suis plus de l'avis de Benj. C'est techniquement sensationnel, c'est beau à crever, il y a des plans séquences littéralement hallucinants et certaines scènes provoquent de belles tensions. En revanche, rien à foutre des personnages (qui sont un peu trop clichés), certaines scènes sont clairement de trop (toc toc, c'est Clowney), et la musique est carrément vomitive lors du final qui n'avait pas besoin de cela tant il en fout plein la gueule et aurait pu se passer de tous ces violons mielleux à la con. Mais c'est un film à voir sur grand écran, et en 3D pour une fois.

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Pareil que les deux d'au dessus. Une énorme claque visuelle, c'est beau, immersif, Cuaron est un formidable faiseur d'images, on est absorbé, on s'y croit, les sensations sont super bien rendues. Après, j'en ai vite eu rien à foutre non plus, ni des persos, ni de leurs péripéties. Globalement, ça reste qd même un gars et une fille trimballés en flottant et qui cherchent à se rattraper à un bout de fer pendant 1h30. J'ai été à peu près autant ému et touché qu'après un tour de Space Moutain à Disney. C'est pas spécialement ce que j'attends du ciné. Mais c propre et ça tient ses promesses visuelles au moins !

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Une jolie démo technique mais une indifférence polie pour le reste, pas ému par le trauma de Sandra Bullock ni la structure du scénario et du montage (l'impression que le film aurait pu durer une heure de plus ou de moins que ça n'aurait pas changé grand-chose à l'histoire en fait)....le visuel est bien fichu

c'est indéniable je suis bien plus réservé sur le quota d"émotions et sensations délivrées...

 

Ca va a 100 a l'heure sans vraiment de moment contemplatif. Ca pourrait parler plus en detail du deuil, de la foi, de la survie, mais ces themes sont juste a peine effleures malheureusement ou lances de maniere un peu balourde.

 

voilà, il y a un côté un peu planant par moments qui subsiste mais trop d'impératifs commerciaux peut-être ( la coolitude de Clooney, la musique pas toujours bien employée et les tourments de Bullock) pour qu'on soit emporté.

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Bon ben je me joins au concert de demi-louanges : claque visuelle, bien rythmé, on est tenu en haleine par deux acteurs pendant 1h30. Mais on s'attache pas trop aux deux personnages et surtout, ce qui m'a fait un peu décroché du film, c'est le côté "péripéties non-stop". Il lui arrive tellement de galère à la pauvre Sandra Bullock qu'on finit par se demander si elle a pas bouffé un chat noir avant d'embarquer pour l'espace. Sans doute le prix à payer pour pas qu'on se fasse chier.

 

Mais bon c'est vraiment pour chipoter parce-que des blockbusters comme ça j'en veux bien tous les week-ends.

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Vu hier soir en IMAX 3D et j'ai rarement été aussi happé par un film dès les premières secondes. Je rejoins tout le monde c'est une gigantesque claque visuelle, et sonore (sauf pour la musique finale qui craint un peu) d'une maitrise folle. 10 secondes pour me propulser dans l'espace sans que je m'en rende compte, merci Cuaron. J'étais essoufflé, accroché à mon siège.

Jusqu’à cette discussion sur le trauma de Bullock (dont le visage m'a semblé en pastoque pendant tout le film, c'est quoi ? Botox et lifting ?), mon cerveau ayant alors hurlé un "Aie" de douleur qui s'est malheureusement confirmée lors de la scène du Soyouz et des chinois à la radio qui m'a fait complètement sortir de ma transe. Pourquoi avoir voulu donner du corps aux personnages avec un truc aussi peu développé et aussi lacrymalement cliché ? Bizarre, alors que le coté super-poisse-girl de Bullock suffisait largement à l'empathie, même si effectivement c'est un peu de l'acharnement sur sa personne et que j'aurais juste adoré que

 

quand elle arrive sur la berge, un croco lui happe les jambes et l'entraine sous l'eau

.

 

J'ai donc vu une incroyable attraction de fête foraine, pensée comme le dit Prodigy comme un grand huit, immersive pour tous les sens sauf le cerveau. Par contre je ne pense pas avoir jamais envie de revoir ce film en 2D, j'attendrais sa ressortie en ultra-HD holographique.

Modifié par Invité
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Un peu comme tout le monde, une claque visuelle mais sans vraiment de profondeur. Alors que Les Fils de L'homme est un chef d'oeuvre à mes yeux car il touche à l'humanité en général. Ici y a rien. Ok Sandra a un trauma dont on se fout un peu et son retour sur terre n'est donc qu'une question de survie. Alors que le réal arrivait à bien gérer la partie technique et les émotions dans Les Files de l'homme, ici c'est que tu technique. Alors certes c'est incroyable. Certes on est vraiment dans l'espace et on flippe pour elle. Mais le film ne diffuse aucunes émotions ...

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Marrant, la scène du gars à la radio est le seul moment qui m'a ému/touché, pour une fois j'en avais pas rien à foutre

 

 

J'aime beaucoup la réaction du personnage à ce moment là, je vais crever, je le sais, fuck it. J'ai un peu plus de mal avec le "pourquoi survivre" qui suit.

 

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Je vois ca ecrit de partout, mais c'est pas un chinois a la radio, plutot un inuit avec un nom pareil. D'ailleurs il existe un court-metrage associe a Gravity ou on suit la conversation du cote de la terre ferme.

 

En même temps on s'en fout hein... Chinois, Inuit, Loutre, ça ne change pas la tonalité de cette scène d'un intérêt aussi probant qu'une lecture d'un bilan hépatique dans un film de Bruce Willis.

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Ah ben tiens j'ai rien dit encore dessus, juste pour pas faire doublon, si ce n'est que je suis loin des mitigés que je comprends quand même dans un sens. Je m'en fous perso que le film soit "juste" un blockbuster, disons que du moment que les émotions soient là (et y'en a, en dehors de la détresse du personnage principal), ça me convient. En plus de savourer une expérience inédite au cinéma qui rend ENFIN honneur à la 3D (et pourtant, c'est du converti...).

C'est vrai que sur le moment, le deuil du perso de Bullock est un artifice dramatique assez galvaudé (et je suis d'accord, on s'en fout un peu ) SAUF QUE, là où c'est intelligent, c'est dans le fait qu'elle ne perçoit plus sa survie (et nous avec) comme une personne lambda.

En gros, pourquoi survivre alors que ma vie c'est de la merde ?

 

Et le coup de la radio, je ne sais pas si j'irais jusqu'à dire que c'est facile, j'ai trouvé ça assez magnifique en fait, cette idée de creuser une solitude infinie et de s'accrocher au moindre petit détail qui te lie à la Terre.

 

Rien à jeter perso ; c'est beau, c'est court (UN FILM DE MOINS DE 2H, CA EXISTE ENCORE ?), c'est fou, c'est du jamais vu. Emballé c'est pesé.

Et j'essaye de choisir une bonne salle pour la seconde fois (l'AP au MK2 biblio fut une calamité totale : lunettes lourdes, projo HYPER sombre du cul). Pas simple (même si je penche pour le Normandie à vrai dire...).

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SAUF QUE, là où c'est intelligent, c'est dans le fait qu'elle ne perçoit plus sa survie (et nous avec) comme une personne lambda.

En gros, pourquoi survivre alors que ma vie c'est de la merde ?

 

Oui beaucoup aimé cette idée aussi. C'est à ça que sert l'histoire de sa fille, et pas forcément à faire du tire larmes, même si une scène plus tard s'en approche assez lourdement pour le coup (hélas).

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Je trouvai pas trop les mots, mais ça m'a aussi laissé cette impression dans l'idée

 

http://www.rue89.com/rue89-culture/2013/10/30/navez-rien-compris-gravity-nest-film-lespace-247080

 

« Gravity » d’Alfonso Cuaron n’est pas un film sur l’espace. C’est une fable existentielle sur le lâcher prise, le deuil et le devenir femme.

 

Sandra Bullock s’appelle Ryan. Débarrassée des oripeaux de la féminité hollywoodienne, elle a les cheveux courts et le teint blafard. Avant même qu’elle nous apprenne que son père voulait un garçon, la messe était dite : elle est l’antifemme en plus d’une mauvaise mère à l’enfant mort. Point de misogynie pourtant, malgré les apparences : la masculinité en héritage de Ryan n’est mise en avant que pour être mieux dissoute dans les eaux baptismales de la scène finale.

 

 

MAKING OF

Eddy Chevalier est docteur en civilisation américaine. Enseignant en classes préparatoires, il est passionné de pop culture US. Le film « Gravity » l’a captivé. Il en a fait une lecture stimulante sur son blog. Il a accepté que nous reprenions son texte sur Rue89. Mathieu Deslandes

 

« Gravity » est l’histoire de l’invention d’une femme. Ryan, qui ne faisait que flotter dans un monde d’hommes, prend le contrôle et se retrouve sur ses deux pieds en avatar de l’archétype de la Grande Déesse mère, puissance femelle sauvage et archaïque. « To stand on one’s own two feet » signifie, en anglais, se débrouiller seul(e). Debout, conquérante – on appréciera le plan en contre-plongée magnifiant sa puissance puisée de la Terre mère – elle féconde l’écran en se donnant vie à elle-même.

 

Si George Clooney est si insupportable dans « Gravity », c’est parce qu’il est le symbole d’une masculinité dévorante.

 

Sa plaisanterie lourde, variation sur le « t’as de beaux yeux tu sais », est l’illustration parfaite que la femme, pour notre société patriarcale, n’est qu’un reflet dans un œil d’homme. Le nom du « héros », Kowalski, pourrait d’ailleurs faire écho au personnage violent envers sa femme d’« Un tramway nommé désir » de Tennessee Williams.

 

Tu es une femme, tu rentres maintenant

 

Les débris dans l’espace et le risque de perforation permanente – il n’y a qu’à voir le trou dans la tête de l’astronaute mort flottant dans l’espace, sorte de « Sleepy Hollow » galactique – sont autant de pièges, plus ou moins sexualisés, qui entravent Ryan. Les nombreux câbles qui la gênent sont des tentacules et, métaphoriquement, des mains d’hommes la retenant dans un espace où elle n’a pas droit de cité. Son pouls et sa température sont trop faibles, nous dit-on à l’orée du film. Tu es une femme chétive, tu rentres maintenant, tu as assez joué. Sa seule solution pour exister : lâcher la main de ce bon vieux Clown(ey). Finalement [attention spoilers, ndlr], Ryan aura la peau de son bourreau des cœurs de coéquipier en rentrant sur terre et dans l’Histoire.

 

 

Ryan Stone (Sandra Bullock) dans « Gravity » de Alfonso Cuaron, octobre 2013

Sandra Bullock s’appelle Stone. Et cette pierre lourde, cette culpabilité de vivre, ce caillou dans la chaussure sans talon doit retrouver sa terre natale. Non sans avoir compris que sa lourdeur et son insignifiance sont précisément sa force.

 

Grâce à la musique poétisante de Steven Price, le film se transforme un éveil : un éveil de soi à soi où il faut lâcher prise, au propre comme au figuré, mais également une parabole pascalienne. De l’infiniment grand – la galaxie – à l’infiniment petit – la grenouille – la vie est vue comme une alchimie intime et féconde qui doit transformer le lourd en léger.

 

Impossible de ne pas s’identifier à Ryan

 

Lorsqu’elle s’écrase dans l’eau, Ryan est rendue à elle-même : le liquide amniotique – écho aux nombreux plans dans l’espace où les couloirs sont des matrices et les fils des cordons ombilicaux – la rend maternelle, Amazone sur une terre vierge, femme-paysage conquérante. Exister, étymologiquement, c’est être debout. Et le dernier morceau de la BO, laissant éclater une voix de femme triomphale, est un cri primal de libération surgi du cerveau reptilien. « Gravity », ou le malheur dissous.

 

On sait que Cuaron s’est battu pour imposer une femme à l’affiche de son film si viscéral. Car Hollywood n’en voulait pas. Au-delà des images sublimes d’un autre monde, de sa maestria technique et de son génie visuel, il réussit à faire du spectateur une femme – impossible, en effet, de ne pas s’identifier à Ryan, de ne pas se cramponner à son siège lorsqu’elle ne réussit pas à s’agripper ou d’avoir le souffle coupé lorsqu’elle suffoque.

 

Il féminise donc un cinéma grand public vampirisé par les geeks et atrophié par des franchises à la testostérone mortifère. « Je suis une femme, pourquoi pas vous ? » semble nous dire Cuaron dans ce tour de force intersidérant.

 

« Gravitas », c’est la grossesse, bien sûr

 

Dans l’espace, personne ne vous entend parler latin. Et c’est bien dommage. Car c’est dans le Gaffiot que l’on découvre à quel point « Gravity » est merveilleusement littéraire. « Gravitas », c’est la pesanteur, bien sûr. Celle des armes et des vaisseaux qui, pensons-nous, nous protègent et nous renforcent alors qu’ils nous alourdissent.

 

Mais le mot signifie également l’importance, le poids, la force, la vigueur. Celles d’une pulsion de vie féminine toute-puissante. Il désigne aussi la noblesse et la dignité ainsi que la douleur, le malaise et l’embarras. Autant de facettes reflétées par Ryan lors de son combat pour échapper au vide sidéral et existentiel.

 

Gravitas, c’est enfin la grossesse, bien sûr. « Gravity » est un film gravide mettant au monde une femme forte et puissante bien qu’encore chancelante. « Virtus et gravitas quam in summon dolore adhibuit » : « Le courage et la fermeté qu’il a montrés dans une douleur si cruelle », écrit Cicéron. Une phrase parfaite pour qualifier l’opus stratosphérique de Cuaron. A condition de la mettre au féminin.

 

bon certains points sont peut être tirés par les cheveux mais pourquoi pas. Ca donne en effet beaucoup plus de profondeur ce qui pêchait par exemple et n'était pas logique par rapport aux "fils de l'homme".

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Comme tout le monde, un peu. L'idée de base est mortelle, on a un film mortel pendant qu'il s'y tient -malgré quelques instants WTF où Clooney et son potes font les guignols dans le cosmos- puis Gravity devient un autre film avec symboles-branlettes sur la renaissance, le deuil, tuer le père, l'espace comme matrice de l'existence ...Bon on nous évite Dieu, c'est toujours ça de pris.

 

Visuellement, c'est une claque, indéniablement, la 3D est immersive à mort, Sandra Bullock et son petit short font bien plaisir, Clooney se croit dans la pub Axe (car rien ne bat un astronaute), c'est à la fois dynamique et bref et c'est finalement sans surprise.

 

 

On devine assez rapido que Sandra va survivre et attérir dans une boite de conserve.

 

 

Je dois dire que j'ai eu la même pensée que Meltingman quand au final .

 

Un excellent film, mais pour le survival ultime dans l'espace attendu, il faut se tourner vers...je sais pas, Alien ?

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