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The Artist (Michel Hazanavicius)


sly

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Une histoire d'amour dans le Hollywood des années 20 entre une vedette du cinéma muet (Dujardin) et une figurante (Béjo), alors que l'arrivée du parlant va bouleverser cette relation.

 

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Primé à Cannes, le dernier film de la team de OSS 117 st un film un peu casse gueule mais aussi grandiose. Grandiose et couillu parce que le but est de raconter cette huistoire dans l'état des films d'antan : en 1.33 (ou 1.37, les puristes corrigeront), en noir et blanc et en muet.

 

Le problème c'est que le principe n'accouche finalement "que" de son postulat de départ : un très bon film muet (si ce n'est 2 séquences qui dépassent ce postulat). The Artist est finalement un film pas si drôle que ça, ce qui est assez intéressant.

 

Non, là où le film est clairement génial c'est dans la manière où il parle finalement plus de Dujardin que du réalisateur. On a vraiment l'impression que c'est de lui dont il est question ici, de ses peurs (de ne plus faire rire, de ne plus plaire, de ne pas être pris au sérieux, d'être cantonné aux mêmes films et à la même image, etc..) et là The Artist touche des sommets !

 

ma critique :

 

http://www.1kult.com/2011/05/20/the-artist-michel-hazanavicius/

 

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  • 3 months later...

Pas Le chef d'oeuvre attendu pour moi. Techniquement c'est tout bon, du noir et blanc et du muet comme avant, hommage au cinéma, références inside, film dans le monde du cinéma tel un Kill Bill des années 20, etc... Il n'y a finalement que peu de moments qui sortent du lot et coupent le souffle.

 

 

la scène sans aucun son après la tentative de suicide m'a totalement sorti de mon siège

 

 

Un film très bien fait mais dont on sait déjà ce qu'on va voir et coupe la surprise en parties, mais c'est très bien fait. Au final, je me souviendrais surtout de Jean Dujardin causant à John Goodman (il a fondu ou quoi ? ) comme si c'était son pote de toujours et Bérénice Béjo allant faire de la figuration aux côtés de Malcolm McDowell.

 

A mi-chemin entre et

 

Vu en AVP où Hazanavicius devait initialement venir mais Bérénice a accouché. Quand on la voit dans le film, on se dit qu'il a bien de la chance.

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  • 3 weeks later...

Sympa, et même clairement

C'est cocasse sans être très drôle, touchant sans être émouvant, original dans sa forme mais finalement assez bateau...c'est vraiment une chouette expérience, surtout dans les premières minutes où Hazanavicus joue beaucoup du contraste avec le parlant, mais ça ne vole pas plus haut que ça selon moi

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Le meilleur film français de ses dix dernières années. Enfin quelque chose d'original (autre chose quoi que le quotidien de trentenaires bobos au bord de la crise de nerf, les films sur la seconde guerre mondiale, les comédies pas drôles et les films d'auteur chiants). Dujardin a pas volé son prix à Cannes mais avec moi c'était Palme d'Or direct, prix de la mise en scène, meilleure interprétation masculine et féminine, caméra d'or, etc...

 

Bon pour mettre coltiné pas mal de films muets quand j'étudiais le cinéma au lycée, je crois mettre endormi systématiquement au bout de 15 mn (à part peut-être Potemkine). Mais là, Hazanavicius fait un film muet parsemé de rebondissements, jusqu'à ce qu'on en vienne à oublier que c'est muet. Un hommage au cinéma composé de scènes toutes plus magnifiques et mémorables les unes que les autres. Vraiment un très grand moment de cinéma que j'ai passé là.

 

Entre Drive et the Artist, je me suis fais plaisir cette semaine au cinéma. J'espère que les Trois Mousquetaires en 3D va tuer aussi, parce-que j'ai bien l'intention de finir la semaine là-dessus

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pour moi aussi.

 

Un projet attachant, qui transpire l'amour du cinéma, réalisé avec soin et passion, mais aussi un film un peu bancal, qui a du mal à trouver sa propre personnalité, qui n'évite pas certaines longueurs et une approche un peu scolaire. Reste tout de même quelques jolies scènes, un Dujardin épatant, un chien adorable et un projet qu'il convient de saluer. Sans doute pas le grand film qu'il aurait voulu être, "The artist" restera un ovni, joli exercice de style, un peu creux mais sympathique.

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  • 2 weeks later...

Pareil que Michel DPG,

 

C'est vraiment un film attachant, mais on peut pas s'empêcher de se dire que le plus dur avait été fait : exercice de style audacieux, Jean Dujardin et Bérénice Bejo à la magnifique présence (je trouve même qu'elle éclipse Dujardin), une thématique vraiment puissante, mais manque une histoire solide finalement. ça aurait pu être une allégorie sur l'évolution cinématographique, artistique, technique, sociale même, et finalement malheureusement seule l'histoire d'amour arrive à frayer son chemin, mais pour le reste beaucoup de redite passé le premier tiers. A tel point que j'ai fini par trouver le personnage de Georges Valentin assez antipathique dans sa chute.

 

Bon bref j'ai envie de dire, dommage, mais bravo pour l'effort !

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:epoustouflant: pour moi aussi.

 

Un projet attachant, qui transpire l'amour du cinéma, réalisé avec soin et passion, mais aussi un film un peu bancal, qui a du mal à trouver sa propre personnalité, qui n'évite pas certaines longueurs et une approche un peu scolaire. Reste tout de même quelques jolies scènes, un Dujardin épatant, un chien adorable et un projet qu'il convient de saluer. Sans doute pas le grand film qu'il aurait voulu être, "The artist" restera un ovni, joli exercice de style, un peu creux mais sympathique.

 

+1, tout est dit

 

la scéène avec sa femme "il faut qu'on parle" (et peu de monde a rigolé dans la salle ou j’étais )

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  • 3 weeks later...

QU'UNE PAGE ? Mais vous préférez mater des films comiques français de merde, des drames français de merde et des Asylum de merde ou quoi les mecs ?

 

Bon, oui, c'est effectivement prévisible mais assez magique. On revit le cinéma, la beauté du plan, la force émotionnelle d'une scène, sans putasserie. Dujardin est parfait, c'est un film de passionné qui se permet quatre-cinq audaces absolument géniales. Si ce film n'était qu'audaces de ce genre, je crierais au chef d’œuvre. En attendant, c'est juste admirable et c'est déjà pas mal.

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Vu le concept, un petit quand même. Dujardin je suis pas très amateur (j'ai vraiment du mal, surtout chez Hazavavicius d'alleur), par contre Berenice Bejo illumine littéralement tout le ilm, elle est superbe.

 

De belles scènes et un chien sympa, mais il manque quelque chose. Je saurais pas dire quoi par contre. Au bout du compte, j'ai plus envie d'aimer The Artist pour son concept et son visuel que pour son histoire en elle-même.

 

Dans le même genre ou presque, Ed Wood l'enterre sans trop de soucis.

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  • 1 month later...
  • 3 weeks later...

Je l'ai trouve plutot chiant. Le concept ne marche pas jusqu'au bout, car tout le deroulement du film fait tres tendance 21eme siecle dans son ecriture et ca m'a jamais emu. En fait j'en attendais vraiment trop, un truc digne des classiques du muet, et bon c'est pas ca quoi.

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  • 5 weeks later...
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