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Djinns - Sandra et Hugues Martin - 2010


kevo42

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L'affiche trône dans la gare de RER que je fréquente tous les matins, et pourtant, personne ne parle de ce film ! Qu'est-ce que c'est ? Le nouveau brulôt du cinéma de genre français ? Un aimable divertissement d'aventure coloniale ? La question est posée

 

 

Le casting en tout cas est improbable : réunir Jésus Frémont, Banlieue 13 Raffaelli, et "je suis jeune je suis breton, j'aime le cidre et les crêpes au citron" Le Prince-Ringuet, c'est étonnant.

 

La bande annonce ne fait ni envie ni pas envie, j'ai envie de dire que j'ai rien compris en la voyant :

 

iTwLxObmilE

 

En tout cas, avec 232 vues en un mois, c'est officiel, tout le monde s'en fout.

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Des bidasses se réfugient dans un village au milieu du désert et sont "attaquées" par des djinns, des sortes d'esprits du désert invisible façon Predator, et ces petits malins de Djinns qui ne sont pas si méchants dans le fond ne font rien qu'à embêter les militaires qui vont gentiment péter les plombs et s'entretuer comme des cons.

L'idée de base n'est pas forcément mauvaise.

Mais c'est pas passionnant.

Thierry Frémont se prend pour Tchéky Karyo dans Dobermann.

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  • 4 months later...

bah jai plutot aimé.

 

meme si le decor du village est tres mal exploité par des cadres etriqués, et que les Djinns et leur mythe sont sous exploités, c'est quand même un pur film de genre ORIGINAL!!! pas de zombie badass, ou de tueur en foret ( ), juste un contexte rarement exploité, des acteurs pas mal, et des fx cools.

 

un peu mal rythmé mais loin au dessus des autres daubes francaises recentes.

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  • 5 months later...
  • 1 year later...

Un film de mauvaise réputation auquel j’avais tout de même envie de laisser sa chance.

 

J’aurais mieux fait de m’abstenir

 

Sur le papier, des trucs intéressants : les décors désertiques, le background historique (la Guerre d’Algérie), la volonté de faire du fantastique discret, le fait d’employer une créature issue de la mythologie orientale et relativement peu utilisée au cinéma.

 

A l’écran, c’est tout pourri

 

Déjà, le film a le cul entre deux chaises (guerre / épouvante) et n’arrive jamais à gérer sa dualité. Du coup, il nous rejoue pour la millième fois le coup du groupe de bidasses qui pète un câble.

 

Et puis c’est long bordel.

 

Looooooooooooooooooooooooooooooooooooooooong !!! (à prononcer devant votre écran en imitant Michel Galabru).

 

Dialogues faisandés (« Où sont les autres ? Je le répèterai pas ! Où sont les autres ? ») et interprétation à la ramasse.

 

D’un côté du spectre, il y a Frémont en totale roue libre (mode cabot [ON]).

 

A l’autre extrême, il y a l’actrice qui incarne la sorcière locale et qui débite son texte avec la conviction d’un morse un lendemain de cuite …

 

Putain, ça fait mal !

 

A l’arrivée, une belle purge des familles.

 

En ce qui me concerne, je préfère définitivement les films où les djinns sont joués par Andrew Divoff.

 

C’est bis, mais au moins c’est beaucoup plus fun

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