Up In The Air - Jason Reitman (2009)

L'odyssée de Ryan Bingham, un spécialiste du licenciement à qui les entreprises font appel pour ne pas avoir à se salir les mains. Dans sa vie privée, celui-ci fuit tout engagement (mariage, propriété, famille) jusqu'à ce que sa rencontre avec deux femmes ne le ramène sur terre.

Ryan Bingham est un collectionneur compulsif de miles aériens cumulés lors de ses incessants voyages d'affaire. Misanthrope, il adore cette vie faite d'aéroports, de chambres d'hôtel et de voitures de location. Lui dont les besoins tiennent à l'intérieur d'une seule valise est même à deux doigts d'atteindre un des objectifs de sa vie : les 10 millions de miles.

Alors qu'il tombe amoureux d'une femme rencontrée lors d'un de ses nombreux voyages, il apprend par la voix de son patron que ses méthodes de travail vont devoir évoluer. Inspiré par une nouvelle jeune collaboratrice très ambitieuse, celui-ci décide que les licenciements vont pouvoir se faire de manière encore plus rentable, via... vidéo conférence. Ce qui risque évidemment de limiter ces voyages que Bingham affectionne tant...

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PURGE! bon moi j'en ai marre des films indé-pseudo indé américain avec guitare sèche folk et humaniste de merde, putain j'avais bien aimé Juno du même réalisateur, mais celui là on a l'impression d'avoir déjà vu 50 fois le truc, au bout de 10 minutes on sait comment va se dérouler le film et on a le choix entre 2 fin possible, y'a pas d'ambiguité dedans.

Non seulement c'est du déjà vu mais c'est aussi chiant à mort, tout ce qui doit être drôle ne l'es pas ou plus justement car c'est du réchauffé.

J'ai eu le temps de me couper les ongles des pieds et d'aller sur l'app store et j'ai rien perdu au film.

Seul truc bien du film: Vera Farmiga

Idem, je l'ai vu hier et énorme déception. Le film tombe dans tous les pièges qu'avait évité thank you for smoking. En prime on a droits à des longueurs lors de la fête à l'hôtel ou le mariage avec music indé ralenti et tout le toutim.

Un film vraiment dispensable. dire qu'il est nominé partout purée. A la rigueur au césar je comprendrai mais aux golden globes....

Bon contrairement a mes deux camarades je l'ai vu en salle, donc pas eu le temps d'aller me couper les ongles des pieds ou je ne sais quoi.

De toute façon j'aurais pas eu le temps vu que j'ai franchement apprécié le film, pas exempt de défaut je vous l'accorde, mais qui scié bien a mon état d'esprit actuel, donc moi content

Vera Farmiga est hot et Anna Kendrick une sacrée cutie, Clooney assure un max et on ne s'ennuie jamais.

Même la fin m'a surpris et m'a offert autre chose que ce que j'attendais, enfin que je n'attendais pas (et qui du coup m'a beaucoup plus parlé qu'une fin attendu)

Et pour le coup, je découvre via la production, que Jason est le fils d'ivan !

A lui Ghostbuster 3 ??

(...)mais qui scié bien a mon état d'esprit actuel, donc moi content

ouais c'est ce que je me suis dis, que le message ne me touchait pas personnellement donc je suis sabs doute passé à coté du film contrairement à Juno, enfin j'ai pas de meuf qu'attend un gosse mais c'est plus jeune en fait, en fait je sais pas.

il n'empêche que faut bouffer une orange avant.

En fait Juno j'avais trouvé ca moyen en salle et carrément pourrie en bluray, je préfère largement Thank You for Smoking et Up In The Air.

In the air est un remake aseptisé de thank you for smoking. Et Anna Kendrick est un laideron avec une bouche à pipe mal taillée.

Bah moi j'ai bien aimé. Faut dire que j'ai pas vu bcp de film indés americain depuis fort longtemps (ni Juno, ni Thank you for smoking, et autres pelloches avec guitare folk). Bref, c'est bien filmé, bien joué, y'a pas le happy end tant attendu. C'est même plutôt cynique.

J'adhère.

Pour info, notre Gourou Tarantino considère ce film comme le meilleur de l'année.

cest bizarre je revois le film sur france 3 et je le trouve très bon cette fois

le contexte actuel de la crise peut etre ??? l'aspect comédie amer et a fonctionné. le film est moins jubilatoire que thank you for smoking mais plus mature que ce soit la relation entre clooney et vera farmiga( ) qui sonne juste ou bien les entretiens de licenciement qui glacent le sang

Ben moi j'ai bien aimé : entre le regard très cynique qui est porté sur les méthodes de licenciement en entreprise et le perso de Clooney, un imbécile heureux qui cache sa profonde solitude derrière un objectif aussi débile qu'insensé, je me suis pas emmerdé une seconde. Et je m'attendais pas du tout à cette fin, surtout dans un film américain.