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Angélique, marquise des anges - Bernard Borderie - 1964


Jeremie

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Vu la première fois aujourd'hui sous l'impulsion de créatures quelque peu frivoles (et un peu chiantes aussi)

 

Aaaaah, Angelique, tout un symbole Symbole d'un cinéma feuilletonesque à souhait, avec sa patine savoureuse, sa nudité frileuse, sa perversité qu'à demi-assumée et ses élans coquins cadenassés et corsetés

 

Trop curieuse et trop belle, la belle Angélique atterrit au convent après avoir appris par malheur la nature d'un complot contre le Roi qu'elle s'est empressée de faire capoter. A sa sortie, elle doit se marier avec le balafré Jeoffrey de Peyrac, dont elle va très vite tomber amoureuse. Mais les activités minières du seigneur sont violemment pointées du doigt par les autorités religieuses...

 

Fourberie, poison, meurtre, combat à l'épée, romantisme fleur bleue imbitable (je veux que tu sois ma première fois, sois doux...OH NON CE N'EST PAS BIEN NICOLAS !! ), Jean Rochefort sans moustache, des éventails, Super Sorbonne qui surgit par le fenêtre, les cicatrices béantes de Robert Hossein...

Longuet, fortement désuet, mais amusant. Et puis bon, Mercier forever

 

Par contre pendant tout le film je me disais : putain, j'ai envie de voir Isabelle duchesse du diable moi

 

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