Basculo Cui Cui Posté(e) le 10 septembre 2008 Share Posté(e) le 10 septembre 2008 coming soon at jeremie's revu a l'instant et ca pese autant que la sublime barbe de Jeff Daniels lIMv-UqZ4Ds In his third feature, director Noah Baumbach scores a triumph with an autobiographical coming-of-age story about a teenager whose writer-parents are divorcing. The father (Jeff Daniels) and mother (Laura Linney) duke it out in half-civilized, half-savage fashion, while their two sons adapt in different ways, shifting allegiances between parents. The film is squirmy-funny and nakedly honest about the rationalizations and compensatory snobbisms of artistic failure as well as the conflicted desires of adolescents for sex and status. In detailing bohemian-bourgeois life in brownstone Brooklyn, Baumbach is spot on. Everyone proceeds from good intentions and acts rather badly, in spite or because of their manifest intelligence. Fulfilling the best traditions of the American independent film, this quirky, wisely written feature explores the gulf between sexes, generations, art and commerce, Brooklyn and Manhattan. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
niko13 Posté(e) le 10 septembre 2008 Share Posté(e) le 10 septembre 2008 Vu au cine et je m'etais redoutablement fait chier, mais alors d'une force...Et ce, malgre Laura Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benj Posté(e) le 10 septembre 2008 Share Posté(e) le 10 septembre 2008 vive les barbes!!!!!!!!!!!!!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Prodigy Posté(e) le 10 septembre 2008 Share Posté(e) le 10 septembre 2008 Oh oui alors le prototype du film indépendant qui se la pète et qui ne raconte rien mais c'est sublime parce qu'il y a un sequelette de baleine et du Lou Reed vous voyez. Pourtant je suis client mais là non Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
niko13 Posté(e) le 11 septembre 2008 Share Posté(e) le 11 septembre 2008 Oh oui alors le prototype du film indépendant qui se la pète et qui ne raconte rien mais c'est sublime parce qu'il y a un sequelette de baleine et du Lou Reed vous voyez. Pourtant je suis client mais là non Ah, toi aussi tu as souffert en visionnant ce film ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Prodigy Posté(e) le 11 septembre 2008 Share Posté(e) le 11 septembre 2008 Y'a que Anna Paquin avec ses yeux qui sentent le cul qui m'ont tenu un tant soit peu éveillé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
niko13 Posté(e) le 11 septembre 2008 Share Posté(e) le 11 septembre 2008 Y'a que Anna Paquin avec ses yeux qui sentent le cul qui m'ont tenu un tant soit peu éveillé.T'as raison, y'a Anna Paquin dedans aussi !!Bordel, j'ai quasiment plus aucun souvenir de ce film, si ce n'est celui d'avoir passe un long moment chiant dans la salle. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NickLezob Posté(e) le 11 septembre 2008 Share Posté(e) le 11 septembre 2008 C'est quoi cette histoire de calamar, une métaphore ou un procédé fallacieux pour attirer les esprits crédules comme le mien? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Prodigy Posté(e) le 11 septembre 2008 Share Posté(e) le 11 septembre 2008 Une métaphore à deux balles, à la fin l'ado scotche pendant 3 plombes devant un squelette de baleine dans un musée sur du Lou Reed et tout d'un coup il a une révélation, il se passe strictement et la métaphore est bidon mais le réalisateur s'est dit que le spectateur remplirait les blancs tout seul. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nicolas Posté(e) le 11 août 2009 Share Posté(e) le 11 août 2009 Arf. Comment peut-on dire que cela ne raconte rien... enfin... Il est superbe ce film, en plus c'est le summer of the 80's... et dans la bande son pêle mêle tangerine dream (risky business), les cars...Laura Linney, impeccable comme d'hab. Jeff Daniels, très juste... et ces ados déboussolés sonnent juste pour une fois. J'ai eu peur quand le chartreux s'échappe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Natale Posté(e) le 11 août 2009 Share Posté(e) le 11 août 2009 Les critiques étaient pourtant dithyrambiques " un chef d'oeuvre dans la veine de Bergman et wes anderson. Le nom Berckman rend d'ailleurs hommage à Bergman." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Supernaut Posté(e) le 11 août 2009 Share Posté(e) le 11 août 2009 Excellent film !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benj Posté(e) le 5 mai 2020 Share Posté(e) le 5 mai 2020 J'arrête avec Baumbaaaaaaaaaarg.Pendant tout le film je me suis demandé à quoi il servait son film. Il a le droit de le faire hein mais à quoi elle sert son histoire, c'est à peine divertissant et ça raconte rien. Autant aller à la CAF y'a des vies plus intéressantes à écouter.Le gars est coincé entre Wes Anderson et Todd Solondz, et il se débat comme il peut. Et j'en peux plus de ses univers de blancs riches intellos qui se rongent le gland sur leur mal être. Il va nous faire comme sujet après le mariage et le divorce ? L'adoption, la césarienne ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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